Liberté de la PRESSE. Nicolas Bedos: sa nouvelle chronique cinglante sur les. Alors que sa dernière chronique sur Dieudonné dans «On n’est pas couché» sur France 2 lui avait valu des menaces de mort, Nicolas Bedos a fait une nouvelle chronique cinglante samedi soir sur le plateau de Laurent Ruquier.
Dieudonné, l’affaire Hollande-Gayet, les juifs, la manif pour tous, l’humoriste surfe sur les sujets sensibles qui secouent la France. Nicolas Bedos a commencé par revenir sur sa chronique qui a fait tant parler d’elle: «Quel bonheur pour moi de revenir en France. Car, oui j’ai été contraint de m’absenter quelque temps suite à une petite chronique légèrement taquine sur monsieur Mbala Mbala Mbala, etcetera. [...] Une chronique qu’apparemment son élevage de molosses n’a pas bien digéré.» « Les juifs, lâchez-moi la grappe » Dans la suite de son sketch, il remercie, avec humour, l’´État israélien de bien avoir voulu le cacher pendant quelques semaines.
Pourquoi il ne faut pas interdire Dieudonné. Réactualisation de la liberté d'expression dans la société d'info. Au cours d’une séance multilingue, cinq intervenants ont abordé, documents à l’appui et sous diverses perspectives, le sujet « Réactualiser la liberté d’expression dans une société de l’information. » C’est justement par vidéoconférence que Julien Saada, représentant de l’Université du Québec, qui se trouvait alors en France, a présenté les relations complexes qui se sont nouées entre cyberactivistes et journalistes durant le Printemps arabe.
La liberté d'expression francaise américanisée. Depuis quelques semaines, on assiste à une série de dérives autour de propos discriminatoires sur les réseaux sociaux.
Si le phénomène n'est pas nouveau, il gagne en ampleur et en exposition. Les auteurs de ses propos s'abritent principalement derrière l'humour et la liberté d'expression. Capture d'écran du hashtag #Unbonmusulman sur Twitter. Crédit : Mehdaax #UnBonJuifx-( twitter.com/CosaNostraAmli… — J U L I ABOND JR(@CosaNostraAmlia) October 14, 2012 Seulement, en France, notre liberté d'expression est encadrée par des lois. Dans des pays comme les Etats-Unis, cette liberté est quasiment totale. Crédits : JAMIE SABAU / GETTY IMAGES Une charte ne fait pas office de loi. Liberté d'expression et réseaux sociaux. Peut-on tout dire ?
Internet permet-il d’exprimer tout point de vue ? Bien que le contrôle des paroles et des écrits soit plus difficile sur le net, plusieurs délits punissant des propos racistes y sont réprimés tout comme dans n’importe quelle sphère de notre société. Le 19 septembre 2013, plusieurs associations, dont la Maison des potes, ont demandé aux ministres de l’Intérieur et de la Justice d’intervenir pour que soient punis les auteurs de tweets incitant à la violence et à la haine envers deux jeunes militantes. Ainsi, dans un communiqué de presse du 21 septembre 2013, Madame Taubira, garde des Sceaux, a rappelé que les tweets racistes et antisémites devaient être réprimés et qu’Internet et les réseaux sociaux ne devaient pas constituer des lieux d’impunité.
Où s’arrête la liberté d’expression sur Facebook et Twitter ? La justice a tranché : Twitter doit aider les autorités à identifier les auteurs des tweets antisémites.
L’occasion de rappeler que nul ne peut tout dire et tout montrer sur les réseaux sociaux sous couvert de la liberté d’expression. Focus sur les règles à suivre sur Facebook et Twitter. #unbonjuif, #unjuifmort. 21 petits caractères qui ont fait grand bruit en 2012 sur Twitter, deux hashtags à l’origine d’un flot de propos antisémites incontrôlable. Le site de microblogging refuse, dans un premier temps, de donner aux associations plaignantes le nom des auteurs des tweets diffamatoires, arguant qu’il doit obtenir au préalable l’aval de la justice américaine. Le 24 janvier 2013, le verdict tombe : sur ordre du tribunal de grande instance de Paris, Twitter est contraint d’aider les autorités à identifier les internautes concernés. Caché derrière son écran, il est facile de se croire tout-puissant et de transgresser les règles sans scrupule. Deux cas de figure peuvent se présenter : Liberté d’expression sur l'Internet. Censured. Liberté d’expression en Tunisie : la justice, nouveau fer de lance de la censure ?
Photo : www.thetechmind.com Une des spécificités du régime Ben Ali a indéniablement été le contrôle des médias et d’internet ainsi que le harcèlement, l’emprisonnement et souvent la torture de toute personne qui osait s’ériger contre le gouvernement.
Les journalistes tunisiens ont particulièrement souffert du musèlement opéré par le régime comme ce fut le cas du journaliste Fahem Boukadous, condamné à quatre ans de prison ferme en 2008 pour avoir couvert les évènements du bassin minier de Gafsa. Sous couvert de la loi contre le terrorisme, plusieurs opposants politiques ont également subi des peines de prison très longues suite à des procès arbitraires et injustes. Pendant ces années, des ONG comme Reporters sans frontières, Amnesty international ou Human Rights Watch n’ont cessé de condamner et d’alerter l’opinion internationale contre les multiples violations aux droits de l’Homme commises par le régime tunisien.