En Transition 2.0 Ce film est une immersion dans le mouvement des initiatives de transition : partout dans le monde, l’histoire de gens ordinaires qui font des choses extraordinaires ont été collectées et sont présentées dans ce film résolument lucide et positif. On y découvre de petits territoires et des communautés locales qui impriment leur propre monnaie, qui produisent de plus en plus leur nourriture et leur énergie, qui relocalisent leur économie, qui reconstruisent du lien et de la solidarité… Ce sont des citoyens qui passent à l’action pour amorcer le changement de visage de leur territoire vers un futur préférable au présent. Télécharger entièrement le documentaire sous titré en français ici. E.n..T.r.a.n.s.i.t.i.o.n..2.0 (en Français) from blooh on Vimeo.
Accueil | Sortir du travail films contre le racisme Vous trouverez ici une sélection, non exhaustive et évolutive, de films et documentaires susceptibles d’intéresser celles et ceux qui souhaitent organiser des débats sur des sujets divers chers aux militants du MRAP, tels que l’immigration, les gens du voyage, les différences culturelles, les sans papiers, les rapports Nord - Sud …Ce ne sont pas tous des chefs - d’œuvre cinématographiques mais, dans des genres très différents, ce sont des films qui peuvent toucher, susciter réflexion et questionnement , inviter au dialogue. Certains pourront être utilisés en milieu scolaire ou avec l’accord d’une salle de cinéma pour des débats élargis à d’autres publics. On pourra faire appel à des réalisateurs ou des militants pour animer ces rencontres. Icham, Fatima, Saad, Slato,Ming et Lionel sont scolarisés en France. Pourtant, ces enfants-là, arrivés en France depuis plusieurs années, sont loin d’être en vacances. Un documentaire poignant qui dénonce l’injustice de notre société. 1968 .
Le travail, une « valeur » à réhabiliter ou à oublier ? Lors des deux dernières élections présidentielles, tous les principaux candidats — FN, PS, UMP, avec un bémol pour le Front de Gauche — se définissaient comme les représentants des travailleurs et les défenseurs d’une valeur travail supposément à réhabiliter. Plus personne n’interroge réellement le concept de travail, l’objet de la discussion étant de savoir comment en répartir les fruits. Cette idéologie du travail, véritable pilier de la modernité, est inédite dans l’Histoire des sociétés humaines. Il nous paraît désormais naturel de voir se succéder des candidats proposant leurs solutions pour réhabiliter la valeur travail, cette expression étant même devenue un véritable refrain de l’éditorialisme libéral. Le travail avant l’ère moderne : entre punition et signe d’infériorité Dans la Grèce antique, les tâches manuelles et les activités nécessaires à la subsistance matérielle basique de la communauté sont considérées comme avilissantes et réservées aux êtres inférieurs. Germinal
EMMAUS - Rejoins-nous à Alternatiba ! Solidarité Avec Alternatiba Rejoins le mouvement Alternatiba ! Appel : "Ensemble, construisons un monde meilleur en relevant le défi climatique !" Le GIEC, Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, a rendu son 5ème rapport ce 27 septembre 2013, pour faire le point sur l'état du changement climatique en cours. Le dimanche 6 octobre, une journée de mobilisation citoyenne ambitieuse et originale était organisée à Bayonne : Alternatiba un véritable Village des alternatives, individuelles, collectives, territoriales et systémiques au changement climatique et à la crise énergétique. - diffuser le message de l'urgence climatique, sensibiliser le grand public et les élus à la nécessité de baisser rapidement et radicalement nos émissions de gaz à effet de serre, interpeller sur les conséquences dramatiques de l'absence d'accord international ambitieux, efficace, contraignant et juste sur le climat ; C'est pourquoi rejoins le mouvement Alternatiba . Les 40 premiers signataires
The wastefulness of automation Chris Dillow observes that "one function of the welfare state is to ensure that capital gets a big supply of labour, by making eligibity for unemployment benefit conditional upon seeking work." And despite noting that when jobs are scarce, paying some to "lie fallow" so others can work might be a good thing, he concludes that "this is certainly not in the interests of capitalists, who want a large labour supply - a desire which is buttressed by the morality of reciprocal altruism and the work ethic." (emphasis mine). Basic Income, therefore, is not going to happen because capitalist interests, claiming the moral high ground, will ensure that it never gains political traction. But what if capitalists DON'T want a large labour supply? What if automation means that what capitalists really want is a very small, highly skilled workforce to control the robots that do all the work? I don't think I am dreaming this. This creates an interesting problem. But it wouldn't actually be like that.
