Jusqu’où hacker l’humain? Hacker l'individu. Ce sera la question principale des conférences et ateliers de Faire/Savoir le Web qui aura lieu ce soir, 26 mai, à la Cantine. Silicon Maniacs apporte sa pierre à l'édifice et présente 3 cas pratiques de la conférence. Et si l’on pouvait pirater le corps humain ? Rêve de cyborg, le biohacking désigne les expérimentations biotechnologiques qui cherchent à manipuler le vivant. C’est à cette question que tenteront de répondre les participants aux conférences et aux ateliers de Faire / Savoir le Web qui aura lieu le 26 mai à la Cantine : jusqu’où hacker l’individu ? Cas pratique #1 : parlez-vous dauphin ? Rêve / Avec Un animal doué de raison, Robert Merle rêvait déjà de communiquer avec nos amis les dauphins. Réalité / Communiquer avec les dauphins, c’est déjà possible. Cas pratique #2 : Jusqu’où hacker l’humain ? Réalité / Mais, concrètement, le cyborg, on en est où ? Pour lire les autres articles de Silicon Maniacs sur le biohacking : • Autopsie de l’immortalité
Transhumanisme : en route vers l'Homme augmenté Bienvenue dans votre futur. Un futur proche, très proche. Que vous avez le pouvoir de façonner... ou de laisser entre d’autres mains. Voici le premier billet d’une série consacrée à un courant de pensée technophile qui a déjà beaucoup fait parler de lui, j’ai nommé le transhumanisme. Vous connaissez sûrement les mythes de la pierre philosophale, de la fontaine de Jouvence, du Saint Graal, de Prométhée, d’Icare. Intelligence artificielle, robotique, nanotechnologies : la science progresse, inexorablement. A quand des implants, directement dans le cerveau, qui nous permettront de mieux voir, de surfer sur internet par l’esprit, sans smartphone ou sans Google Glass ? “Humain +” Kezako, le transhumanisme ? En s’appuyant sur les progrès de la science, nous modifierons notre corps et notre esprit, décuplerons nos sens et notre intelligence, et deviendrons des “Humains +”. Certes, ça peut vous sembler fantaisiste, ou utopique. Fusionner avec la machine L’ère de la Singularité Parler des risques
Qu’est-ce qu'être humain ? - Ép. 4/7 - Les natures en question Rediffusion du 20/11/2018 Que révèle le choc entre l’ ethnocentrisme européen et celui des indigènes américains, à la fin du XVe siècle? Comment Leibniz s’est-il doté d’outils conceptuels pour se battre, en son temps, contre la hiérarchisation des races humaines, que ses contemporains empiristes étaient en train d’articuler? Dans une approche interdisciplinaire, le colloque « Les natures en question », donné en 2017 au Collège de France, propose d’examiner les questions soulevées par les déplacements de la frontière entre déterminations naturelles et déterminations humaines. En première partie, c’est la question des rapports entre humains et non humains qui est étudiée une dernière fois. « Comment l’homme moderne peut-il être à la fois animal et non animal?" Comment l’immaturité du cerveau humain à la naissance, son développement à l’extérieur de la mère, dans un milieu social complexe a pu jouer un rôle dans le creusement des différences avec les chimpanzés? Pour prolonger :
Kevin Warwick - Home Page Transhumanisme : aujourd’hui, l’Homme réparé Credit : sous licence CC, par Kosmur. Deuxième étape de notre voyage dans l’univers du transhumanisme. Après vous avoir présenté ce mouvement qui entrevoit un futur où l’être humain pourra améliorer ses performances, voici venu le moment de vous prouver que le transhumanisme n’est pas qu’une philosophie, mais est aussi (déjà) une réalité. Car les transhumanistes s’appuient davantage sur les avancées techniques, que sur la science-fiction. Pour faire simple, aujourd’hui déjà, grâce aux NBIC, l’Homme peut être “réparé”, comme n’importe quelle machine. L’homme bionique Vous avez sûrement gardé en tête les images du film Robocop, ou encore de la série L’homme qui valait 3 milliards, ces histoires d’humains “abîmés” qui sont réparés grâce à un dispositif mécanique. Depuis une vingtaine d’années, dans les pas des prothèses “intelligentes” conçues par l’armée américaine à destination de ses soldats blessés et amputés, les chercheurs en biotechnologie rivalisent de projets. Photo : Lifehand
