comment ne plus punir ? ne plus punir à cet avantage de ne plus vous mettre en porte à faux : plus de punitions , donc plus de menaces à mettre à éxécution ! et oui il faut voir le positif ! ne plus punir cela veut dire ne plus faire "marcher au baton " son enfant , cela veut aussi dire supprimer le coin ainsi que l'isolement . concretement comment fait-on ? déjà on comprend pourquoi la punition n'apporte rien , et peut meme etre néfaste à la relation : punir n'a pas pour effet de faire réfléchir l'enfant,au contraire cela lui donne du ressentiment envers nous. cela ne lui enseigne rien si ce n'est à l'éviter et donc à faire les choses en cachette . à la place du coin ou de l'isolement qui avaient une utilité lors de conflits entre enfants ou lorsqu'un enfant avait un comportement inadéquat (s'excitait , n'écoutait rien....) on peut décider : - d'ignorer (et donc on supprime le renforcement négatif ) -de proposer de réparer : si l'enfant commet une maladresse ou abime quelque chose par exemple .
Alice Miller Revue "Non-Violence Actualité" Janvier/Février 2013 La colère chez l’enfant, signe de bonne santé psychique. Nous avons tous entendu dire : « T’es pas belle quand tu es en colère – Tu fais des caprices – Puisque tu cries, je te laisse»…. Accabler l’enfant par ces réflexions, c’est comme lui envoyer un « projectile » dans le cerveau qui, en attendant d’exploser à tout moment de sa vie (l’adolescence, l’âge adulte), le détruit à petit feu. Dès notre naissance, nous sommes dotés d’un système émotionnel très sophistiqué qui nous permet de ressentir la colère, la peur, l’angoisse de séparation et c’est grâce au déclenchement de ces émotions que nous pouvons assurer notre survie en appelant la présence de nos parents pour nous rassurer. Si les nourrissons sont constamment assaillis par ces émotions, c’est parce que leur cerveau cognitif qui permet d’analyser les situations, de faire des déductions et de se calmer tout seul, n’est pas encore assez développé pour lui permettre de réfléchir. Haut
Un outil « clé en main » pour prévenir la violence verbale La violence verbale (insulter, humilier, propager des rumeurs, menacer, etc.) est la forme la plus courante de violence à l’école. Pour s’attaquer à cette problématique, la prévention est de mise. Le guide « Mes paroles, j’y vois : pour une communication positive à l’école » contient des outils pédagogiques concrets s’adressant aux intervenants scolaires. Diffusé par le ministère de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (MEESR), ce document est un outil frugal et simple d’utilisation qui vise à encourager le développement de compétences relationnelles chez l’ensemble des acteurs du milieu scolaire. Le guide propose différentes activités pour les élèves de tous les niveaux (primaire et secondaire). Le déroulement et l’animation des activités sont décrits en détail et le matériel pédagogique est disponible en annexe du document. La violence à l’école : pistes pour offrir une formation continue de qualité Le sac à mots Invasions positives [Consultez le guide]
35 activités pour aider les enfants à mieux vivre les émotions 35 activités pour aider les enfants à mieux vivre les émotions Posted by Christine Klein on 10 août 2014 · 1 commentaire J’ai découvert hier ce petit livre dont le titre m’a immédiatement attiré le regard. Et parce que je suis en vacances, je me permets de prendre le dimanche pour un vendredi ou un samedi :) et de vous faire un bref billet pour cette rentrée des VI. L’auteur d’abord, Gilles Dierderichs est musicothérapeute, sophro-relaxologue et auteur compositeur. Il travaille avec des enfants au quotidien, ce qui explique sûrement la richesse et la variété des idées d’activités qu’il propose. 35 activités autour du thème des émotions, c’est ludique et inventif, j’ai hâte d’en essayer quelques-unes avec ma fille de 3 ans et avec mes jeunes clients ! J’aime beaucoup la conception avec toutes les petites icônes pour savoir si l’activité se faire en intérieur ou dehors, ou les deux, si l’enfant peut la faire seul, à deux, avec ses parents, avec des copains. Bref, j’adhère ! Like this:
