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Google Art Project : le musée virtuel, une expérience « froide »

Google Art Project : le musée virtuel, une expérience « froide »
Le musée virtuel est en pleine accélération. On vient d’assister coup sur coup au lancement de la plateforme communautaire du Louvre et à la mise en ligne d’une appli développée par Google, le Google Art Project, qui permet de visiter dix-sept musées depuis votre ordinateur. Avant de vous parler de cette dernière initiative qui a au moins autant de détracteurs que ceux qui déplorent la mainmise de Google sur la numérisation des bibliothèques (10 millions d’ouvrages accessibles via Google Books), on a préféré faire tester le dispositif par quatre riverains. Depuis quinze jours, vous pouvez vous promener en quelques clics dans les travées du musée Van Gogh à Amsterdam ou au MoMA à New York. Leurs retours sont plus que mitigés. Voilà pour la promo. Xavier, 55 ans Au moins une expo ou une galerie par mois : Lapin Bleu, 33 ans Grâce au Google Art Project, il est retourné au musée Kampa de Prague, qu’il a aimé dans la vraie vie : Abel, 14 ans Déborah, 29 ans Interview Non. Cela dépend. Related:  2. Evolutions et histoire des musées

Google Art Project : un musée pas si ouvert Quand Google offre aux 2 milliards d'internautes terriens une visite gratuite des plus grands musées du monde et l'accès à 1061 célèbres tableaux photographiés en très haute résolution, comment peut-on l'accuser d'œuvrer contre l'intérêt général ? De restreindre l'accès du grand public au patrimoine culturel ? Une telle position paraît pour le moins absurde en regard du Google Art Project sorte de Google Street View intra-musées mis en ligne la semaine dernière. Et pourtant, ces arguments sont défendus par de nombreux militants libristes, dont les contributeurs des projets Wikimédia, qui ont une tout autre idée de la notion de partage de la culture. Ils déplorent notamment que les reproductions ne soient pas téléchargeables, et que Google évoque une protection de ces images par le droit d'auteur, alors que nombre des œuvres concernées sont tombées dans le domaine public depuis belle lurette. Le projet est impressionnant. Détail de “La Nuit étoilée” de Van Gogh -- DR Google ?

Ces musées qui donnent accès à leurs collections en ligne Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Emmanuelle Jardonnet Une infinité d'œuvres d'art sont accessibles en ligne en quelques clics – souvent en petit format, dans une définition moyenne, mais, surtout, qui ne sont pas exploitables sans autorisation. Face aux usages des étudiants en art, de leurs professeurs comme de n'importe quel spécialiste ou amateur, qui utilisent Internet pour consulter ou utiliser des reproductions facilement et rapidement, certains musées prennent les devants pour offrir en libre accès des images grand format et de qualité. Un positionnement qui leur permet de se montrer en phase avec la culture numérique tout en valorisant leur image et leurs collections, alors même qu'il leur est impossible de garder jalousement la main dessus. Petit état des lieux de l'offre muséale en ligne. 400 000 œuvres téléchargeables sur le site du Met De nouvelles reproductions seront mises en ligne régulièrement. Les pionniers

Google Art Project: tout n’est pas rose Le dernier-né de Google permet de visiter de grands musées, grâce à la technologie utilisée dans Street View. Très bien accueilli, ce projet est pourtant critiquable pour Adrienne Alix, présidente de Wikimedia France. Google vient de sortir un énième nouveau projet : Google Art Project [en]. Il est ainsi décrit dans cette dépêche AFP : « Google a lancé une plate-forme permettant aux amateurs d’art de se promener virtuellement dans 17 des plus grands musées du monde, dont le MoMA de New York et le Château de Versailles, grâce à sa technologie Street View, familier des utilisateurs du site de cartes Google Maps. » La présentation vidéo de Google est spectaculaire et la visite virtuelle l’est tout autant. Faites un zoom sur son visage et vous serez peut-être comme moi saisi par une certaine émotion. On a alors vu toute la presse, petit et grande, s’enthousiasmer sur ce nouveau service gratuit (cela allait sans dire avec Google). Et encore un projet sympa Google Art Project : vision critique

