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Liberté d'expression et réseaux sociaux

Liberté d'expression et réseaux sociaux
Peut-on tout dire ? Internet permet-il d’exprimer tout point de vue ? Bien que le contrôle des paroles et des écrits soit plus difficile sur le net, plusieurs délits punissant des propos racistes y sont réprimés tout comme dans n’importe quelle sphère de notre société. Le 19 septembre 2013, plusieurs associations, dont la Maison des potes, ont demandé aux ministres de l’Intérieur et de la Justice d’intervenir pour que soient punis les auteurs de tweets incitant à la violence et à la haine envers deux jeunes militantes. Ainsi, dans un communiqué de presse du 21 septembre 2013, Madame Taubira, garde des Sceaux, a rappelé que les tweets racistes et antisémites devaient être réprimés et qu’Internet et les réseaux sociaux ne devaient pas constituer des lieux d’impunité. La ministre de la Justice réaffirme ainsi la position de la France : la liberté d’expression peut être restreinte lorsque les propos « suscitent un sentiment d’hostilité ou de rejet envers un groupe de personnes déterminées ». Related:  la liberté d'expressionLa liberté d'expression dans la république française

Où s’arrête la liberté d’expression sur Facebook et Twitter ? La justice a tranché : Twitter doit aider les autorités à identifier les auteurs des tweets antisémites. L’occasion de rappeler que nul ne peut tout dire et tout montrer sur les réseaux sociaux sous couvert de la liberté d’expression. Focus sur les règles à suivre sur Facebook et Twitter. #unbonjuif, #unjuifmort. 21 petits caractères qui ont fait grand bruit en 2012 sur Twitter, deux hashtags à l’origine d’un flot de propos antisémites incontrôlable. Le site de microblogging refuse, dans un premier temps, de donner aux associations plaignantes le nom des auteurs des tweets diffamatoires, arguant qu’il doit obtenir au préalable l’aval de la justice américaine. Le 24 janvier 2013, le verdict tombe : sur ordre du tribunal de grande instance de Paris, Twitter est contraint d’aider les autorités à identifier les internautes concernés. Caché derrière son écran, il est facile de se croire tout-puissant et de transgresser les règles sans scrupule. Deux cas de figure peuvent se présenter :

L’intérêt de l’enfant Le débat à propos du mariage des personnes de même sexe, de l’adoption d’enfants par ces couples ou de leur accès à l’assistance médicale à la procréation (AMP) est aujourd’hui intense en France. Ce débat existe aussi aux États-Unis, où le fait que certains États fédérés et que d’autres pays autorisent le mariage entre personnes du même sexe, l’adoption ou l’accès à l’AMP par ces couples [1], explique la multiplication depuis vingt-cinq ans des travaux en obstétrique, médecine fœtale-obstétrique (fetal maternal medicine), pédiatrie, sociologie, et psychologie, sur le développement et l’évolution des enfants ayant comme parents soit deux hommes soit deux femmes. Ces études sur les familles homoparentales [2] en général, et sur les enfants élevés par des couples de même sexe en particulier, reflètent les objectifs d’un agenda progressiste dans le domaine des enjeux dits de « bioéthique ». AMP : la régulation fédérale américaine Régulation du mariage et des familles homoparentales Résultats

USA : le "like" de Facebook protégé par la liberté d'expression ? Des avocats de Facebook essaient de faire passer le ‘like’ de Facebook sous la protection de la liberté d’expression la Convention Américaine. « Toute suggestion comme quoi ce genre de communication ne bénéficie pas de l’intégralité la protection constitutionnelle entrainerait la dévaluation des moyens de communication formidables qu’Internet a rendu possibles » a déclaré Aaron Panner, un avocat travaillant pour Facebook . Les hommes du grand F essaient de contester le résultat d’un procès qui a déterminé que les « Like » du réseau social n’étaient pas protégés par la liberté d’expression. Ce même procès,qui n’est d’ailleurs plus tout récent, à l’issu duquel six personnes ont été renvoyées du département du shérif à Hampton en Virginie. L’une de celles-ci Danny Carter, un gardien de prison, a été licenciée pour des raisons un peu étranges. Et c’est justement ce ‘like’ qui a été sujet aux discussions et aux argumentations. (source)

Liberté d’expression sur l'Internet L’UNESCO reconnaît l’énorme contribution que l’Internet peut apporter au développement. L’Internet fournit un volume de ressources sans précédent au service de l’information et du savoir et offre de nouvelles opportunités d’expression et de participation. L’UNESCO assume sa responsabilité consistant à promouvoir la liberté d’expression sur l’Internet, qu’elle a intégré à son Programme ordinaire. Le principe de la liberté d’expression doit s’appliquer non seulement aux médias traditionnels, mais aussi à l’Internet et à tous les types de plates-formes médiatiques émergentes qui contribueront assurément au développement, à la démocratie et au dialogue. Du fait de l’accès croissant à l’information dans le cyberespace, les limites de cet accès et de cette information reculent dans le cyberespace, ce qui tient à l’existence de multiples acteurs aux valeurs et aux buts divers.