Alice Miller - Abus et Maltraitance de l'Enfant La rubrique courrier, n'est plus en activité, en consultant les lettres déjà publiées, vous trouverez peut être des réponses à vos questions Vous pouvez joindre Brigitte Oriol à l'adresse e-mail brigitteoriol@sfr.fr Alice Miller (12 janvier 1923 - 14 avril 2010), docteur en philosophie, psychologie et sociologie, ainsi que chercheur sur l'enfance, est l'auteur de 13 livres, traduits en trente langues. Des 192 membres des Nations Unies, seuls 19 ont jusqu'à présent interdit le châtiment corporel des enfants. Les humiliations, les coups, les gifles, la tromperie, l'exploitation sexuelle, la moquerie, la négligence etc. sont des formes de maltraitances parce qu'ils blessent l'intégrité et la dignité de l'enfant, même si les effets ne sont pas visibles de suite. C'est comme ça que l'ignorance de la société reste si solide et que les parents continuent en toute bonne foi à produire le mal dans chaque génération depuis des millénaires. Haut
Les 5C de l'addiction et l'addict-arbre (Laurent Karila) Dans son livre Addictions, dites-leur adieu ! , Laurent Karila propose le concept des 5C de l’addiction pour retenir les principales manifestations de l’addiction : Contrôle (perte de contrôle)Consommation (envie irrépressible de consommer)Compulsion (activité compulsive)Continu (usage continu)Conséquences (usage continu malgré les conséquences négatives) Laurent Karila, psychiatre addictologue, définit l’addiction comme une incapacité à se retenir de consommer. Une conduite addictive peut toucher tout un panel de comportement : consommation de substances licites (tabac, alcool, antalgiques…) ou illicites (cannabis, cocaïne, opiacés…); jeux d’argent ou de hasard; activités sportives; smartphones ou jeux vidéo; ou encore activité sexuelle. L’addiction est une maladie complexe car de nombreux facteurs doivent être présents en partie pour qu’il y ait installation d’une conduite addictive. Laurent Karila utilise l’image de l’addict-arbre pour expliquer l’addiction :
Les émotions + outils pédagogiques - Les émotions font partie intégrante du fonctionnement des humains. Elles imprègnent nos pensées, notre comportement et nos expériences, elles motivent nos décisions les plus importantes, elles constituent l’essence même des rapprochements sociaux et elles sont au cœur des processus culturels et de socialisation . Qu’est ce qu’une émotion ? Une émotion est une réaction physiologique à une situation. La verbalisation des émotions produit un effet apaisant sur le système nerveux des enfants mais des adultes aussi ! Vos propres émotions. Avez-vous déjà prêté attention à vos propres émotions ? Connaitre ses propres émotions avant de comprendre celles des autres. Les comportements des adultes influencent ceux des enfants, vous êtes un modèle pour l’enfant. Reconnaître et exprimer vos propres émotions est important, la capacité à réguler vos émotions est directement liée aux compétences sociales : ce que vous pensez des émotions peut influencer le bonheur futur de l’enfant. Les émotions de l’enfant.
Prévention et lutte contre les violences en milieu scolaire : point d'étape En vidéo : intervention de Vincent Peillon lors du point d’étape sur les travaux de la délégation ministérielle chargée de la prévention et de la lutte contre les violences en milieu scolaire En vidéo : Eric Debarbieux présente l'"Enquête de victimation et climat scolaire auprès des personnels du second degré" Agir ensemble avec détermination en faveur d’un climat scolaire apaisé et serein Lors de l’installation de la délégation ministérielle à Amiens le 12 novembre dernier, le ministre de l’éducation nationale a affirmé sa volonté de "briser le silence" : "c’est la première fois que l’éducation nationale reconnaît en tant qu’institution le problème de la violence scolaire". Les plans qui se sont succédé en France ces dernières années ont en effet le plus souvent abordé cette question de manière partielle et court-termiste, c’est-à-dire au gré des faits divers et par le seul prisme de la lutte contre la délinquance et la violence d’intrusion. Ce dispositif a rencontré un grand succès.