Quelles sont les techniques les plus prometteuses pour prolonger la vie ? Carmat, le coeur artificiel conçu par l'équipe du Pr Alain Carpentier. © Capture d'écran Carmatsa.com Lors du dernier quart du XXe siècle, la mobilisation des chercheurs a fait reculer la plupart des cancers et des maladies cardio-vasculaires dans les pays riches, et nombre de maladies infectieuses — rougeole, tuberculose, paludisme — qui ravagent les pays du Sud. Aujourd’hui, la bataille pour faire progresser l’espérance de vie emprunte de nouvelles voies. Voici quelques-unes des plus prometteuses. Des cœurs de rechange pour tous A travers le monde, des dizaines de milliers de patients sont en attente d’une greffe cardiaque, alors que quelques milliers de cœurs seulement sont disponibles. Carmat, le cœur artificiel conçu ces dernières années par le Pr Alain Carpentier, pourrait constituer une révolution thérapeutique. Le cœur n’est pas le seul organe que les chercheurs tentent de copier. Des cellules toutes neuves Bientôt l’imprimante à organes ? Les promesses de la génétique
Kevin Warwick Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Warwick. Kevin Warwick Kevin Warwick, né le à Coventry en Angleterre, est un scientifique britannique et professeur de cybernétique à l'Université de Reading, au Royaume-Uni. Biographie[modifier | modifier le code] Il travailla ensuite dans les universités d'Oxford, Newcastle et Warwick et en 1987 fut nommé à la chaire de cybernétique à l'université de Reading. Sources[modifier | modifier le code] (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Kevin Warwick » (voir la liste des auteurs)Émission "Rayon X" sur France 2 Référence[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Kevin Warwick, sur Wikimedia Commons Liens externes[modifier | modifier le code] (en) Site officiel
Le transhumanisme: ce qui est possible n’est pas toujours souhaitable | Humanités numériques Sommaire Qu’est que le transhumanisme ? Passage de l’homme au posthumain. État de l’art : aujourd’hui ou en est on ? Qui sont les acteurs du transhumanisme? Innovation très controversée : extrait des arguments des partis Qu’est ce que le transhumanisme ? Dans cette partie je m’attacherais à définir la notion de transhumanisme pour pouvoir ensuite m’intéresser aux problématiques liées à l’intégration du numérique dans le corps humain. « Le transhumanisme est une classe de philosophies ayant pour but de nous guider vers une condition posthumaine. Les transhumanistes s’engagent dans des approches interdisciplinaires pour comprendre et évaluer les possibilités de dépasser les limitations biologiques. Il existe plusieurs sous catégories de courant de pensées dans le transhumanisme. (Schéma de Marc Roux, président de l’association française de transhumanisme, Passage de l’homme au post humain. Sources:
Humanoïdes et émotions : vers des robots plus humains La recherche dans le domaine de la robotique humanoïde pousse chaque jour plus loin la ressemblance du robot avec l'Homme : expressions du visage, langage et presque empathie. Un robot aux expressions émotives L'université de Okayama a mis au point un robot interactif humanoïde capable de simuler des réponses émotives : il va changer d'expression faciale et de posture suivant la réponse qu'il donne à la question qui lui a été posée. Le but est d'étudier le langage émotionnel, notamment les expressions faciales, pour rendre les futurs robots domestiques plus humains dans leurs réponses. Les réponses japonaises aux questions des rapports homme-robots possibles foisonnent et les programmes innovants fusent : Matsushita, qui a déjà équipé plusieurs maisons de retraite de systèmes domotiques, a mis à l'essai un « ours-robot » parlant dans un établissement d'Osaka. Paro, le robot bébé phoque pour l'accompagnement des thérapies
Johann Roduit: L'homme qui voulait devenir cyborg: conférence transhumaniste Conférence « Global Future 2045 » LINCOLN CENTER, NEW YORK. Le temps d'un week-end, la ville qui ne dort jamais a rêvé de devenir immortelle. A Manhattan du 15 au 16 juin 2013, on pouvait assister à la conférence « Global Future 2045 : vers une nouvelle stratégie pour l'évolution humaine » (voir également le slideshow ci-dessous). Au sein du prestigieux Lincoln Center était réuni tout le gratin du transhumanisme anglophone. Les deux jours furent donc bien chargés avec l'intervention d'une vingtaine d'orateurs, tous spécialistes dans leur domaine. Dans les couloirs du Lincoln Center, on pouvait également rencontrer le robot du Dr. Les deux jeunes suisses que nous sommes avions parfois l'impression d'évoluer dans un monde parallèle, en même temps que de rencontrer bien des humains tout à fait humains, avec ou sans prothèse. Dmitry Itskov : mystérieuse nouvelle figure du transhumanisme mondial Mais le but principal de la conférence était de parler du projet Avatar 2045 de Dmitry Itskov.