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Difficulté à comprendre l'ironie chez les personnes âgées ayant un déficit cognitif léger

Difficulté à comprendre l'ironie chez les personnes âgées ayant un déficit cognitif léger
Les personnes âgées atteintes d'un trouble cognitif léger ont de la difficulté à comprendre l'ironie, selon une étude québécoise publiée dans la revue Neuropsychology. Elles ont ainsi tendance à prendre les choses au pied de la lettre. Voilà un exemple d'ironie : Annie vient de remporter le 10 km de l'Université Laval. Son copain l'attend à la ligne d'arrivée et lui lance: «On ne peut pas dire que tu es complètement dépourvue de talent». Que voulait-il réellement dire? Geneviève Gaudreau et ses collègues ont mené cette étude avec 60 personnes, dont la moitié souffrait d'un trouble cognitif léger. La compréhension d'un énoncé ironique demande un effort cognitif important, souligne la chercheuse. "Les personnes âgées présentant un trouble cognitif léger se plaignent de pertes de mémoire, mais elles sont toujours autonomes et fonctionnelles. Voyez également: Psychomédia avec source: Université Laval. Related:  Alzheimer

Comprendre la Maladie Faire face aux troubles du comportement Les changements de comportement du patient sont les manifestations de la maladie d'Alzheimer les plus difficiles à supporter pour l'entourage familial. Ils aboutissent souvent à un épuisement psychologique et physique des proches et conduisent souvent au placement en institution. Nous vous proposons ici un dossier thématique qui leur est consacré. 1/ L'incapacité à reconnaître les personnes et identifier les objets. 2/ L'aggressivité 3/ Les cramponnements et les poursuites 4/ Les comportements embarrassants et déplacés 5/ La perte des objets 6/ Les questions répétitives 7/ Les comportements sexuels déplacés 8/ L'insomnie 9/ Les errances 1/ L'incapacité à reconnaître les personnes et identifier les objets. Si la personne malade éprouve des difficultés à identifier les autres personnes et les objets, vous incriminerez les troubles de la mémoire, un peu de confusion ou une vue défaillante. 2/ L'aggressivité Faire face à un comportement agressif

Alzheimer : la vitamine E pour ralentir le déclin Mary Sano de la Icahn School of Medicine du Mount Sinai et ses collègues ont mené cette étude avec 613 personnes atteintes de formes légères à modérées de la maladie: 152 ont pris des doses élevées (2000 UI par jour) de vitamine E (alpha tocéphérol) pendant un peu plus de 2 ans; 155 ont pris le médicament mémantine (noms commerciaux: Abixa, Akatinol, Axura, Ebixa, Memox, Namenda); 154, une combinaison des deux; et 152, un placebo. La vitamine E ralentissait le déclin fonctionnel (c'est-à-dire les problèmes avec les activités quotidiennes telles que les courses, la préparation des repas, la planification, le transport…), réduisant ainsi le fardeau des aidants. Toutefois, aucun bénéfice n'était constaté à des tests de capacités cognitives et de mémoire. La progression du déclin fonctionnel était réduite de 19% par année en moyenne, ce qui se traduisait par un ralentissement de 6,2 mois comparativement au placebo. Voyez également:

Alzheimer: des ateliers consacrés aux souvenirs Au fur et à mesure que la maladie d’Alzheimer progresse, communiquer s’avère de plus en plus difficile. La personne atteinte de démence éprouve des difficultés à retenir ce qui se dit, à se concentrer sur la conversation... Et au fur et à mesure que les discussions se raréfient ou changent de teneur, c’est parfois aussi la relation entre le malade et son entourage qui se modifie. Une situation parfois mal vécue par le conjoint ou la famille. Redonner confiance aux malades en leur capacité, les stimuler, mais également renouer le contact et rétablir une forme de communication avec les proches, voici ce que proposent les ateliers de réminiscence. Alzheimer: stimuler les 5 sens En quoi consistent ces ateliers? Travailler la mémoire à long terme Le but? Des ateliers pour les proches aussi Au quotidien, la personne atteinte de la maladie d’Alzheimer est souvent mise en échec à cause de sa mémoire défaillante. Mais ces séances sont également destinées aux proches.

