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Région Île-de-France Ressources cinématographiques Voici une petite liste de films intéressants en lien avec le programme de Bac pro! L'histoire est l'une des matières qui est souvent abordée dans les films notamment l'histoire contemporaine qui est souvent retracée dans de nombreux films, mais attention un film reste une fiction, même s'il est basé sur des faits réels! - American history X (Tony Kaye) en lien avec Égalité, différences, discriminations (Education civique, Seconde pro) Questionnaire sur le film - Apocalypse Now (Francis Ford Coppola) en lien avec Les États-Unis et le monde (1917-1989) (Histoire, Terminale pro) Analyse et critique du film Dossier pédagogique - Blood Diamond en lien avec Les dynamiques des périphéries (Histoire, Première pro) Fiche pédagogique - Cauchemar de Darwin (Le) (Hubert Sauper) en lien avec Les dynamiques des périphéries (Histoire, Première pro) Dossier pédagogique - L'ennemi intime (Florent-Emilio Siri)en lien avec La décolonisation et la construction de nouveaux États : Inde, Algérie. Dossier pédagogique

La douche froide de "Psychose" : anatomie d'une scène culte Le point d’orgue de "Psychose" (1960) démarre à la 46e minute du film. Elle agit comme la première grande bascule dramatique, puisque Hitchcock y fait mourir sa star, que la caméra n’a pas quittée depuis l’ouverture. "L’idée, dit-il à François Truffaut dans leurs célèbres entretiens, consiste à dilater la première partie du film (le vol d’un magot par Marion Crane, une secrétaire de Phoenix, Arizona) de manière à pousser le public à se focaliser sur la paranoïa de Crane et par là même renforcer l’effet de surprise que revêt son assassinat à mi-parcours." La scène a nécessité sept jours, soit un tiers du contrat de trois semaines signé par Janet Leigh. Pas de trucage mécanique, en revanche, pour les coups de poignard. A Truffaut, Hitchcock mentionne que la production lui avait fabriqué "un merveilleux torse factice avec le sang qui pouvait jaillir sous le couteau". La seconde, Ann Dore, incarne celle qui apparaît au début de la séquence, derrière le rideau...

Psychose du 20 août 2013 Le livre d'entretiens Hitchcock-Truffaut paru en 1966 est sans doute aujourd'hui encore le livre de cinéma le plus célèbre. L'ouvrage s'appuie sur l'entretien fleuve accordé par Hitchcock à Truffaut durant toute une semaine de l'été 1962. Au moment de La Mort aux trousses , Alfred Hitchcock n'avait aucune idée de ce qu'allait être son prochain scénario. À sa sortie aux États-Unis, le film est mal reçu par la critique. **Les influences** Selon certains critiques, on peut voir en Cecil B.DeMille une influence majeure d'Hitchcock.

Psychose 1. Étude du roman de Robert Bloch • Recommandations préalables Niveau lycée Le roman est constitué de huit séquences narratives bien délimitées. En étudiant en moyenne deux séquences par heure de cours, on peut consacrer deux semaines à l'étude du récit écrit, à raison de deux séances par semaine. • Première séquence : chapitre I des pages 5 à 16On appelle ici « séquence narrative » (à ne pas confondre avec « séquence pédagogique ») une unité de récit qui a pour caractéristique soit une péripétie, un nœud, une étape cohérente qui peut être analysée à travers un schéma narratif complet en 5 étapes. La méthode utilisée pour étudier ce récit est maintenant bien familière à nos lecteurs : on donne à lire, avant l'étude en classe, un passage qui constitue une véritable unité narrative (séquence, ou groupe de séquences que le professeur a repérées à l'avance). • Une fiche détaillée sur Norman Bates • Une fiche sur le personnage de la mère • Le personnage de Mary Crane Sam et Mary 2.

La mise en scène de la violence : PSYCHOSE d'Alfred Hitchcock - Collège La Taillette - Menucourt PSYCHOSE, Alfred Hitchcock (1960) - Scène du meurtre dans la douche A voir et revoir ici : Révolution narrative : comment tuer le personnage principal du film après 45 minutes... La position ambiguë du spectateur comme voyeur Découpage de la séquence : l’art du montage qui ne "montre" rien et suggère tout Fondu enchaîné bonde/oeil Motif du cercle : pommeau de la douche, la vue du nombril de Marion Crane, le gros plan sur sa bouche ouverte, la bombe de l’écoulement d’eau et, au final, son oeil (iris et pupille fixe). Utilisation de la musique : Bernard Hermann, collaborateur d’Hitchcock Comment Hitchcock "contourne" le code Hayes et notamment l’article suivant : Le crime ne doit pas être présenté d’une façon qui créerait de la sympathie pour le criminel ou inspirer au spectateur un désir d’imitation. Aucun film ne sera produit qui porterait atteinte aux valeurs "morales" des spectateurs.

