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Quel avenir pour les boutiques 3.0 ? - TRIBUNE

Quel avenir pour les boutiques 3.0 ? - TRIBUNE
Aux Etats-Unis, 45,9% des consommateurs en ligne se rendent dans des magasins physiques pour comparer des produits avant de les acheter sur le Web (étude ClickIQ). Confrontés à un « smart » consommateur équipé d’une armada d’applications leur permettant de comparer les prix, les magasins sont réduits à de simples showrooms, au profit des leaders de la vente en ligne Amazon ou eBay. Une menace que les détaillants prennent très au sérieux. Best Buy, en pleine chute des ventes, a remplacé les codes barres de ses produits par des codes barres personnalisés pour éviter que les produits puissent être scannés et comparés en ligne. Mais cette nouvelle tendance n’est pas une chronique du déclin inéluctable des distributeurs traditionnels : elle est symptomatique d’une profonde mutation. O2O : online-to-offline, ou comment mettre le digital au service de la vente en magasin. Les enseignes américaines de la grande distribution contre-attaquent, avec en tête les géants Macy’s, Walmart ou Sears. Related:  commerce digitale

Bien comprendre le SoLoMo | Promo Autour De Moi (PADMI) C’est dans l’air du temps, on en parle de plus en plus. SoLoMo par ci, SoLoMo par là. Mais au final, qu’est-ce que c’est ? Le SoLoMo, nous l’avions déjà abordé dans cet article. Il s’agit de l’acronyme de Social Local Mobile, qui mélange le surf sur mobile, la géolocalisation et des interactions avec son réseau social. On peut alors se demander qu’est-ce qu’un SoLoMo Shopper ? A en voir les tendances du marché, les usages des consommateurs ont évolués et considérablement changés. L’interaction est essentielle et permet bien évidemment de fédérer une communauté autour de la marque, ou d’un quartier. En conclusion, le SoLoMo est devenu le maitre mot d’une campagne de communication réussie sur le web 3.0 … il faut donc lier l’approche virtuelle (site internet, applications,…) avec une offre de proximité (aller chercher son bien ou service directement chez le commerçant).

Darty condamné à 100 000 euros pour défaut de protection des données de clients La Commission nationale Informatique et libertés (Cnil) réunie en formation restreinte a condamné la société Darty à 100 000 euros d'amende pour ne pas avoir suffisamment protégé les données des visiteurs de son site Internet. fuite de données Rappel des faits : en mars 2017, les équipes de la Cnil constatent l’existence d’une faille de sécurité sur le site Internet de Darty. Il était possible d’accéder à "l’ensemble des demandes et des données renseignées (sic) par les clients de la société, via un formulaire en ligne de demande de service après-vente", indique la Cnil dans un communiqué. Parmi les informations ainsi accessibles figuraient les noms, prénoms, adresses postale et de messagerie ainsi que les numéros de téléphone des clients. Lors du contrôle, les équipes de la Cnil constatent que le logiciel fautif a été développé par un prestataire extérieur. une réaction trop lente ? Bonne volonté de l'entreprise pendant l'enquête Toutefois, la décision sera rendue anonyme dans deux ans.

10 points pour améliorer son expérience client et la fidélisation Nous l’avons vu, la fidélisation est un travail quotidien pour les entreprises. Créer de l’attachement à une marque et ses produits prend du temps et nécessite d’être centré sur les attentes de ses clients en permanence. Aujourd’hui, nous allons aborder l’expérience client. Globalement, je définirais l’expérience client comme étant l’ensemble des moments (émotions, sentiments) qu’il vit dans son parcours avec une société : de la prospection à la consommation régulière des produits et services proposés. Cette expérience est basée sur un élément fondamental : ses attentes et la façon dont vous aller y répondre ou les dépasser. On comprend rapidement que plus la connaissance client est importante dans une société, plus l’expérience client a des chances d’être bonne voir excellente et sa fidélité plus forte. L’expérience client est une composante majeure de la fidélisation : la concurrence est importante, les clients sont exigeants et volatiles, au moindre écart vous risquez de les perdre.

Instagram travaillerait sur une application... L’information est au conditionnel, bien que sa source provienne d’Instagram. Le réseau social travaillerait sur une application autonome afin de permettre à ses utilisateurs d’acheter en ligne, selon un article publié sur le site The Verge et daté du 4 septembre 2018. Baptisée IG Shopping, elle permettrait aux commerçants présents sur la plateforme de vendre directement leurs produits. Si le réseau social n’a jamais caché son intérêt pour la vente en ligne, il se limite pour le moment à l’ajout de fonctionnalités in-app, comme la fonction Shopping qui permet à un utilisateur qui a tapoté sur l’image d’un produit d’afficher le prix puis d’être redirigé vers le site marchand d’une marque. Le dispositif est limité à cinq produits par photo. Testée en France auprès de quelques marchands comme Sephora, Clarins, La Redoute, Birchbox et Le Slip Français, cette fonctionnalité a peut-être fait figure de première étape dans le développement d’une vraie plateforme de commerce en ligne.

