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Plan d'une usine de la mort

Plan d'une usine de la mort
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Plan du camp d'Auschwitz-Birkenau Soixante-dix ans après la libération du camp nazi, des chefs d'Etats et têtes couronnées se rassemblent ce mardi à Auschwitz (Pologne) autour des survivants de la Shoah. Outre le président français François Hollande, les présidents allemand Joachim Gauck et ukrainien Petro Porochenko, le secrétaire américain au Trésor Jack Lew, ainsi que les familles royales belge et néerlandaise assistent à la cérémonie. Aucun toutefois ne prend la parole, laissant place aux émouvants récits des rescapés. «Chaque survivant est le gardien de la mémoire du passé», a sobrement introduit le président polonais, Bronislaw Komorowski. C'est lui qui, devant «le portail de la mort» d'Auschwitz II - Birkenau, a accueilli plus tôt le président français. «Un lieu maudit» Alors que les prises de paroles de ces «gardiens» s'enchaînent sous la grande tente dressée à l'entrée d'Auschwitz II - Birkenau, certains, au premier rang, retiennent leurs larmes. VIDEO. VIDEO. 70 ans après, l'Europe se retrouve à Auschwitz VIDEO.

Outils pour enseigner Le Mémorial de la Shoah a rassemblé et sélectionné des ressources de différentes natures à l’attention des enseignants et des éducateurs désireux d’initier le jeune public à l’histoire de la Shoah ou d’approfondir avec leurs élèves un aspect particulier de la période englobant la Seconde Guerre mondiale et l’entreprise de persécution et de destruction des Juifs d’Europe. Nouveautés Témoignage croisé de Ginette Kolinka et Milo Adoner en vidéo accompagné d’un dossier pédagogique Face à la méconnaissance croissante de la Shoah chez les jeunes, l’IRHA (International Holocaust Remembrance Alliance) a mis en place des recommandations apportant un éclairage aux responsables des politiques d’enseignement, aux directeurs d’établissements scolaires et aux enseignants, afin que la transmission de cette sombre période de l’histoire se poursuive. Le Mémorial de la Shoah fait partie de l’IRHA depuis 2001. Pourquoi enseigner la Shoah ? Télécharger le document Les ressources en ligne Emprunter une exposition

Territoire et trajectoire de la déportation (Tetrade) [repère] 20 janvier 1942 - Mise au point de la «Solution finale»à Wannsee Dans une villa huppée des environs de Berlin, au bord du lac de Wannsee, le 20 janvier 1942, une poignée de dignitaires nazis planifient la « Solution finale », c’est-à-dire la déportation et l’annihilation des Juifs se trouvant dans les pays occupés par l’Allemagne. Un génocide en plusieurs étapes La « Solution finale » est la dernière étape du génocide des juifs d’Europe par les nazis. Les premières victimes sont des Juifs polonais. Après l’invasion de leur pays par l’armée allemande en septembre 1939, ils sont massacrés ou enfermés dans des ghettos et voués à mourir de faim ou de maladie. En juin 1941, la Wehrmacht envahit l’URSS, où vivent aussi de nombreux Juifs. Décidés dès la fin 1941 à faire disparaître tous les Juifs d’Europe, les nazis ne peuvent néanmoins procéder de la même manière en Europe de l’Ouest. Les difficultés militaires en URSS à l’automne 1941 et l’entrée en guerre des États-Unis les poussent à précipiter la mise en œuvre de leur programme.

Les deux albums d'Auschwitz Chefs de projet Cyril Roy et Dominique Trimbur Chef de projet web Olivier Martzloff Un webdocumentaire écrit par Olivier Martzloff, Cyril Roy, David Tessier Conception Olivier Martzloff, Cyril Roy, Vianney Sicard, David Tessier Développement Olivier Martzloff, Vianney Sicard Création graphique David Tessier Sound Design David Tessier Infographie Aurélie Jaumouille Montage vidéo et encodage Bernard Taillat Analyses des photos Album d’Auschwitz : Marcello Pezzetti, Sabine Zeitoun (sauf photos 26 : Alexandre Bande) Sur les photographies présentées ici, des personnes ont pu être identifiées grâce aux chercheurs de l’Institut Yad Vashem de Jérusalem. Album de Höcker : USHMM, traduction Peggy Frankston, Cyril Roy. Notices historiques et fiches pédagogiques Alexandre Bande, Gilles Gaudin, Emmanuelle Hamon, Danielle Simon Voix Hélène Archereau Interview Lili Jacob Les interviews de Lili (Jacob) Meier (1996) sont issues des archives de l’USC Shoah Foundation. Ce site respecte le droit d'auteur.