Filippetti boycotte l'institut culturel Google, Pellerin appelée à la rescousse Aurélie Filippetti a pris la décision de ne pas se rendre, mardi 10 décembre, à l'inauguration de l'institut culturel Google, à Paris. « Malgré la qualité des projets conduits, je ne veux pas servir de caution à une opération qui ne lève pas un certain nombre de questions que nous avons à traiter avec Google », a justifié la ministre de la culture au Monde. Mme Filippetti cite quatre points de friction : « La question de l'équité fiscale, celle de la protection des données personnelles, celle de la protection de la diversité culturelle et enfin le dossier des droits d'auteurs. » Par ailleurs, dans « l'automne numérique » (politique numérique du ministère) sont traités des sujets comme la mise en valeur du domaine public et l'ouverture des données du domaine public culturel, poursuit la ministre. Chez Google, les communicants en tombaient de leur chaise, mardi matin. « On ne comprend pas. (L)es équipes (d'Aurélie Filippetti) étaient en repérage, il y a quelques jours », explique-t-on.

Mémorial de la Shoah Logo du Mémorial de la Shoah. Le Mémorial de la Shoah est un lieu de mémoire du génocide des Juifs, situé à Paris en France. Il réunit dans un même lieu : En face de l'ancien camp d'internement de La Muette à Drancy, une antenne du Mémorial de la Shoah a été ouverte en 2012. Historique du mémorial[modifier | modifier le code] En avril 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale à Grenoble, Isaac Schneersohn et Léon Poliakov fondèrent clandestinement le Centre de documentation juive contemporaine, dans le but de réunir des preuves documentaires sur la destruction des Juifs d'Europe. En 1957, fut inauguré le Mémorial du Martyr juif inconnu. Le 21 septembre 2012, un mémorial situé sur le site de l’ancien camp de Drancy[1] a été inauguré par François Hollande, président de la République française[2]. Le mémorial est présidé depuis 2005 par Éric de Rothschild. Actions du Mémorial de la Shoah[modifier | modifier le code] L’allée des Justes[modifier | modifier le code] Sur un des murs, il est écrit :

Aurélie Filippetti gâche l'inauguration de l'institut culturel de Google La ministre de la Culture, conviée à l'ouverture de ce nouveau lieu à Paris, a fait faux-bond à Google. Elle refuse de «servir de caution» à cette opération. Aurélie Filippetti ne participera pas à l'inauguration de l'institut culturel de Google. La ministre de la Culture, attendue ce mardi en fin d'après-midi rue de Londres, au siège parisien du géant du Web, a décidé de ne pas se joindre à cet événement. «Je ne veux pas servir de caution à une opération qui ne lève pas un certain nombre de questions que nous avons à traiter avec Google», a-t-elle justifié dans un entretien au Monde . Elle sera finalement remplacée par Fleur Pellerin, à qui l'Élysée et Matignon ont demandé de remplacer au pied levé sa collègue. Chez Google, la surprise était totale mardi matin. L'institut culturel est un projet qui occupe les équipes de Google en France depuis deux ans. L'institut culturel sera réservé aux partenaires culturels de Google.

Mémorial de la Shoah Le 7 avril 1994 au matin, le génocide des Tutsi au Rwanda débutait à Kigali et allait faire en trois mois plus d'un millions de victimes. Cette date a depuis été désignée par l'ONU Journée internationale de réflexion sur le génocide de 1994 au Rwanda et permet chaque année de se souvenir pour être capable de continuer à agir. En 1994, alors que la France commémorait le 50ème anniversaire des sombres épisodes de la Seconde guerre mondiale, comme la rafle des enfants d'Izieu le 6 avril 1944, et que le "plus jamais ça" résonnait dans tous les esprits, un nouveau génocide débutait au Rwanda. Tout ce qui est mort comme fait, est vivant comme enseignement écrivait Victor Hugo. En savoir plus

Google flatte l'exception culturelle française avec son institut culturel mais se fait boycotter par Filippetti CULTURE - Promis, Google avait assuré que l'on ne l'y reprendrait plus. En ouvrant les portes de son Institut mardi, le géant a pris le soin de caresser le monde culturel dans le sens du poil pour ne pas reproduire les erreurs du passé. Et tous les acteurs du secteur ont été conviés pour cet événement majeur. Une façon de témoigner sa bonne volonté à une sphère qui n'a jamais été folle du moteur de recherche. Si Aurélie Filippetti a bien été invitée, la ministre de Culture a boycotté le rendez-vous à la dernière minute, "pour ne pas servir de caution à une opération qui ne lève pas un certain nombre de questions que nous avons à traiter avec Google". Sont visés par la ministre, la question de l'équité fiscale, la protection des données personnelles, la protection de la diversité culturelle et enfin le dossier des droits d'auteurs. Contenu de marque Proposé par la Mutualité Française Google avait pourtant tout fait pour séduire la Culture

