Humain, (jamais) trop humain Voilà, c’est dit et redit depuis longtemps par les sciences humaines et sociales, mais maintenant par le sacro-saint management relayé par les Échos : l’entreprise n’appartient nullement aux actionnaires. Ils sont propriétaires d’actions, mais pas de la personnalité morale de l’entreprise. Et pourquoi un actionnaire spéculateur, court-termiste, qui nie l’intérêt de l’entreprise au profit du sien propre, aurait-il les mêmes droits qu’un actionnaire privilégiant le long terme ? Armor, Favi, Hewlett-Packard, Domus Matériaux, les mues de Semco et de Krauthammer International, Sagarmatha, Mayo Clinic, Southwest Airlines, Merck, Mondragon, pour ne citer qu’elles, s’essayent toutes à la psychologie positive et à des règles articulant la gouvernance au bien-être, selon trois niveaux : l’individu, la relation avec autrui et l’organisation.
Les secrets d'un bon pitch Recevez un extrait de notre guide de survie aux réunions pour transformer vos réunions en moments funs et productifs ! Non, nous n’allons pas vous parler de brioche fourrée au chocolat même si je dois bien avouer que l’addiction qu’a développé mon fils pour ces pains au lait mériterait certainement une recherche plus approfondie. Non, nous allons vous parler de cet art délicat qui consiste à faire passer ses idées en un minimum de temps avec un maximum d’efficacité. Que ce soit pour présenter son entreprise, présenter son business plan ou tout simplement pour se présenter en entretien d’embauche, le pitch est devenu aujourd’hui un passage obligé. Mais d’abord c’est quoi un pitch ? Un pitch c’est une façon de transmettre de l’information. Le rapport : le rapport transmet des faits et des données. Un pitch comment ça marche ? Ne croyez pas qu’un pitch ça s’improvise comme ça. Tout d’abord il faut planter le décor et décrire le contexte, la situation de départ.Ensuite on décrit le problème.
Pourquoi certaines équipes sont-elles plus intelligentes que d’autres Anita Wooley, spécialiste de l’étude des comportements de groupes, Thomas Malone, directeur du Centre pour l’intelligence collective du MIT et le psychologue Christopher Chabris, nous expliquent dans une tribune pour le New York Times ce qui fait la qualité d’un groupe sur un autre. Pour cela, ils convoquent une étude de 2010 menée par Alex Pentland du MIT (cf. « Big Data : vers l’ingénierie sociale ? ») qui montrait que certaines équipes réussissaient mieux que d’autres, même si elles n’étaient pas spécialistes des sujets qu’elles devaient traiter. La qualité d’une équipe ne repose donc pas tant sur l’intelligence de chacun de ses membres que sur sa capacité à faire équipe (enfin, pour autant que la tâche à réaliser nécessite une collaboration profonde pas seulement de résoudre un problème précis : si vous demandez à un groupe de résoudre un calcul différentiel, il vaudrait mieux qu’il y a ait des mathématiciens autour de la table !). Hubert Guillaud Signaler ce contenu comme inapproprié
Pensée de groupe La pensée de groupe (en anglais groupthink) est un phénomène psycho-sociologique de pseudo-consensus survenant parfois lorsqu'un groupe se réunit pour penser et prendre une décision : le groupe se donne l'illusion de penser un problème et de parvenir à une décision pertinente alors qu'en réalité la pensée individuelle et collective est paralysée par des mécanismes nocifs de dynamique de groupe. Définition[modifier | modifier le code] Résumé schématique de la pensée de groupe (Janis, 1972). La définition de Janis[1],[2] est : « Un mode de pensée dont les gens usent lorsqu'ils sont profondément impliqués dans un groupe uni, quand le désir d'unanimité des membres outrepasse leur motivation à concevoir d'autres solutions de façon réaliste. » Un exemple célèbre de cette définition est fourni par le paradoxe d'Abilene. Enjeux de la pensée de groupe[modifier | modifier le code] Schéma de la pensée de groupe (basé sur Janis et Mann 1977[4]) Deuxième type : l'étroitesse d'esprit : 1. 2. 3.
Comment faire collaborer les gens créatifs? — Interactivité & Transmedia Depuis 2013, nous avons pris l’habitude avec les amis de Storycode d’organiser de nombreux workshops et hackathons d’écriture interactive et transmedia. Le concept est simple: réunir des profils variés — auteurs, game designers, journalistes, documentaristes, designers, développeurs, producteurs, éditeurs… — et leur faire concevoir en deux ou trois jours des projets de storytelling innovants à partir d’un simple thème gardé secret jusqu’au dernier moment. Les idées de base — qui tiennent généralement en une ou deux phrases — sont ensuite travaillées, repensées, augmentées, reprises, modifiées, sublimées avant d’être présentées à un jury de décideurs bienveillants. Cet article ne décrit pas la logistique de tels évènements mais plutôt quelques observations sur la dynamique des groupes de travail. Une dynamique de groupe, ça se construit… C’est un des pères fondateurs de la dynamique de groupe — Kurt Levin — qui a précisé ce qu’impliquaient ces deux mots juxtaposés. 1. 2. 3. 4. 5. 1. 2. 3.