Liberté d’expression en Tunisie : la justice, nouveau fer de lance de la censure ? | Nawaat - Tunisia Photo : www.thetechmind.com Une des spécificités du régime Ben Ali a indéniablement été le contrôle des médias et d’internet ainsi que le harcèlement, l’emprisonnement et souvent la torture de toute personne qui osait s’ériger contre le gouvernement. Les journalistes tunisiens ont particulièrement souffert du musèlement opéré par le régime comme ce fut le cas du journaliste Fahem Boukadous, condamné à quatre ans de prison ferme en 2008 pour avoir couvert les évènements du bassin minier de Gafsa. Sous couvert de la loi contre le terrorisme, plusieurs opposants politiques ont également subi des peines de prison très longues suite à des procès arbitraires et injustes. Pendant ces années, des ONG comme Reporters sans frontières, Amnesty international ou Human Rights Watch n’ont cessé de condamner et d’alerter l’opinion internationale contre les multiples violations aux droits de l’Homme commises par le régime tunisien. Armée: quand la Grande Muette censure Nabil Hajlaoui.

Le Guide de la liberté d’expression pour les étudiants Le guide de la liberté d’expression est une des contributions de L’UNESCO à la liberté d’expression. Il a été conçu pour les lycéens et élèves pré-universitaires. Ainsi, il présente et explique les divers concepts qui sont liés à la liberté d’expression dans une langue facilement accessible. Le guide de la liberté d’expression est basé sur le principe que la liberté d’expression, ainsi que la liberté de la presse et la liberté de l’information, sont des droits indissociables et essentiels des droits de l’Homme. Ce guide insiste sur quatre éléments clé : le droit d’exprimer ses opinions sans interférence, le droit the rechercher de l’information, le droit de recevoir l’information et le droit de communiquer de l’information á d’autres. Ce guide peut être incorporé dans le cursus normal des écoles ou bien en tant que support complémentaire pour des matières telles que les sciences sociales, l’éducation civique, les sciences des médias et de leurs utilisations.

untitled La liberté d’expression et ses limites: exemple d'internet - Eduscol Page mise à jour le 04 octobre 2016 En France, la liberté d’expression est consacrée par l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. En revanche, la liberté d’expression n’est pas un droit absolu et elle se trouve affectée de nombreuses limites que les internautes ne doivent pas ignorer. Présentation La liberté d’expression est un droit fondamental. Ses limites sont des exceptions qu’il est parfois difficile de cerner et qui évoluent avec le temps et les usages. Il n’est donc pas ici question de brider la liberté d’expression de quiconque, enseignant, personnel non enseignant, chef d’établissement, élève ou parent, mais d’effectuer un rappel des limites fixées par la loi. La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 énonce : Le principe est ainsi posé mais encore faut-il connaître les limites. Enfin, il est important de mentionner le droit de réponse[4]. Illustration En savoir plus... Liens internes Texte réglementaire Jurisprudences

censured De « Charlie » à Dieudonné, jusqu'où va la liberté d'expression ? « Pourquoi Dieudonné est-il attaqué alors que Charlie Hebdo peut faire des “unes” sur la religion » ? La question est revenue, lancinante, durant les dernières heures de notre suivi en direct de la tuerie à Charlie Hebdo et de ses conséquences. Elle correspond à une interrogation d'une partie de nos lecteurs : que recouvre la formule « liberté d'expression », et où s'arrête-t-elle ? 1. La liberté d'expression est un principe absolu en France et en Europe, consacré par plusieurs textes fondamentaux. « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi », énonce l'article 11 de la Déclaration des droits de l'homme de 1789. Le même principe est rappelé dans la convention européenne des droits de l'homme : « Toute personne a droit à la liberté d'expression. Cependant, elle précise : 2. 3. 5.

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