Le futur de l’éducation : BYOD en classe ! 1 Share Share Tweet Email En cette rentrée, certains enfants reviennent à l’école « armés » de leurs plus fidèles outils numériques. Tim Panagos est persuadé des atouts positifs que le numérique apporte en classe, sans ignorer cependant, les répercussions que cela entraîne sur parents et professeurs, les mêmes questionnements qui sont apparus lorsque le BYOD a débarqué dans les entreprises, il y a déjà quelques années. Parents, bienvenus au 21ème siècle ! On entend souvent par des parents concernés rabâcher les impacts négatifs d’une accessibilité à internet non contrôlée dans les écoles pouvant conduire à des dérives. « C’est logique, aucun parent que je connaisse ne militerait en faveur d’un accès illimité, à tout va, à internet pour ses enfants, ce ne sont que des enfants après tout » ! L’auteur comprend donc les préoccupations, légitimes, de tout parent tels que la surabondance de jeux vidéo, l’accès jugé dangereux aux réseaux sociaux, la navigation vers des contenus douteux etc.
How An LMS and BYOD Changed A School The School's profile The Southport School is a P-12 (K-12) private Anglican school for boys located in Southport on Queensland’s Gold Coast. Established in 1901, the school caters to both boarding and day students and has an excellent reputation for sports and leadership. A staff survey (Appendix 1) taken in February 2013 showed that more than one quarter of staff had 25 years’ service or more while around 55% had 10 or more years of service. The question for my colleague Jo Inglis, Head of Learning & Teaching was “Was it possible to make changes to classroom pedagogy in educational technology?” We felt that the use of a Learning or Course Management System (or equally well, cloud applications such as Google Apps) could be a strong factor in assisting this change. This approach is commonly referred to as blended learning and is ideally managed as teacher-led and student-centred. Why BYOD? Let’s first clear up some terms. BYOD and LMS together “Yeah, because there’s more stuff to do”
L'Agence nationale des Usages des TICE - Le BYOD : pour quel projet pédagogique ? par Karine Aillerie * BYOD (ou BYOT) est l’acronyme de l’expression anglophone « Bring your own device/technology ». Plusieurs traductions francophones ont été proposées, telles que : AVAN (« Apportez votre appareil numérique »), PAP (« Prenez vos appareils personnels ») ou AVEC (« Apportez votre équipement personnel de communication »), retenue par la Commission générale de terminologie et de néologie française. Interroger le potentiel BYOD Le concept de BYOD parie sur la simplicité logistique pour un élève ou un étudiant, propriétaire d’un appareil connecté, de l’utiliser à l’école ou à l’université, économisant ainsi pour l’institution les coûts d’achat et les temps de familiarisation avec des objets technologiques conçus pour l’enseignement. Une nécessaire réflexion sur l’accès aux ressources Le BYOD, pendant idéal de l’apprentissage par l’enquête Conclusion date de publication : 28/01/2015 Références bibliographiques :
Apprendre avec le téléphone mobile, y réfléchir ensemble J’ai donc lu Pourquoi et comment utiliser le téléphone cellulaire à des fins pédagogiques ? par Alexandre Roberge Sur Thot grâce au tweet de @W2YDavid « : RT @tjeanbaptiste: /via @thot une lente évolution de la perception du téléphone portable dans l’enseignement #eduipm ». Et cela me donne envie de rebondir. Il n’y a pas tant d’article que ça sur le sujet du mobile pédagogique en France. Alexandre Roberge, donc nous explique que les choses bougent. Dans son analyse, je retiens que quelques commissions scolaires autorisent l’usage des mobiles pour des fins pédagogiques. Il paraît donc intéressant de pouvoir faire une collecte, même anonyme dans un premier temps, pour avoir une idée de ce qui existe, de ce qui est intéressant, de ce qui marche, de ce que cela peut apporter pédagogiquement. Et cela peut même permettre d’interagir dans la classe ! Connected, connected Korea Bref, l’avènement des mobiles amplifie encore les possibilités offertes par le web2.0. Like this:
Comment argumenter la mise en place d’une politique de BYOD 3 Shares Share Tweet Email Lenny Schad et Pam Moran, deux personnes en charge des services techniques dans deux établissements, the Houston Independent School District et the Virginia’s Albemarle County Public Schools, témoignent. Le « one-to-one » comme ils l’appellent, peut très bien fonctionner mais peut aussi donner matière à controverse. Planifier votre politique de BYOD et en mesurer les enjeux Comme le suggère Thomas Ryan, Directeur des Services d’Information maintenant à la retraite d’un établissement d’Albuquerque, la clé de la réussite est de bien préparer en amont une entrée cohérente du BYOD en classe ; et d’après lui, ceux qui prennent les décisions ne sont pas, en général, les plus à même d’avoir cette vision. Lorsqu’il s’agit d’en mesurer les résultats, la réalité n’est souvent pas facile à accepter. Communiquer sur les objectifs à atteindre « Voici ce que nous sommes entrain de faire et voilà à quoi cela va nous amener« . Plus d’infos : article original à lire ici. lu : 4612 fois
How BYOD Programs Can Fuel Inquiry Learning Digital Tools Erin Scott Launching a Bring Your Own Device program can be both exhilarating and scary. The opportunity to extend access to technology in the classroom and at home is enticing, but school districts can get hung up on important details like providing a strong network, making sure each child has a device, and questions around distraction. Of course, no one answer will work for all teachers or students, but one guiding principle that’s shown to work is for schools to focus on how mobile technology will help shift instruction to be more collaborative, learner-driven and inquiry-based. “Instead of this just being a technology initiative, it really is an instructional initiative, so all of us from different departments can get on the same page,” said Tim Clark, coordinator of instructional technology for Forsyth County Schools in Georgia. Forsyth started out by creating a learner profile, a set of criteria the school district wanted students to learn while in school. Related
Le BYOD : entre perspectives et réalités pédagogiques Alors, quelles sont les réalités, quels sont les prérequis et les aboutissants d’une intégration BYOD dans une salle de classe? Comment les enseignants peuvent-ils jongler avec ces outils? Quels sont les avantages réels et quels sont les inconvénients du BYOD en contexte scolaire? Cycles: Préscolaire Primaire 1er cycle 2e cycle 3e cycle Secondaire Image destinée au sommaire ou au résumé: Résumé: Un dossier conjoint de Carrefour éducation et de l'École branchée Par Aurélien Fievez,en collaboration avec Gabriel Dumouchel 26 février 2015 Le texte de ce dossier est disponible en format PDF. Il est aussi disponible en format OpenOffice/LibreOffice. Et en format ePub pour la lecture sur tablette ou téléphone. Lire et écrire grâce aux livres numériques est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Paternité - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 2.5 Canada.
