Blog: la respiration : exercices La relaxation progressive de jacobson Le training autogène de Shultz Le training autogène de R Abrezol La relaxation est un des outils incontournables de lasophrologie car qu’elle permet d’atteindre un état de conscience modifié, appelé communément « au bord du sommeil » et qui favorise la communication avec notre cerveau émotionnel (cerveau limbique). Une pratique constante de la relaxation ou de laméditation installe un mécanisme protecteur contre les automatismes et schémas de pensée anxiogènes. Détendre le corps c’est détendre l’esprit. L’inspiration de l’artiste, le deuxième souffle, le souffle de la vie, le souffle coupé, etc. Au premier plan, bien évidement, l’apport en oxygène. Pour autant, pensons-nous souvent à sa fonction de régulateur émotionnel ? Un cerveau mal oxygéné stresse plus vite. Nos sociétés actuelles nous maintiennent dans le déni total des leviers de notre bien-être, de notre auto-prise en charge et nous laissent croire aux providentiels moyens externes.
Soigner en conscience – Le stress rétrécit littéralement le cerveau Article écrit dans le vif lien ici Le stress engendre non seulement de l’anxiété, mais peut aussi littéralement rétrécir le cerveau. Pour contrer ses effets néfastes, la méditation ou une activité sportive se révèlent bénéfiques Le stress chronique peut mener à des maladies physiques ou mentales comme la dépression. De nouvelles études menées par les universités de Berkeley (Californie) et de Yale (Connecticut) viennent démontrer que le stress pouvait aussi littéralement rétrécir le cerveau, relate De Morgen. Le stress est la maladie du siècle, il représente, en biologie, l’ensemble des réponses d’un organisme soumis à des pressions ou contraintes de la part de son environnement. Il ressort de l’étude de Kaufer que le stress chronique stimule le développement de la matière blanche du cerveau et ralentit la production de matière grise. Quand la masse grise diminue dans le cortex préfrontal, il est alors plus difficile de contrôler son anxiété et ses réactions aux situations de stress.
Salut, ça va ? … ! Un grand classique de la convivialité le matin : on se croise et c’est au premier qui va dégainer : « salut, ça va ? ». Mais est-ce toujours de la convivialité ? Prenons quelques cas de figure. Façon « Hep taxi ! Je lance mon « salut ça va ? mais pourquoi ne m’a-t-il pas répondu ? Bon, j’ai aussi le droit de penser que le collègue ne m’a pas entendu, pas vu. Façon « Le train ne s’arrêtera pas à ma gare » Prenons, maintenant le cas inverse où c’est mon collègue qui a dégainé le premier : « salut, ça va ? Il faut que je vous explique qu’entre le « salut » et le « va », le collègue a parcouru 2 mètres et qu’il continue son chemin sans même attendre la réponse. Pas top, pour la convivialité, non plus ! Façon « Ai-je le choix de ma réponse ? Cette fois-ci, c’est mon chef qui m’apostrophe avec le maintenant fameux « salut, ça va ? Au niveau de la convivialité, pourrait-on appeler ça … le minimum syndical ? Façon « Si j’aurais su, j’aurais pas venu » La convivialité aurait-elle des limites ?
Article : 7 exercices pour être zen Ce long week-end a été un moment idéal pour être tendre avec soi-même, corps et esprit. Il s'agit maintenant de rééquilibrer le dynamisme de l'action et la douceur de la détente. S'écouter, prêter attention à toutes les sensations qui nous habitent à l'instant " t " permet de se rééduquer aux petits plaisirs de la vie. 1. Encore dans un demi-sommeil, prenez conscience de la position allongée de votre corps, de son poids, de ses zones de contact avec le matelas. 2. Une fois devant votre bol de café (ou de thé) fumant, fermez les yeux. 3. Programmez-vous de courtes marches découvertes, d'un pas alerte. 4. L'idée n'est pas de dormir mais de se relaxer de 1 à 5 minutes. 5. Cette gymnastique en trois étapes est à pratiquer plusieurs fois par jour. 1/Laissez les mains ballantes et secouez les poignets. 2/ Relâchez les épaules et secouez-les. 3/ Activez la mâchoire de haut en bas et de gauche à droite et inversement. 6. Campez-vous debout, les pieds bien à plat sur le sol. 7.
Relaxation profonde pour les enfants | mindfulkids La relaxation profonde est une chance merveilleuse de permettre à notre corps de se reposer. Quand notre corps est à l’aise et détendu, notre esprit peut aussi être calme et en paix. La pratique de la relaxation profonde est très importante pour guérir note corps et notre esprit. S’il vous plait, prenez le temps de faire cette pratique très souvent. Vous pouvez pratiquer la relaxation à n’importe quel moment de la journée, même juste cinq ou dix minutes quand vous vous réveillez le matin ou en allant vous coucher le soir, ou pendant une pause au milieu d’une journée bien remplie. Le plus important, c’est que cela vous fasse plaisir. S’il vous plait allongez-vous confortablement sur votre dos. Savez-vous que vous êtes un miracle ? On commence par inspirer et expirer. En inspirant, j’étire mes mains. En inspirant, je sens mes deux bras. En inspirant, j’étire mes deux bras. En inspirant, je sens mes épaules. En inspirant, j’étire mes pieds et mes orteils. En inspirant j’étire mes jambes.
