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L'excision Etre en bonne santé est un besoin universel. Claire Hédon reçoit en direct des spécialistes pour faire le point sur l’actualité médicale dans le monde. Le but : faire de la prévention auprès du grand public, l’informer sur ses droits, sur les traitements et les moyens d’y accéder. Tous les jours, posez vos questions par mail à priorite.sante@rfi.fr ou par téléphone au 00 33 1 84 22 75 75. Et retrouvez Le Conseil Santé du jour en cliquant ici. *** Diffusions du lundi au vendredi: diffusions vers toutes cibles à 09h10 TU ; vers l'océan Indien et Afrique à 20h10 TU ; vers le Cambodge à 23h10 TU Retrouvez les sujets traités par cette émission sur RFI SAVOIRS =
Meufs Où l’on apprend que le culture du viol est si bien ancrée en Allemagne qu’elle est inscrite dans la loi, qui considère que si la victime ne riposte pas, c’est qu’elle se laisse un peu faire, quand même. Des violeurs jamais condamnés parce que meuf, entre nous, si vraiment t’avais pas eu envie, t’aurais pu lui foutre un bon coup de pied dans les couilles et t’enfuir, il était même pas armé ! Sans parler des viols conjugaux et là c’est le pompon : “En mars 2012, la Cour de cassation avait rejeté le recours d’une femme qui s’était refusée à son conjoint, avant de lui céder par peur de violences, sans crier, pour ne pas réveiller ses enfants. La Cour avait estimé que la victime, malgré ses blessures, pouvait s'enfuir et alerter des voisins.”
The Democratic Society | Making democratic conversations "Ne nous libérez pas, on s'en charge" Vers un féminisme post-colonial. « Mon voile est éminemment féministe. » Nargesse « Etre afroféministe c'est dire que je n'ai pas à choisir entre mes différentes identités. » Amandine Conceptualisée en 1989 par l'universitaire féministe américaine Kimberlé Crenshaw, l'intersectionnalité étudie les formes de domination et de discrimination dans les liens qui se nouent entre elles. En France, aujourd'hui, cette question fait débat entre féministes universalistes et féministes post-coloniales. En effet, depuis quelques années, une forte communauté de jeunes féministes afrodescendantes, noires ou maghrébines, s'est constitué sur Tweeter et Facebook. Alors, faut-il repenser le « Nous », de « nous les femmes » ? -Amandine, Many et Sharone, afroféministes -Nargesse et Hawa, féministes musulmanes -Le collectif Féministes contre le cyberharcèlement (sur Twitter @VsCyberH) -Maboula Soumahoro,maître de conférence à l'université de Tours. Texte d'introduction : Audre LordeSister Outsider, 1984 Écouter
toutalego The One World Collective 100 victimes de violences conjugales, 100 affiches dans les rues de Paris Léa, Fabienne, Maryvonne. 18 ans, 56 ans, 73 ans... Dans la nuit du jeudi au vendredi 25 novembre, jour international de lutte contre les violences faites aux femmes, le collectif féministe Insomnia a placardé dans les rues de Paris les visages, les noms et les âges de 100 femmes. Toutes victimes de violences conjugales, toutes tuées cette année par leur conjoint ou ex-conjoint. "Pour combattre le féminicide, il faut commencer par le nommer", affirme le collectif, qui revendiquait cet été une cinquantaine d'activistes. Si le féminicide existe en droit dans plusieurs pays d'Amérique latine, le terme n'est pas écrit noir sur blanc dans le Code pénal français. Les affiches ont été installées sous des abribus ou sur des panneaux publicitaires par des membres de ce collectif qui s'était notamment fait connaître avec ses actions contre les magasins Bagelstein et leur communication sexiste. Des violences au meurtre La préparation des affiches (Insomnia)
Premier stage pour collégiennes / lycéennes par Elles bougent - Accueil