Que signifie BYOD? (suite du dossier, par Aurélien Fiévez, en collaboration avec Gabriel Dumouchel) Le BYOD, acronyme de « Bring Your Own Device », ou en français AVAN, pour « Apportez Votre Appareil Numérique », est apparu vers 2005 dans les entreprises; il fait son apparition depuis peu dans les salles de classe. La perspective du BYOD est de permettre à l’utilisateur de travailler partout et à tout moment avec son appareil numérique personnel. Dans cette approche, les entreprises y ont vu des économies d’infrastructure alors que l’école y a vu un moyen de favoriser l’apprentissage des élèves. Selon certains, l’école et l’élève sont tous les deux gagnants, car l’élève choisit et utilise un outil (ordinateur portable, tablette, phablette ou téléphone intelligent) qu’il connaît et maîtrise. Par ailleurs, notons que la multiplicité des outils technologiques n’étonne plus personne. De nombreuses études se sont penchées sur le sujet et proposent des approches distinctes. Table des matières 1.
Pourquoi utiliser les « BYOD » dans une classe 8 Shares Share Tweet Email L’idée est intéressante, mais est-ce aussi facile qu’on le dit ? Le BYOD représente-t-il une ouverture technologique de l’école ou plutôt une complexification pédagogique? Selon plusieurs études récentes, l’utilisation d’un outil précis dans une salle de classe présente déjà des difficultés de gestion au quotidien. Pourtant, certains établissements scolaires (Outre-Atlantique) ont fait le choix du BYOD. À titre d’exemple, le Peel District School Board, en Ontario, propose depuis 2013 aux élèves d’utiliser leur propre appareil. Afin d’intégrer au mieux le projet BYOD dans les écoles, le conseil scolaire a même mis en place des outils pour aider les parents et les élèves. Une vidéo explicative, un guide pour les parents, un code de conduite numérique et un ensemble de ressources pour les parents viennent ainsi aider l’intégration dans les classes. Des questions pertinentes surgissent alors pour le pédagogue : par où dois-je commencer ? Les avantages Les inconvénients
10 raisons d’utiliser les téléphones mobiles en classe Alors que certaines écoles se félicitent de l’interdire, le téléphone cellulaire en classe fait ses preuves dans d’autres! Appuyé par une bonne stratégie d’intégration, il peut s’avérer un outil d’apprentissage et d’organisation indispensable. Autoriser ou non l’utilisation du téléphone cellulaire en classe : voilà un sujet délicat! Un rapide sondage dans tout établissement secondaire permet de constater qu’une bonne partie des jeunes possède un téléphone cellulaire, et qu’il est souvent sur eux. On peut par ailleurs s’attendre à ce que la baisse des prix et les forfaits familiaux poussent de plus en plus de parents à fournir un téléphone intelligent avec Internet à leurs enfants. Il y a peu de temps, à l’occasion d’une conférence, Martin Lessard, chroniqueur à l’émission La Sphère de Radio-Canada, expliquait que les cellulaires actuels sont aussi puissants que le module lunaire des missions Apollo, à la seule différence que cette puissance est maintenant dans nos poches.
10 raisons d’utiliser les téléphones mobiles en classe 22 Shares Share Tweet Email Autoriser ou non l’utilisation du téléphone cellulaire en classe : voilà un sujet délicat ! Il y a peu de temps, à l’occasion d’une conférence, Martin Lessard, chroniqueur à l’émission La Sphère de Radio-Canada, expliquait que les cellulaires actuels sont aussi puissants que le module lunaire des missions Apollo, à la seule différence que cette puissance est maintenant dans nos poches. Cette puissance informatique augmente à un rythme extrêmement rapide : un potentiel énorme que l’on met de côté en empêchant son utilisation en classe. Le 27 janvier dernier, le site Teachthought publiait sur le sujet un article de Terry Heick intitulé 50 Reasons It’s Time For Smartphones In Every Classroom. Même son de cloche du côté de Jennie Magiera, technopédagogue de Chicago que j’ai eu le privilège de rencontrer deux fois. C’est pourquoi il est si important de bien réfléchir la stratégie d’intégration technologique en classe. Avez-vous tenté l’expérience ? lu : 4773 fois