comment ne plus punir ? ne plus punir à cet avantage de ne plus vous mettre en porte à faux : plus de punitions , donc plus de menaces à mettre à éxécution ! et oui il faut voir le positif ! ne plus punir cela veut dire ne plus faire "marcher au baton " son enfant , cela veut aussi dire supprimer le coin ainsi que l'isolement . concretement comment fait-on ? déjà on comprend pourquoi la punition n'apporte rien , et peut meme etre néfaste à la relation : punir n'a pas pour effet de faire réfléchir l'enfant,au contraire cela lui donne du ressentiment envers nous. cela ne lui enseigne rien si ce n'est à l'éviter et donc à faire les choses en cachette . à la place du coin ou de l'isolement qui avaient une utilité lors de conflits entre enfants ou lorsqu'un enfant avait un comportement inadéquat (s'excitait , n'écoutait rien....) on peut décider : - d'ignorer (et donc on supprime le renforcement négatif ) -de proposer de réparer : si l'enfant commet une maladresse ou abime quelque chose par exemple .
Alice Miller Revue "Non-Violence Actualité" Janvier/Février 2013 La colère chez l’enfant, signe de bonne santé psychique. Nous avons tous entendu dire : « T’es pas belle quand tu es en colère – Tu fais des caprices – Puisque tu cries, je te laisse»…. Accabler l’enfant par ces réflexions, c’est comme lui envoyer un « projectile » dans le cerveau qui, en attendant d’exploser à tout moment de sa vie (l’adolescence, l’âge adulte), le détruit à petit feu. Dès notre naissance, nous sommes dotés d’un système émotionnel très sophistiqué qui nous permet de ressentir la colère, la peur, l’angoisse de séparation et c’est grâce au déclenchement de ces émotions que nous pouvons assurer notre survie en appelant la présence de nos parents pour nous rassurer. Si les nourrissons sont constamment assaillis par ces émotions, c’est parce que leur cerveau cognitif qui permet d’analyser les situations, de faire des déductions et de se calmer tout seul, n’est pas encore assez développé pour lui permettre de réfléchir. Haut
35 activités pour aider les enfants à mieux vivre les émotions 35 activités pour aider les enfants à mieux vivre les émotions Posted by Christine Klein on 10 août 2014 · 1 commentaire J’ai découvert hier ce petit livre dont le titre m’a immédiatement attiré le regard. Et parce que je suis en vacances, je me permets de prendre le dimanche pour un vendredi ou un samedi :) et de vous faire un bref billet pour cette rentrée des VI. L’auteur d’abord, Gilles Dierderichs est musicothérapeute, sophro-relaxologue et auteur compositeur. Il travaille avec des enfants au quotidien, ce qui explique sûrement la richesse et la variété des idées d’activités qu’il propose. 35 activités autour du thème des émotions, c’est ludique et inventif, j’ai hâte d’en essayer quelques-unes avec ma fille de 3 ans et avec mes jeunes clients ! J’aime beaucoup la conception avec toutes les petites icônes pour savoir si l’activité se faire en intérieur ou dehors, ou les deux, si l’enfant peut la faire seul, à deux, avec ses parents, avec des copains. Bref, j’adhère ! Like this:
Alice Miller - Abus et Maltraitance de l'Enfant La rubrique courrier, n'est plus en activité, en consultant les lettres déjà publiées, vous trouverez peut être des réponses à vos questions Vous pouvez joindre Brigitte Oriol à l'adresse e-mail brigitteoriol@sfr.fr Alice Miller (12 janvier 1923 - 14 avril 2010), docteur en philosophie, psychologie et sociologie, ainsi que chercheur sur l'enfance, est l'auteur de 13 livres, traduits en trente langues. Des 192 membres des Nations Unies, seuls 19 ont jusqu'à présent interdit le châtiment corporel des enfants. Les humiliations, les coups, les gifles, la tromperie, l'exploitation sexuelle, la moquerie, la négligence etc. sont des formes de maltraitances parce qu'ils blessent l'intégrité et la dignité de l'enfant, même si les effets ne sont pas visibles de suite. C'est comme ça que l'ignorance de la société reste si solide et que les parents continuent en toute bonne foi à produire le mal dans chaque génération depuis des millénaires. Haut
Les émotions + outils pédagogiques - Les émotions font partie intégrante du fonctionnement des humains. Elles imprègnent nos pensées, notre comportement et nos expériences, elles motivent nos décisions les plus importantes, elles constituent l’essence même des rapprochements sociaux et elles sont au cœur des processus culturels et de socialisation . Qu’est ce qu’une émotion ? Une émotion est une réaction physiologique à une situation. La verbalisation des émotions produit un effet apaisant sur le système nerveux des enfants mais des adultes aussi ! Vos propres émotions. Avez-vous déjà prêté attention à vos propres émotions ? Connaitre ses propres émotions avant de comprendre celles des autres. Les comportements des adultes influencent ceux des enfants, vous êtes un modèle pour l’enfant. Reconnaître et exprimer vos propres émotions est important, la capacité à réguler vos émotions est directement liée aux compétences sociales : ce que vous pensez des émotions peut influencer le bonheur futur de l’enfant. Les émotions de l’enfant.