Références : Psychose - The Simpsons Park : Toute l'actualité des Simpson ¤ Simpson Horror Show - Saison 2 ? La maison hantée qu'achètent les Simpson ressemble étrangement à la maison du film. ¤ Tous à la manif - saison 2 ? ¤ Le flic et la rebelle - Saison 3 ? ¤ La veuve noire - saison 3 ? ¤ Simpson Horror Show III - saison 4 ? ¤ Le grand frère - saison 4 ? ¤ Marge à l'ombre - saison 4 ? ¤ Lac Terreur - saison 5 ? ¤ Qui a tiré sur Mr Burns, partie 1 - saison 6 ? ¤ Qui s'y frotte s'y pique - Saison 16 ? AUTRES RÉFÉRENCES ¤ Aux frontières du réel - saison 8 L'orchestre philarmonique qui passe dans le bus joue la musique que l'on entend pendant la scène de l'attaque de la douche. ¤ Le chef-d'oeuvre d'Homer - saison 10 La scène où Homer essaye de semer le barbecue accroché derrière sa voiture fait référence à la scène ou Marion Crane conduit sous la pluie après avoir volé l'argent. CRÉDITS Textes : Heub Images : © Fox © 1960 Universal Pictures Les images sont utilisées uniquement à titre d'illustration.

» Fenêtre sur cour, Alfred HITCHCOCK, 1954 Introduction : séquence initiale en extérieur jour ou séquence d’ouverture : ce dernier mot résonne directement avec le premier mouvement de caméra, un travelling avant avançant dans l’axe d’une fenêtre ouverte sur une cour (cf. titre du film). Structure simplifiée : extrait organisé en deux parties, deux mouvements circulaires de grue (dans le sens anti-horaire, sens contraire des aiguilles d’une montre) décrivant le décor de la cour intérieure (il s’agit d’un film tourné en studio). Ces deux mouvements se terminent, commencent ou sont articulés par quelques cadrages en très gros plans (James Stewart, sueur, thermomètre, photographies…). Narration : la fonction principale de cette séquence est de présenter le lieu du drame et le personnage principal, lui composant une véritable carte d’identité (James Stewart devient L.B.

Psychose d'Hitchcock Le film Hitchcock sort actuellement sur les écrans. C’est l’occasion de revoir Psycho : rarement film fut aussi achevé dans sa structure et riche dans sa thématique. Il suffit, pour s’en persuader, d’interroger ce chef-d’oeuvre à travers le réseau interactif qui relie mise en images, décor, musique, personnages et dialogues. Analyse du film d’Alfred Hitchcock, Psycho/Psychose (USA, 1960), par Henri Philibert-Caillat. La licence de ce document figure en bas du texte. 1. Le propre de tout chef-d’œuvre artistique est, dit-on, de proposer de multiples significations et d’influencer les créateurs à venir par son aspect novateur. Rarement film fut aussi achevé dans sa structure et riche dans sa thématique que Psycho. Se dessine alors, claire ou allusive, sa vision de l’homme et de ses rapports avec le monde. En guise de préambule : une anecdote, deux avis et trois précisions. Norman « My mother just goes a little mad sometimes. « Ma mère devient parfois un peu folle. Marion « Yes. « Oui. 1.1. 2.

NORMAN BATES (Psychose) De tous les serial-killers jalonnant l’histoire du cinéma, Norman Bates demeure la référence ultime, la pierre de touche à partir de laquelle sera pensé un grand nombre de psychopathes de fiction – jusqu’à influencer le slasher (Halloween, Vendredi 13, Scream). Pas un hasard si ce personnage insaisissable fait à présent l’objet d’une série dédiée retraçant son enfance, en forme de genèse du mal. Reste qu’à l’origine chez Hitchcock (Psychose, 1960), à rebours de la trajectoire empruntée plus tard par les médiocres séquelles des années 1980, l’opacité du tueur incarné par Anthony Perkins se veut presque totale. C’est qu’entre les deux personnalités qui le hantent – d’un côté un enfant à la voix délicate et au regard timide, de l’autre une vieille femme autoritaire et sanguinaire -, la perception du spectateur achoppe. Se dérobe l’idée même qu’une seule de ces figures puisse déterminer ce jeune homme propre sur lui et élancé. via GIPHY 7 choses à savoir sur Norman Bates 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.

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