Comment intéresser les clients dans un monde d’hyperconsommation Le marketing a été théorisé dans le courant des années 1960, mais en fait a commencé vers 1880 avec l’apparition de la production de masse de marchandises de grande qualité et une baisse des prix. On invente alors le packaging et l’individualisation du produit, au lieu de la vente en vrac. Sont également créées de grandes marques qui lancent les premières campagnes nationales de publicité. On assiste à l’émergence du consommateur moderne, qui achète le produit sans l’intermédiaire obligé d’un vendeur (vente en libre-service) et juge l’article d’après la marque. Aujourd’hui nous sommes dans un monde d’hyperconsommation et l’on voit se développer le multi-équipement des ménages. On observe la montée d’une consommation émotionnelle, expérientielle. Enfin il n’y a plus de normes ou de volontés qui s’opposent à la satisfaction des besoins. Dans toutes les sphères de la vie s’imposent les principes du libre-service et le calcul individuel des coûts et bénéfices.

Instagram intègre deux fonctions shopping à... Instagram reste muet comme une carpe au sujet de la sortie d'une application dédiée à 100% à la vente en ligne, dont le développement a été révélé par The Verge début septembre. Mais le groupe muscle les fonctionnalités shopping directement au sein de son réseau social de partage de photos et de vidéos. A la suite d'un test lancé au mois de juin 2018, la filiale de Facebook déploie à grande échelle dans 46 pays (dont la France) la fonction shopping dans les Stories (vidéo ou série de photos ou dont la durée de vie n'est que de 24 heures) des professionnels. Les entreprises peuvent désormais taguer les articles mis en valeurs dans ces publications, poussées par Instagram en haut du fil d'actualité des internautes qui les suivent. Les marchands ne souhaitent pour le moment pas que le paiement soit réalisé directement sur Instagram car ils veulent garder le contrôle de cette partie clef de la chaîne de valeur. 2 millions d'annonceurs

SoLoMo : Nouvelle arme de fidélisation massive ? || Brand-Shopper || Post store SoLoMo, acronyme apparu fin 2011 pour définir la convergence entre réseaux sociaux, géolocalisation et nouveaux usages du mobile a été présenté comme l’une des grandes tendances pour l’année 2012. Qu’en est-il aujourd’hui ? Ce concept est-il un simple levier de communication évènementielle ou a-t-il le potentiel pour devenir une un outil durable de marketing relationnel ? Retour sur quelques dispositifs emblématiques … Orange a expérimenté la communication SoLoMo en organisant cet été son premier concours de « check-in » sur Foursquare. Un dispositif SoLoMo complet : relais de l’opération sur les réseaux sociaux, choix de Foursquare (réseau social pionnier de la géolocalisation) et déploiement mobile sur Smartphone. Variante de ce dispositif : Coca-Cola organise une opération évènementielle fondée sur un jeu exploitant l’application Foursquare. The Coke Machine Fairy from Will Miles on Vimeo. Enfin le célèbre VADiste La Redoute se lance dans le SoLoMo avec un dispositif de social gaming.

Social data : Linkfluence lève 18 millions... Annoncée le 1er octobre 2018 et menée par Ring Capital et Tikehau Capital, la nouvelle levée de fonds réalisée par Linkfluence est la plus grosse levée réalisée depuis 3 ans sur le marché du social listening. Elle va permettre à la start-up d’accélérer son développement sur le plan technologique (investissements en R&D sur ses technologies d’intelligence artificielle) et son expansion à l’international, notamment via l’acquisition de Scoop.it, la plateforme de monitoring de contenus basée à San Francisco. Un rapprochement qui devrait lui permettre d’accélérer de 50% ses efforts en matière de recherche et développement en s’appuyant notamment sur l’équipe d’ingénieurs de Scoop.it. Le rachat permet par ailleurs à Linkfluence de compléter son offre en ajoutant une solution de web content monitoring. La société, qui n'a pas souhaité communiquer le montant de l'acquisition, précise que le co-fondateur de Scoop.it, Guillaume Decugis, prend la tête de Linkfluence.