Recherche d'informations sur internet (perfectionnement) | Urfist de Paris Parce que l’on peut toujours rendre sa recherche d’informations sur internet plus rapide et efficace, on reviendra d’abord sur la méthodologie d’une bonne recherche d’information (questionnement du sujet, choix des termes et formulation de sa requête) avant de passer en revue les grandes catégories d’outils (moteurs de recherche comme Google, moteurs de recherche scientifique comme Google Scholar, réservoirs de publications en archives ouvertes et open access comme HAL, outils de repérage de thèses, outils sociaux comme Academia ou Twitter...). ►Support (PDF)►Carte des outils►Corrigé des exercices ► Support disponible sur Slideshare (téléchargeable avec un compte Slideshare) - ! ► Deux listes d'exercices (exercices 1 et exercices 2) et leurs corrigés ►L'essentiel des outils sur une carte heuristique Pour aller plus loin Auteur(s): Aline Bouchard Date de création:
Encouragez vos collaborateurs à penser DI-FFE-RE-MMENT ! Selon un sondage Gallup de 2015, 68% des employés ont déclaré qu’ils ne se sentaient pas engagés au travail, un chiffre stable depuis plus d’une décennie. Pourtant, quand les gens rejoignent une société, ils sont désireux de tout donner, alors qu’est-ce qui peut expliquer que la lune de miel tourne souvent au supplice et explique ce désenchantement ? Francesca Gino, Professeur à la Harvard Business School étudie le comportement au travail et avance une hypothèse: les nouvelles recrues ressentent la pression pour se conformer à la culture de l’entreprise et à ses normes. La conformité peut générer de l’inauthenticité Pour se conformer, de nombreux employés, délibérément ou inconsciemment, expriment des émotions, donnent leurs opinions, et se mettent en accord avec les idées qui semblent les plus populaires, même si elles ne reflètent pas exactement leur vrai Moi ou pour paraitre agréables dans une équipe. Encourager la « Non-conformité constructive » Laurence, IFLP
Visual management : les supers pouvoirs des post-its Les post-its, ces petits bouts de papier jaune auraient-ils subi une mutation génétique qui leur confère des capacités supérieures au papier ordinaire ? Ou alors est-ce que l’usine de production de 3M a été construite sur un ancien cimetière cheyenne ? Je n’en sais rien, mais le fait est que ce papier collant a quelque chose de plus, il permet de réunir Didier le développeur introverti et Olivier le commercial grande gueule et de les faire s’exprimer tous les deux. Alors comment ? On réfléchit Vous êtes en réunion pour travailler sur une question épineuse que vous posez à l’ensemble des participants « comment pousser notre RH à changer de coupe de cheveux ? On partage Ensuite on vient présenter ses idées au groupe en collant les post-its sur un brown paper accroché au mur. En laissant un temps de réflexion individuelle, on évite le biais d’un brainstorming classique : certaines personnes réfléchissent mieux seules et en silence qu’en groupe et dans le bruit (j’en fais parti).
Réseaux sociaux : quels sont les risques pour les entreprises? Phénomène de mode ou tendance lourde, les réseaux sociaux deviennent incontournables pour les entreprises, mais ils inquiètent leurs responsables de la sécurité informatique. C’est ce qui ressort d’une étude que vient de publier Forrester Research. Le cabinet d’études américain Forrester Research vient de publier une étude portant sur les meilleures pratiques permettant de limiter les risques liés à l’utilisation croissante des réseaux sociaux en entreprise, notamment Facebook, Twitter et LinkedIn. Cette étude baptisée “To Facebook Or Not To Facebook - Effective Management Of Social Media Can Alleviate Security Risks” est issue d’une enquête réalisée auprès de plus de 900 directeurs des systèmes d’information (DSI) basés en Amérique du Nord et en Europe. Parmi les principales conclusions de cette étude, on notera que : Quels sont les risques ? Quelques précautions de base Jean-François Prevéraud Pour en savoir plus :
Comment prendre de bonnes décisions et éviter la pensée de groupe ou le conformisme ? Recevez un extrait de notre guide de survie aux réunions pour transformer vos réunions en moments funs et productifs ! L’effet janis, vous connaissez ? Non non, ce n’est pas le nom d’un de nos derniers icebreakers inspiré par la chanteuse Janis Joplin. Même si, il n’est pas bien compliqué de s’imaginer ce que cela pourrait donner si nous utilisions des substances douteuses ou autres breuvages alcoolisés pour débuter une réunion. Bref… Nous parlons ici d’Irwing Janis, un chercheur en psychologie qui a étudié dans les années 1970 (1972 pour être tout à fait exact), ce qu’on appelle le phénomène de pensée de groupe ou « groupthinking » en anglais, dont l’une des conséquences est le consensus mou lors d’une prise de décision. Et je suis persuadé qu’au moins une de vos réunions passées vous revient à l’esprit à l’évocation du terme « consensus mou ». Par ailleurs, plusieurs biais du travail en groupe apparaissent dans le groupthinking : 5 conditions prédisposent le phénomène de pensée de groupe :