Prévention et lutte contre les violences en milieu scolaire : point d'étape En vidéo : intervention de Vincent Peillon lors du point d’étape sur les travaux de la délégation ministérielle chargée de la prévention et de la lutte contre les violences en milieu scolaire En vidéo : Eric Debarbieux présente l'"Enquête de victimation et climat scolaire auprès des personnels du second degré" Agir ensemble avec détermination en faveur d’un climat scolaire apaisé et serein Lors de l’installation de la délégation ministérielle à Amiens le 12 novembre dernier, le ministre de l’éducation nationale a affirmé sa volonté de "briser le silence" : "c’est la première fois que l’éducation nationale reconnaît en tant qu’institution le problème de la violence scolaire". Les plans qui se sont succédé en France ces dernières années ont en effet le plus souvent abordé cette question de manière partielle et court-termiste, c’est-à-dire au gré des faits divers et par le seul prisme de la lutte contre la délinquance et la violence d’intrusion. Ce dispositif a rencontré un grand succès.
8 réactions non punitives face aux comportements à problème Chaque fois qu’un enfant fait un geste ou a un comportement qui nous empêche de satisfaire un de nos besoins (besoin de calme, de silence, de respect, d’ordre…), ce comportement est inacceptable pour nous car il nous cause un problème. C’est donc à nous qu’appartient le problème. Dans son livre Éduquer sans punir, Thomas Gordon cite des exemples de problème appartenant aux parents : l’enfant fait du bruit quand le parent est au téléphone, il tape son frère avec des jouets, il joue quand ses parents sont pressés… Voici 8 réactions non punitives face aux comportements des enfants qui posent problème aux adultes tirées du livre Eduquer sans punir. Au delà des besoins physiques et physiologiques des enfants (faim, soif, envie de faire pipi, besoin de se dépenser et de bouger, sommeil, chaleur ou froid…), il existe des besoins affectifs forts chez les enfants. Les psychologues pour enfants parlent de la théorie de l’attachement. Thomas Gordon liste 8 avantages des messages-Je préventifs :
COMMUNIQUER AVEC BIENVEILLANCE - Rennes Mael Virat : Faut-il aimer les élèves ? "Monsieur, vous m'aimez pas". Mais faut-il marquer de l'affection aux élèves ? La tradition de l'école française serait à priori de dire non. Mael Virat n'est pas d'accord. Docteur en sciences de l’éducation, la polyvalence de son cursus universitaire en biologie, psychologie, philosophie, neuropsychologie et bien sur sciences de l’éducation, l’a conduit à orienter ses recherches sur la relation affective enseignant-élève. Et à lever le tabou : " il existe des centaines d’études, en psychologie de l’éducation, qui ont montré les nombreux effets positifs du lien affectif enseignant-élève". Il existe une controverse au sujet de la dimension affective dans les métiers de l’éducation. Parler d’un tabou est tout à fait approprié. Il y a donc vraiment un malaise quand on parle des « sentiments » à l’école… Une première explication vient de la place absurde que tient encore aujourd’hui la controverse instruction / éducation à l’école et dans les débats de société. La thèse de M Virat
De l'inutilité de la punition... Les punitions : un incontournable de l'éducation? J'entends beaucoup parler de la punition, il serait nécessaire de punir pour faire comprendre à l'enfant qu'il a fait une bêtise... Il faudrait contraindre l'enfant à accepter les règles en usant de punitions. Mais qu'est ce qu'une punition? Sur les réseaux sociaux et dans la vie en générale, les parents utilisent comme punition : le coin, la suppression d'un jeux ou de télévision, la suppression d'une activité, la fessée, la privation de dessert, ou simplement la menace de la punition... Un des arguments couramment avancé est que l'enfant a besoin de limites pour grandir et s'épanouir... Il faudrait donc contraindre l'enfant à accepter les règles et les limites... L'argument de ces personnes passent souvent par un parallèle avec les contraintes et lois qui régissent la vie des adultes....bah oui, si nous enfreignons une loi, nous sommes punis : avertissement, amende, prison... -utiliser le "stop" au lieu du "non" . Et vous?
