Gée Aude Gee Aude Groupe d'Education a l'Environnement de l'Aude Gée Aude, association loi 1901, a pour vocation de promouvoir l'éducation à l'environnement dans l'Aude et d'accompagner les mesures éducatives à l'échelle des territoires. Avril 2013 - le Gée des Infos*, lettre mensuelle d'information de l'éducation à l'environnement dans l'Aude NOUVEAU SITE INTERNET Le nouveau site Internet de Gée aude est accessible sur www.geeaude.org Le site sur lequel vous êtes actuellement sera fermé prochainement. Bilan des Vèmes Assises de l'Education à l'environnement vers un développement durable en Languedoc-Roussillon ! Le 18 janvier sera peut-être un marqueur pour l’EEDD en Languedoc-Roussillon. Rapport 2012 et adhésions 2013 L'Assemblée Générale du Gée Aude a eu lieu le samedi 13 avril au Jardin, de Langel. Programme « Réduisons nos déchets, ça déborde !" Programme régional de formation EEDD 2013 vient de sortir ! Horaires d'accueil Plus d'informations dans la rubrique d'aide à la navigation
Réseau École et Nature Produits en plastique : les interdictions qui entrent en vigueur au 1er janvier Une série d'interdictions de produits en plastique à usage unique entrent en vigueur le 1er janvier 2020. Selon la loi, ces interdictions concernent la mise à disposition des « gobelets, verres et assiettes jetables de cuisine pour la table, pailles, couverts, piques à steak, couvercles à verre jetables, plateaux-repas, pots à glace, saladiers, boîtes et bâtonnets mélangeurs pour boissons en matière plastique, sauf ceux compostables en compostage domestique et constitués, pour tout ou partie, de matières biosourcées ». Ces interdictions avaient été décidées par la loi sur la transition énergétique d'août 2015, puis modifiées par la loi Égalim d'octobre 2018. Un décret, publié le 27 décembre au Journal officiel, définit les conditions d'application de cette disposition en donnant une définition de chacun des produits visés par cette interdiction. Il fait apparaître la mention « à usage unique » qui ne figure pas dans la disposition législative qu'il applique.
Sortir du consumérisme et engager la transition écologique Selon Razmig Keucheyan les besoins artificiels créés par le capitalisme sont toujours nouveaux et ont un caractère nocifs pour l’environnement puisqu'ils ne sont pas soutenables. Comment combattre ces besoins artificiels ? La transition écologique pourrait permettre d'engager cette sortie du consumérisme. Invité du jour Razmig Keucheyan est sociologue, professeur à l'université de Bordeaux et auteur de l'ouvrage Les besoins artificiels, comment sortir du consumérisme ? Les besoins sont à la fois ancrés dans la nature et la culture. Il ne s'agit pas d'imposer une "dictature des besoins", où il y aurait des besoins à proscrire. Vos solutions pour la planète Franck Gaulard est technicien et cocher professionnel au Conservatoire d'espaces naturels d’Occitanie à Toulouse. Invité découverte Lila Djeddi est cuisinière humaniste et propose son manifeste pour une petite cuisine engagée dans le livre Cantine vagabonde (Tana Editions). « Ce qui m’intéresse, c’est de transmettre » Reportages
Ce que vous consommez en envoyant un e-mail Saviez-vous que toutes les heures, environ 10 milliards d’e-mails sont envoyés à travers le monde ? C’est un acte courant dans la vie personnelle et surtout dans la vie professionnelle, pourtant, il s’agit d’un geste qui utilise bel et bien des quantités astronomiques d’énergie ! Comment un e-mail pollue-t-il ? On peut se demander comment un simple clic sur le bouton « envoyer » peut avoir comme répercussions, et pourtant les mails sont une source de consommation d’énergie absolument énorme. Vous consommez trop d’énergie et ça se ressent sur la facture ? Les data centers sont les infrastructures où des milliers de kilomètres de câbles et des centaines de serveurs sont stockés et tournent à toute heure du jour ou de la nuit. Les émissions de CO2 des e-mails chiffrées Les infrastructures informatiques ont donc un impact important sur l’environnement. Et le CO2 n’est pas la seule émission causée par l’envoi d’e-mails. On ne peut pas s’en passer, mais comment limiter la consommation ?
Prospérité sans croissance par Tim Jackson : la transition vers une économie durable - [CDURABLE.info l'essentiel du développement durable] Ces questions font débat aujourd’hui, au-delà du seul milieu des spécialistes. Aussi était-il essentiel de proposer un ouvrage qui expose clairement et avec force les conséquences d’une poursuite de la croissance dans les conditions actuelles et qui propose des alternatives réalisables et durables. Dans cet ouvrage explosif, Tim Jackson fait le procès de la croissance économique illimitée Dans les économies avancées, il devient de plus en plus clair que la croissance de la consommation n’augmente pas le bonheur et peut même lui nuire. Hérésie économique ? Tim Jackson propose une vision crédible d’une société humaine à la fois florissante et capable de respecter les limites écologiques de la planète. Ce livre est une version largement revue et complétée de l’étude que Tim Jackson a réalisée pour le compte de la Sustainable Development Commission, une instance consultative du gouvernement britannique.
Les circuits courts sont meilleurs pour la planète, Pas forcément! Pour beaucoup de consommateurs, manger local constitue le moyen le plus efficace pour lutter contre la pollution. Or, selon la Commissariat Général au Développement Durable, cet impact est faible. Le transport des denrées alimentaires ne compte que pour 17% dans les émissions de gaz à effet de serre de la chaîne alimentaire : 6% pour le transport de marchandises, plus 11% pour le consommateur final lors de ses déplacements en voiture pour faire ses courses. En réalité les pratiques de production sont beaucoup plus déterminantes tant en matière de bilan environnementale que de transport. Une étude allemande de 2010 a par exemple évalué qu’une salade cultivée en Allemagne sous serres en hiver aura un bilan, en terme de CO2 émis, deux fois plus élevé que le même légume importé d’Espagne, où il aura été cultivé en plein air. Mais même en ne considérant que le transport, le bilan environnemental est parfois plus avantageux pour les longs parcours.