Vous n’êtes plus français – 3 ans sans patrie pour les Juifs d’Algérie Octobre 1870 - Octobre 1940 – Octobre 1943 *** Adolphe Crémieux qui s’est battu afin d’améliorer le statut des Juifs d’Algérie, voit en 1870 ses efforts récompensés dans le cadre du dé Vous n’êtes plus français – 3 ans sans patrie pour les Juifs d’Algérie Octobre 1870 - Octobre 1940 – Octobre 1943 *** Adolphe Crémieux qui s’est battu afin d’améliorer le statut des Juifs d’Algérie, voit en 1870 ses efforts récompensés dans le cadre du décret Crémieux octroyant d’office aux Juifs d’Algérie la citoyenneté française. Les Juifs d’Algérie s’intégraient dans la société française et ont ainsi gagné l’égalité juridique et sociale tant désirée. Ils ont pu par la suite occuper des postes supérieurs dans la fonction publique française, exercer des professions libérales et étudier dans les grandes écoles et universités françaises. Toutefois cette joie ne fut que de 70 ans !

Témoignages et archives des camps nazis mis en ligne par l'université de Lund (Suède) - Valérie Drechsler Kayser "Witnessing genocide: experiences of Nazi concentration camps" Tel est le titre du site web consacré aux archives de témoignages de survivants Ravensbrück et d'autres camps nazis, numérisés et mis en ligne par l'université de Lund (Suède). Il s'agit d'un ensemble exceptionnel, inédit en ligne. Les archives, -plus de 10 000 pages papier-, sont constituées de plus de 500 témoignages recueillis auprès des déportés dans les mois suivant immédiatement leur arrivée en Suède, après leur évacuation par la Croix Rouge et avec l'aide du comte Bernadotte, en provenance de Ravensbrück, mais encore de bien d'autres lieux (dont Natzweiler et Vaihingen). Ces archives ainsi que des photographies, effets personnels, etc., ont été ouverts à la consultation en 1995. Contact: Håkan Håkansson hakan.hakansson@ub.lu.se #histoire #troisiemereich #campdeconcentration #déportation #2GM #WWII #Ravensbrück #Natzweiler #Vaihingen #témoignages #archives #Lund #Suède

La lettre d'un prisonnier d'Auschwitz déchiffrée 70 ans plus tard Découvert par hasard en 1980 par un étudiant, le document était illisible. Mais un historien russe, a finalement réussi à en déchiffrer le contenu et faire la lumière sur un témoignage bouleversant. En 1944, Marcel Nadjari, un juif grec déporté à Auschwitz enterre une lettre décrivant ce qu'il a pu observer dans le camp en tant que «Sonderkommando» - des unités de travail dans les camps composées de déportés, juifs pour la plupart, choisis par les SS et forcés à participer à la solution finale. » LIRE AUSSI - Des hologrammes pour préserver les derniers témoignages de la Shoah Trente-six ans après, à l'automne 1980, un étudiant polonais participe à des fouilles près du camp et découvre la lettre, composée de treize pages arrachées à un carnet et rédigées en grec. Mais c'était sans compter la détermination de l'historien Pavel Polain qui est parvenu, à l'aide de techniques informatiques, à déchiffrer une grande partie du texte.

Si je reviens un jour : les lettres retrouvées de Louise Pikovsky I. Des lettres oubliées dans une armoire II. III. IV. V. VI. Quand Boston était la "capitale" de l’antisémitisme BOSTON – Vous ne le verrez pas mentionné sur le parcours « Freedom Trail », mais Boston accueillait autrefois un florissant réseau de sympathisants nazis. Non seulement les militants antisémites du berceau de la Liberté recevaient des fonds et des directives depuis Berlin, mais ils ont également contribué à inciter en faveur de « petits pogroms » contre les Juifs une fois la guerre bien entamée. Recevez gratuitement notre édition quotidienne par mail pour ne rien manquer du meilleur de l'info Inscription gratuite! Durant ces années de Shoah, « des bandes de pillards antisémites avaient sévèrement restreint les mouvements physiques de nombreux juifs à [Boston et à New York], ce qui compliquaient leurs activités religieuses, commerciales ou sociales », a écrit Stephen H. Norwood, professeur d’histoire à l’université d’Oaklahoma. À Boston et ailleurs, l’incitation anti-juive était alimentée par le père Charles Coughlin, le « fondateur de la radio de la haine ».

quand les nazis déportaient en Norvège et en Lettonie. Imaginez la scène: dans le froid intense de cette fin de novembre, un groupe de personnes se retrouve sur un quai du port d'Oslo. Ils semblent abattus et en même temps déterminés. L'un d'entre eux lit une liste de noms puis ils se recueillent et repartent dans la nuit qui est tombée si rapidemment. Ce groupe commémore ainsi chaque année, le 26 novembre à 16 h, la déportation de 768 Juifs de Norvège, raflés puis expédiés vers l'extermination. Parmi ces personnes, se tient Leif Knutsen. C'est lui qui a initié cette commémoration. Dans la nuit du 25 au 26 novembre 1942, la police norvégienne qui s'est mise au service des nazis procède à une rafle dans les domiciles, les hôpitaux, les camps et emmène vers Oslo 768 Juifs, y compris des enfants et des malades hospitalisés.Le nombre total des Juifs de Norvège est alors de 1800. 70 ans après les faits, la police norvégienne a, en 2012, présenté des excuses officielles et demandé pardon pour sa participation à cette déportation. Lettonie

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