13 exemples de marketing sensoriel réussi et raté Dans le prolongement de l’article d’hier sur le brand content, je vous propose aujourd’hui un article sur le marketing sensoriel avec 13 exemples différents. Marketing sensoriel quésaco? Qu’est ce que le marketing sensoriel ou expérientiel ? Il s’agit d’une nouvelle approche du marketing qui engage le consommateur dans une démarche positive, permettant d’établir un lien durable avec la marque au travers d’une expérience sensorielle unique. Quelques chiffres peuvent illustrer l’effet des émotions sur le comportement des consommateurs: Source : Jack Morton, Survey 2006 Cette pratique du marketing est majoritairement utilisée pour le BtoC, dans les flagships et magasins éphémères afin de créer une valeur ajoutée. Quels sont les avantages du marketing expérientiel? Marketing sensoriel BtoC Abercrombie & Fitch est un symbole de la pratique du marketing expérientiel, la marque de prêt-à-porter utilise 4 sens afin de créer une expérience de consommation qui reflète son image de marque.

Environ 70% des marketeurs US ont utilisé... Selon un rapport publié le 13 décembre par eMarketer, 69,2% des spécialistes du marketing américains auront utilisé Instagram en 2018. Instagram affiche ainsi une progression de plus de 6% et devrait doubler ses recettes publicitaires outre-Manche cette année, pour atteindre 6,12 milliards de dollars. La stratégie d’Instagram, propriété de Facebook commence à payer : elle incite les professionnels, via de nouvelles fonctionnalités, à relayer des publications et vidéos promotionnelles avec leurs abonnés, sans nécessairement passer par l’achat de publicité. La société développe également des outils qui la font de plus en plus tendre vers une marketplace. De son côté, la maison mère encourage les professionnels à diffuser leurs contenus publicitaires sur Instagram en leur proposant de cocher une case pour les ajouter automatiquement sur les deux plateformes. Les réseaux sociaux professionnels matures ne sont pas en reste.

Le point de vente jouera le rôle d'ambassadeur de la marque Pour les magasins, il devient important de se focaliser sur l'expérience d'achat et la relation avec le consommateur, plus que sur le canal de vente. Tous devenant importants, et le magasin prenant souvent le rôle d'endroit de démonstration et d'accompagnement. Afin de comprendre les évolutions des usages digitaux du consommateur et de leurs impacts sur le commerce physique, une étude a été menée par Bearing Point à la demande du Conseil National des Centres Commerciaux (CNCC). Celle-ci met l’accent sur les nouvelles tendances et revient sur l'idée selon laquelle le point de vente de demain ne sera plus le principal lieu d’achat et se concentrera sur l’expérience avec le consommateur. Un service humain et personnalisé Cela, afin de répondre aux attentes d'un consommateur qui souhaite un service de plus en plus personnalisé. Préparer l’acte d’achat

Effet Waouh, effet Flop, effet Pfff… trois effets sur la relation client - Le blog du manager commercial L’effet Waouh ! - Waou, Whaou ou encore Wow effect – est largement documenté sur le web. Utilisé au départ surtout à propos du marketing produit, il s’applique aussi à la relation avec le client. Susciter dans les contacts l’étonnement, l’admiration, la gratitude, l’enthousiasme du client : tel est son enjeu. L’effet Waouh ! D’abord la sur-mémorisation de l’instant et de son impact émotionnel. L’effet Flop ! L’effet Pfff… qui démotive le front-office Il appartient aux maladies pernicieuses de l’entreprise. « Avant, je transmettais les remarques des clients sur les erreurs dans la documentation. Je reviendrai dans d’autres billets sur les pratiques managériales qui aident à éviter les malheureux effets Flop !

Expérience client : une réalité Pourquoi seul un client sur dix se dit satisfait de son expérience client alors que sur le même thème il se dit convaincu d'offrir une excellente expérience. D'où provient cet écart de perception ? D'abord, un grand nombre d'initiatives de croissance aliènent purement et simplement les clients existants. En multipliant frais annexes, commissions tatillonnes et autres sources de « mauvais profits » pour gonfler leur chiffre d'affaires, certaines entreprises se mettent à dos des acheteurs jusque-là fidèles et rentables. Intuit, l'éditeur de logiciels, a voulu surmonter ainsi en 2001 une panne de croissance en augmentant le coût de son service d'assistance téléphonique et en limitant ses licences de logiciels à un seul ordinateur. Ses clients ont commencé à fuir vers la concurrence et cet incident de parcours est devenu une crise majeure. D'autres entreprises concentrent toute leur attention sur l'acquisition de nouveaux clients, en négligeant leurs clients existants.

Dossier | Le comportement des consommateurs L'étude Leo Burnett PeopleShop identifie notamment six grands "profils" de shoppers, basés sur des attitudes et motivations d'achat différentes : les Shoppers Economes, les Shoppers Routiniers, les Shoppers Stratèges, les Shoppers Qualité, les Shoppers Passionnés et les Shoppers Opportunistes. A chaque catégorie de produits étudiée, on constate ainsi bien souvent la domination d'un, voire deux profils shoppers. Source : Etude PeopleShop de Leo Burnett, septembre 2012

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