Cap sur les droits de l'enfant Ce dossier pédagogique a pour objectif de permettre aux animateurs, enseignants, éducateurs, bénévoles de s’informer sur les principaux enjeux liés aux droits de l’enfant et de proposer les outils adaptés pour aborder la thématique avec le public. L’essentiel de la convention des droits de l’enfant Approche historique La construction de la convention Jusqu’aux révolutions en Amérique et en France, l’enfant est considéré comme la propriété de ses parents. Progressivement, l’attention nouvelle portée aux droits de l’Homme conduit les sociétés à s’interroger sur le statut de l’enfant. Après la seconde guerre mondiale, Eglantyne Jebb, Britannique et fondatrice de Save the Children Fund, élabore une charte pour les enfants et la présente à la Société des Nations. La Pologne propose un projet de convention des droits de l’enfant, inspirée par le courage du docteur Janusz Korczak. En 2015, 193 pays ont ratifié la convention. Les points clés de la convention Les 4 principes de la convention :
Le petit livre pour dire NON – Bouts de Ficelle Lors de différentes discussions sur la vie en famille, Catherine a évoqué ce petit livre qui a un grand succès auprès de ses enfants : Cet ouvrage (édité en 1998) est malheureusement épuisé, même si on peut encore le trouver d’occasion. A faire lire à vos enfants ou à lire avec eux ! C’est une occasion d’aborder ce sujet et de leur donner des outils pour se défendre. Je vous en mets ici quelques pages, pour vous donner une idée de son contenu. Véronique
Des outils pour travailler sur les émotions. - Ma classe d'ados autistes. Voici un exemple de séquence, qu'il faut bien sûr adapter en fonction de chacun. Objectifs : 1°) Apprendre à reconnaître les émotions des autres (sur les visages). 2°) Savoir quand on éprouve quelle émotion. 3°) Savoir exprimer ses émotions. Ce que je constate : L’élève a des difficultés majeures à reconnaître, interpréter et reproduire des expressions émotionnelles et donc, plus généralement, à partager des états émotionnels de façon ajustée et adéquate avec les autres. (cela ne veut absolument pas dire qu'il ne ressent pas d'émotion : voir Le témoignage de Josef Schovanec) Je peux penser que : Une séquence de travail spécifique sur les émotions aidera cet élève à avoir des comportements plus adaptés : ses relations sociales et sa façon de communiquer avec les autres progresseront grâce au contrôle de ses émotions. Ce travail peut paraître inutile, mais les élèves avec autisme ont des besoins spécifiques en ce qui concerne les habiletés sociales (voir Les émotions. ). Ce que je peux faire : S.
Bâtisseurs de possibles L’enjeu est de permettre aux enfants et aux jeunes de 6 à 18 ans de prendre des initiatives au service des autres et de la société et d’apprendre via des projets interdisciplinaires, coopératifs et créatifs. Ce faisant, les enfants, les jeunes, prennent conscience qu’ils sont acteurs du monde, citoyens actifs, et cela dès maintenant. Ils développent leur confiance en eux, leur capacité à travailler en équipe, leur créativité, leur expression orale et leur sens des responsabilités : des compétences clés pour leur réussite scolaire, leur épanouissement et leur capacité d’agir en citoyens. Bâtisseurs de possibles propose un cadre dans lequel les enfants peuvent exprimer leurs propres idées pour un monde meilleur et les mettre en action, en suivant 4 étapes : 1 – Identifier un problème à résoudre, une situation à améliorer 2 – Imaginer une solution 3 – Réaliser concrètement cette solution 4 – Partager son expérience avec les autres Vous êtes enseignant, éducateur, animateur ? des formations