10 bonnes raisons de se moquer du regard des autres Une difficulté que je rencontre fréquemment chez mes clients, qu’ils soient salariés, indépendants, managers ou chefs d’entreprise c’est d’affronter sereinement le regard des autres. Voici 10 excellentes raisons de ne plus nous préoccuper d’un juge qui existe avant tout dans nos têtes. Le regard des autres nous intimide, nous impressionne, il influence nos opinions comme nos comportements. Il devient rapidement une sorte d’entité autonome – les Autres – dont l’œil impitoyable serait à l’affût du moindre manquement, du plus petit défaut, pour nous mettre ensuite au pilori, voire au banc de la société. Le juge suprême. Et comme – curieusement? Du coup, nous passons beaucoup de temps à passer nos comportements au moulin à jugement avant d’agir et l’écart entre ce que nous sommes, ce que nous voudrions bien pouvoir être et l’image que nous nous efforçons de donner se creuse jusqu’à atteindre des proportions dignes du Grand Canyon. 1- Le jugement des Autres, c’est le nôtre Voir aussi
Y arriver malgré tout - Jacques Lecomte, article Psychologie Le sentiment d'efficacité personnelle, concept défini par Albert Bandura, désigne la confiance qu'a un individu en sa capacité à mener à bien une activité. Ce sentiment lui permet alors de s'engager plus aisément dans l'action et de persévérer malgré les difficultés. Y a-t-il une disposition psychologique apte à faciliter de bonnes performances sportives, à améliorer les résultats scolaires, à permettre aux phobiques de guérir de leurs troubles, à inciter des patients à respecter les prescriptions de leur médecin, à améliorer la compétence organisationnelle des managers, etc ? Oui, répond Albert Bandura, professeur de psychologie à l'université de Stanford. Il s'agit du sentiment d'efficacité personnelle, appelé aussi « auto-efficacité », thème auquel il a consacré un volumineux ouvrage récemment (1). Le parcours des innovateurs Un sentiment optimiste d'efficacité personnelle constitue une attitude adaptative. Ceci peut notamment se constater dans le domaine artistique et littéraire.
Le déroulement d'une séance de visualisation et imagerie mentale Il n'existe sans doute pas de limites aux situations dans lesquelles la visualisation ou l’imagerie mentale peuvent jouer un certain rôle. Mais dans beaucoup de cas, l'effet ne peut être évalué que de manière subjective. Mentionnons aussi que ces approches sont souvent utilisées de concert avec d’autres techniques similaires, l’autohypnose et la relaxation, par exemple. Il est donc parfois difficile de départager l’action spécifique de chacune d’elles. Réduire et prévenir le stress et l’anxiété, et améliorer le bien-être. Réduire les effets indésirables de la chimiothérapie. Réduire la douleur. Par contre, en 2011, les auteurs d’une synthèse d’études réalisées sur le soulagement des douleurs musculosquelettiques n’ont pu conclure que l’imagerie mentale était efficace. Améliorer les fonctions motrices. Réduire l’anxiété préopératoire ainsi que la douleur et les complications postopératoires. Améliorer la qualité de vie relativement au cancer. Soutenir la créativité.
STRESS | Comment vaincre son stress ? Affirmations positives Les affirmations positives sont d’excellents moyens pour vous aider à surmonter vos peurs, pour développer votre confiance en vous, pour développer votre esprit d’abondance et beaucoup d’autres choses. Le problème des affirmations positives est que beaucoup de personnes ne savent pas comment s’y prendre pour en trouver ou pour en écrire qui soient efficaces. La ligne directrice est que l’affirmation peut être considérée comme efficace si elle travaille pour vous ! Le but des affirmations positives est de changer vos pensées et vos émotions pour que vous vous sentiez plus à l’aise, plus heureux, plus sûr de vous, en un mot que vous accomplissiez ce que vous rêvez d’accomplir. Pour vous aider à créer vos propres affirmations positives, jetez un coup d’œil à celles que je vous livre ci-dessous. Pour ceux qui ne savent pas comment se servir de ces affirmations positives, lisez mon article sur la méthode Coué et appliquez la méthode aux affirmations positives que vous aurez retenues.
Site : les risques psycho-sociaux et le burn-out Le burn-out se définit par un épuisement physique et psychique, par un sentiment d’impuissance, par une grande fatigue émotionnelle et par le développement d’une vision négative de soi et de ses capacités au travail. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) définit le burn-out par « un sentiment de fatigue intense, de perte de contrôle et d’incapacité à aboutir à des résultats concrets au travail ». Le burn out se caractérise par 3 phases: Épuisement émotionnel: renvoie au manque d’énergie, au sentiment que les ressources émotionnelles sont épuisées. Dépersonnalisation ou le cynisme : renvoie au développement d’attitudes impersonnelles, détachées, négatives, cyniques. Accomplissement : s’exprime par le manque d’accomplissement personnel.
psychologie du champion Les 6 bonnes façons de gérer sa colère | Microcoaching Certains d’entre nous ont l’habitude de gérer l’agressivité des autres, mais se retrouvent complètement démunis quand il s’agit de gérer leur propre colère, tout simplement parce qu’ils ne se donnent pas le droit de la ressentir, ou parce qu’ils pensent que c’est une émotion “incorrecte”.Alors comment gérer cette émotion tout en se protégeant ? En pratique : Acceptez votre colère comme une émotion normale. Arrêtez de faire comme si tout allait bien ! Demandez-vous ce qui vous énerve exactement, de façon à pouvoir le transcrire en mots de façon précise et juste. Interrogez-vous sur le besoin que vous ressentez. Verbalisez votre colère de façon à être entendu et votre besoin satisfait. Si vous sentez que vous allez vous énerver quand même, reportez la discussion. Ne transférez pas votre colère sur quelqu’un (au choix votre conjoint, vos enfants, un autre collègue…) qui n’est pas concerné par ce qui cause votre émotion .
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