Amazonie - Terre Mère La terre est mère de toutes choses, elle partage la vie. La mère est terre, elle nourrit les humains qu’elle met au monde. La femme défriche, sème, cueille, pêche. Peuple Yuca Depuis la nuit des temps, la «yuca brava» ou «yuca amarga» – sauvage ou amère – est l’aliment de prédilection des Indiens de la grande forêt. The Politics of Getting a Life Work in a capitalist society is a conflicted and contradictory phenomenon, never more so than in hard times. We simultaneously work not enough and too much; a labor famine for some means feast for others. The United States has allegedly been in economic “recovery” for over two years, and yet 15 million people cannot find work, or cannot find as much work as they say they would like. At the same time, up to two thirds of workers report in surveys that they would like to work fewer hours than they do now, even if doing so would require a loss of income. The pain of unemployment is well-documented, but the pain of the employed only occasionally sees the light, whether it’s Amazon warehouse employees working at a breakneck pace insweltering heat, or Foxconn workers risking injury and death to build hip electronics for Apple. When work is scarce, political horizons tend to narrow, as critiques of the quality of work give way to the desperate search for work of any kind. Workers Against Work
S'engager Agir pour un autre monde, plus respectueux de toutes les populations et de la nature est possible ! De nombreuses personnes partout dans le monde s’investissent dans ce sens. S’inspirer de leurs acquis peut aider ceux qui souhaitent les rejoindre. En effet, dans ce domaine de la solidarité internationale, la bonne volonté ne suffit pas. Les expériences passées le prouvent. Cet espace est dédié à toutes les personnes qui souhaitent agir. De nombreuses possibilités existent : partir, bien sûr, en tant que volontaire, bénévole-, dans le cadre de ses études ou de son travail, … mais aussi en étant solidaire près de chez soi. Souvent, en effet, il n’est pas nécessaire de partir pour agir. Vous voulez monter un projet de solidarité internationale ? Les moyens d’actions sont nombreux, à chacun d’y trouver sa place !
Does Work Really Work? L. Susan Brown Taken from Kick It Over 35 PO Box 5811, Station A, Toronto, Ontario, Canada M5W 1P2 One of the first questions people often ask when they are introduced to one another in our society is "what do you do?" Those who do work (and they are becoming less numerous as our economies slowly disintegrate) are something - they are teachers, nurses, doctors, factory workers, machinists, dental assistants, coaches, librarians, secretaries, bus drivers and so on. In our society, then, work is defined as the act by which an employee contracts out her or his labour power as property in the person to an employer for fair monetary compensation. What is a slave? Carole Pateman points out the implications of the employment contract in her book The Sexual Contract: Capacities or labour power cannot be used without the worker using his will, his understanding and experience, to put them into effect. It doesn't have to be this way. What would a better way of work look like? L. Footnotes
Altermondes La mort de l’économie et du travail En fait, j’aurais dû voir venir le truc. Dans les années 1980, les prolos ont été violemment déclassés. Nos parents nous ont recommandé de bien faire des études pour ne pas finir comme eux. « Il faut bien travailler à l’école pour avoir un bon métier plus tard. » Ensuite, à partir des années 1990, ce sont les petits fonctionnaires et les salariés pas très éduqués qui ont été basculés dans des structures privées, où ils étaient corvéables à merci, désormais au service des actionnaires et relevant des managers, très vaguement protégés par le droit du travail. Le début du 21e siècle a vu ma génération, même les plus éduqués, basculer à leur tour dans la précarité. Education bubble J’avais parlé il y a quelques temps de la bulle spéculative liée à l’enseignement dans les pays anglo-saxons. Pourtant, je vois que mes amis qui s’en sortent le mieux sont ceux qui enseignent leur métier disparu aux jeunes. Mais nous ne sommes pas les derniers. Lights out factories