Lien entre sommeil et maladie d'Alzheimer Le manque de sommeil chez les personnes âgées est lié à un risque accru d'Alzheimer, montre une étude américaine publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) Neurology. Cette étude, menée par Adam P. Spira de l'Université Johns Hopkins et ses collègues avec 70 personnes âgées de 76 ans en moyenne, visait à examiner, au moyen d'imagerie cérébrale (PET scan), si les caractéristiques du sommeil sont liées aux niveaux de dépôts de protéines beta-amyloïdes qui constituent un biomarqueur de la maladie. Les participants qui dormaient moins que 5 heures par nuit et ceux qui avaient une moins bonne qualité de sommeil présentaient des niveaux plus élevés de dépôts. Ces résultats confirment ceux d'une étude publiée en 2012, qui utilisaient des méthodologies différentes. Par ailleurs, une étude publiée plus tôt ce mois-ci décrivait les mécanismes par lesquels s'effectue une élimination des toxines telles que les protéines beta-amyloïdes pendant le sommeil. Voyez également:

Les 7 stades de la maladie d'Alzheimer (Échelle de détérioration globale de Reisberg) L'Échelle de détérioration globale, ou Échelle de Reisberg, publiée en 1982 par le psychiatre Barry Reisberg et ses collaborateurs, est la plus utilisée mondialement pour mesurer la sévérité de la maladie d'Alzheimer ou d'autres démences. L'évolution de la maladie est divisée en 7 stades. Les stades 1 à 3 représentent des stades pré-démence et les stades 4 à 7 des stades de la démence. Stade 1: Pas de déficit cognitif Les personnes qui développeront la maladie ne présentent aucun trouble de mémoire ou cognitif à ce stade. Psychomédia avec source: GDS Tous droits réservés Espace éthique/Ile-de-France-Refus de soins : de la confrontation à la négociation Les soignants, en particulier ceux qui travaillent auprès de personnes présentant des troubles cognitifs, sont quotidiennement confrontés à des patients qui refusent certains soins : refus d’une aide à la toilette, refus de l’intervention d’une aide à domicile, de prendre les médicaments, d’être hospitalisé, de s’alimenter… Ces refus sont d’autant plus difficiles à supporter qu’ils interrogent le soignant dans son identité : son rôle est de porter assistance, d’aider, de secourir. Son intervention perd donc son sens si elle est comprise comme une agression. Comment, alors, rester « soignant » dans ces situations ?

Il refuse tout, même de se laver !-Ethique biomédicale et hospitalière - Bioethique.com - Détails Catégorie : Le refus de soins Publié le lundi 24 avril 2017 11:04 Écrit par Docteur Bernard Pradines Le refus de soins crée souvent une culpabilité chez les soignants et l'entourage du patient. Le refus de la toilette est particulièrement difficile à supporter. Docteur Bernard Pradines, spécialiste en gériatrie. En service de gériatrie ou en établissement, les professionnels de santé sont souvent confrontés au refus de soins de certains patients ou résidents. Chez les soignants, le refus de soins crée parfois un sentiment de culpabilité, allant parfois jusqu’à l’impression d’échec, surtout si le soin d’hygiène est finalement imposé. Doit-on, pour autant accepter l’absence durable de toilette chez un résident au nom de la liberté individuelle ? A domicile, on sait que cette situation pourrait aboutir au syndrome de Diogène. Comprendre un refus de soins et y répondre demandent d’être formés à cette tâche et de pouvoir y consacrer du temps. En principe non. 1.

Activités de courtes durées pour malades Alzheimer - Je t'aime Alzheimer Ces troubles qui nous troublent Le malade atteint de la maladie d’Alzheimer présente des troubles du comportement, de la mémoire, et ces terribles trois A (Aphasie, Apraxie, Agnosie), c’est-à-dire des troubles du langage, de l’exécution et de la reconnaissance. Toutes les facultés de la personne se détériorent petit à petit avec pour conséquence une transformation de ses comportements. Chacune de ses nouvelles attitudes sont le fruit de ses fonctions cognitives altérées. Chaque trouble du comportement a un sens que l’aidant ou le soignant doit apprendre à décrypter pour accompagner le malade avec calme et compréhension de ce qui se passe dans son cerveau en pleine mutation. C’est à nous d’adapter notre façon de faire, d’être et l’environnement pour que le malade se sente bien. Quels sens aux troubles ? L’agitation parce qu’elle ressent un mal être qu’elle ne peut exprimer, l’envie d’aller aux WC, le froid, des maux de tête…. Activités de courtes durées - Procurez-vous une tour multi tiroirs.

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