Une histoire des musées de France : XVIIIe-XXe - Dominique Poulot Google Art Project Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Google Art Project est un service mis en ligne par Google en février 2011, permettant de visiter virtuellement différents musées. §Musées mis en ligne[modifier | modifier le code] Grâce à la technologie Street View, Google a permis la numérisation en 3D, de 32 000 œuvres de 151 musées ou lieux différents à travers 40 pays[1]. Les 17 musées ayant participé au lancement du projet en 2011 sont[2] : S'agissant des institutions françaises, les collections du musée d'Orsay, du musée de l'Orangerie, du musée du quai Branly, du musée Condé à Chantilly et du château de Fontainebleau se sont ajoutées à Versailles en 2012. §Liens externes[modifier | modifier le code] §Notes et références[modifier | modifier le code]

Réunion des Musées Nationaux-Grand Palais L'Agence Au coeur de l’action de l’Agence la qualité du service est une exigence sans compromis. Qualité technique des images Chaque prise de vue est organisée sous le contrôle des conservations. Ainsi, toutes les photographies réalisées sont au plus près de la réalité et respectent l’intégrité des oeuvres, tout particulièrement la colorimétrie. Qualité scientifique des notices Les notices sont établies en étroite coordination avec les conservations et tous les éléments descriptifs des oeuvres sont soigneusement vérifiés. Qualité fonctionnelle de l’indexation L’indexation des images est très précisément organisée pour garantir la plus grande pertinence des recherches et la plus grande sureté des résultats. Qualité du service aux publics Tous les publics, particuliers, scientifiques et professionnels sont accueillis et peuvent être accompagnés dans leurs recherches par une équipe de documentalistes spécialisés dans tous les domaines de l’histoire de l’art.

Dans les entrailles du musée virtuel de Google - Les Echos Qu'est ce que l'ICOM ? - icom-france Siège de l'ICOM Secrétariat Général de l'ICOMMaison de l'Unesco1, rue Miollis75732 Paris cedex 15Tel : +33 (0) 1 47 34 05 00Fax : +33 (0) 1 43 06 78 62Courriel : secretariat@icom.museum Plan stratégique 2011-2013 Tous les trois ans, un nouveau plan stratégique est adopté par l'Assemblée générale et mis en oeuvre par le Secrétariat général de l'ICOM aussi bien que par les Comités nationaux et internationaux qui contribuent à la réalisation du programme. Plan stratégique 2011-2013 Créé en 1946, l'ICOM est une organisation non gouvernementale (ONG) en relation formelle d'association avec l'UNESCO et jouit d'un statut consultatif auprès du Conseil économique et social des Nations Unies. Association à but non lucratif, l'ICOM est en majeure partie financé par les cotisations versées par ses membres. Basé à Paris (France), à la Maison de l'UNESCO, le siège de l'ICOM est composé du Secrétariat général et du Centre d'information muséologique UNESCO-ICOM.

Google Art Project : vision critique - Compteurdedit Depuis deux jours, le web (et notamment le web « culturel », mais pas seulement) s'enthousiasme pour le dernier-né des projets développés par Google, Google Art Project. Le principe est compréhensible facilement : Google Art Project, sur le modèle de Google Street View, permet de visiter virtuellement des musées en offrant aux visiteurs une vue à 360°, un déplacement dans les salles. On peut aussi zoomer sur quelques œuvres photographiées avec une très haute résolution et pouvoir en apprécier tous les détails, certainement mieux que ce qu'on pourrait faire en visitant réellement le musée. Et donc, tout le monde s'extasie devant ce nouveau projet, qui permet de se promener au musée Van Gogh d'Amsterdam, au château de Versailles, à l'Hermitage, à la National Gallery de Londres, etc. En effet c'est surprenant, intéressant, on peut s'amuser à se promener dans les musées. 1- d'une part, la qualité n'est pas toujours là. Are the images on the Art Project site copyright protected? Yes.

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