Coup de stress: une solution A.T.O.M.I.Q.U.E Certaines situations pénibles qui déboulent sans prévenir déclenchent en nous un stress désagréable et invalidant, qui nous nécrose le citron en moins de temps qu’il n’en faut pour en presser un. Voici une solution imaginaire et atomique pour agir rapidement: l’anatomie d’un stress ponctuel pour mieux l’atomiser, car en désintégrant les noyaux qui ne donnent pas la pêche, on peut en tirer une sacrée énergie;) Souvenez-vous, nous avions évoqué l’intérêt de faire du stress un allié plutôt qu’un “ennemi” à “combattre”. Il s’agissait d’éviter de partir en guerre contre lui, selon l’infatigable et incontournable imagerie militaire qui colle à nos vies personnelles et professionnelles comme les défilés collent à nos 14 juillet. Voici donc un moyen nucléaire de traiter les coups de stress en allant y regarder de près – de très près, atomes obligent – ses constituants pour y trouver des solutions simples. Ou comment traiter les moments de stress en 8 points: A – Arrêtez tout ce que vous faites
8 réactions non punitives face aux comportements à problème Chaque fois qu’un enfant fait un geste ou a un comportement qui nous empêche de satisfaire un de nos besoins (besoin de calme, de silence, de respect, d’ordre…), ce comportement est inacceptable pour nous car il nous cause un problème. C’est donc à nous qu’appartient le problème. Dans son livre Éduquer sans punir, Thomas Gordon cite des exemples de problème appartenant aux parents : l’enfant fait du bruit quand le parent est au téléphone, il tape son frère avec des jouets, il joue quand ses parents sont pressés… Voici 8 réactions non punitives face aux comportements des enfants qui posent problème aux adultes tirées du livre Eduquer sans punir. Au delà des besoins physiques et physiologiques des enfants (faim, soif, envie de faire pipi, besoin de se dépenser et de bouger, sommeil, chaleur ou froid…), il existe des besoins affectifs forts chez les enfants. Les psychologues pour enfants parlent de la théorie de l’attachement. Thomas Gordon liste 8 avantages des messages-Je préventifs :
COMMUNIQUER AVEC BIENVEILLANCE - Rennes Le syndrome de l'imposteur : le comprendre pour le dépasser Dans son roman coach Le premier jour de ma nouvelle vie, Marie Laure Cuzacq aborde le sujet du syndrome de l’imposteur (étonnamment, après recherche, il semble ne pas y avoir d’équivalent féminin). Savoir profiter de ses réussites est en effet tout aussi essentiel que réagir constructivement à un échec. Or cela présuppose de reconnaître ses réussites et ses qualités à leur juste valeur (sans fausse modestie ni ego démesuré). Cela n’empêche en rien d’être dans une démarche de progression et d’apprentissage mais permet de générer des émotions positives et de savoir sur quels piliers s’appuyer en cas de difficultés. Le syndrome de l’imposteur est cette sensation de ne pas comprendre, voire de ne pas être d’accord, avec les compliments que les autres peuvent nous faire; de douter de nos compétence (même quand d’autres nous les attribuent volontiers). Le syndrome de l’imposteur touche en priorité les personnes avec une estime de soi faible et est souvent couplé à un état d’esprit pessimiste.
Mael Virat : Faut-il aimer les élèves ? "Monsieur, vous m'aimez pas". Mais faut-il marquer de l'affection aux élèves ? La tradition de l'école française serait à priori de dire non. Mael Virat n'est pas d'accord. Docteur en sciences de l’éducation, la polyvalence de son cursus universitaire en biologie, psychologie, philosophie, neuropsychologie et bien sur sciences de l’éducation, l’a conduit à orienter ses recherches sur la relation affective enseignant-élève. Et à lever le tabou : " il existe des centaines d’études, en psychologie de l’éducation, qui ont montré les nombreux effets positifs du lien affectif enseignant-élève". Il existe une controverse au sujet de la dimension affective dans les métiers de l’éducation. Parler d’un tabou est tout à fait approprié. Il y a donc vraiment un malaise quand on parle des « sentiments » à l’école… Une première explication vient de la place absurde que tient encore aujourd’hui la controverse instruction / éducation à l’école et dans les débats de société. La thèse de M Virat
De l'inutilité de la punition... Les punitions : un incontournable de l'éducation? J'entends beaucoup parler de la punition, il serait nécessaire de punir pour faire comprendre à l'enfant qu'il a fait une bêtise... Il faudrait contraindre l'enfant à accepter les règles en usant de punitions. Mais qu'est ce qu'une punition? Sur les réseaux sociaux et dans la vie en générale, les parents utilisent comme punition : le coin, la suppression d'un jeux ou de télévision, la suppression d'une activité, la fessée, la privation de dessert, ou simplement la menace de la punition... Un des arguments couramment avancé est que l'enfant a besoin de limites pour grandir et s'épanouir... Il faudrait donc contraindre l'enfant à accepter les règles et les limites... L'argument de ces personnes passent souvent par un parallèle avec les contraintes et lois qui régissent la vie des adultes....bah oui, si nous enfreignons une loi, nous sommes punis : avertissement, amende, prison... -utiliser le "stop" au lieu du "non" . Et vous?