La drôle d'histoire des banques françaises Absence de contrôle, spéculation à outrance et paradis fiscaux ont éloigné les banques de l’économie réelle et enclenché une crise sans précédent en 2008. Comment en est-on arrivé là ? Ce documentaire remonte jusqu’en 1714, date de l’introduction en France du billet de banque, puis du système des actions orchestré par John Law – un banquier britannique féru de mathématiques, qui fit fortune dans les jeux. Mais, déjà, une première bulle spéculative crée la panique ! En 1789, la dette de l’État atteint 80 % du PIB. Les sirènes de l'ultralibéralisme S’appuyant sur des films d’archives et des séquences d’animation, le documentaire raconte l’histoire d’un système qui s’emballe, notamment après la Première Guerre mondiale où l’inflation aboutit à la crise de 1929.
Société Générale envisage de fermer jusqu'à 20 % de ses agences d'ici à 2020 Accueil La banque de La Défense revoit les contours de son réseau d'agences pour coller aux nouveaux usages des clients. Banques commerciales et mutualistes optent pour des évolutions distinctes de leurs réseaux.(...) Cet article est réservé aux abonnés, pour en profiter abonnez-vous. Et aussi sur les Echos Les articles à la une Banque - Assurances Société Générale pourrait fermer une agence sur cinq d’ici à... La banque de La Défense revoit les contours de son réseau d’agences pour coller aux nouveaux usages des clients. Automobile Les malheurs de Volkswagen en Bourse continuent Le titre VW poursuit sa chute et a perdu 29 milliards d’euros de capitalisation depuis le début de l’affaire. Comment une économie de 300 euros a provoqué l’affaire Volkswagen En 2007, VW décidait d’adapter ses moteurs diesel aux normes américaines. à lire également sur les echos Recommandé par Les articles les plus lus Société Générale envisage de fermer jusquà 20 % de ses... Volkswagen : la liste des voitures suspectes
FBF - Fédération Bancaire Française 20 mai : actions autour de la Société générale Au programme, des chiffres, des chiffres et des chiffres avec une seule attente pour ces requins, en savoir plus sur le montant de leurs intérêts ! Non contents de s’être déjà bien gavés, ils aborderont peut-être quelques uns des projets dont ils attendent des profits juteux, comme ceux de centrales à charbon en Afrique du Sud, de gaz de schiste en Pologne et de sables bitumineux au Canada, ou encore d’extraction et d’exportation du gaz et charbon en Australie, à commencer par le projet minier Alpha Coal en Australie. Profitons de la journée de l’Assemblée générale de la Société générale pour dénoncer ses activités qui détruisent notre planète et pour lui remettre le « Requin d’or : Pollueur ! ». Nous vous invitons à démultiplier notre présence devant les agences de la Société générale pour dénoncer la politique climaticide choisie par la banque.
Les nouvelles technologies au service de la relation client Le modèle de distribution traditionnel des banques françaises tend à se moderniser par l’utilisation des nouvelles technologies. L’objectif est d’optimiser les coûts et développer de nouvelles sources de satisfaction client (= sources de revenus). Cela fait des années que l’on entend parler de multicanal (agence, guichet automatique, banque à distance…), aujourd’hui la tendance de fond est le développement des banques sur les réseaux sociaux et le mobile! Le conseiller bancaire connecté! Le couple réseaux sociaux et utilisation mobile définit de nouveaux horizon pour la relation bancaire. Les banques françaises développent de nouveaux services pour satisfaire ses clients qui viennent moins souvent dans les agences. La NET Agence BNP Paribas, la Banque Direct Société Générale, iBP pour la Banque Populaire ou eLCL… toutes les banques traditionnelles intègrent une solution de relation digitale à leur offre. Les banques sur les réseaux sociaux Les banques sur mobile La banque intuitive
Après la BNP, la Société Générale et Crédit Agricole dans le viseur des Etats-Unis BNP Paribas a conclu, lundi soir, un accord prévoyant des sanctions record, dont une forte amende de 8,9 milliards de dollars (6,5 milliards d'euros) et une interdiction de compenser certaines transactions en dollars pendant toute l'année 2015. Mais, comme BNP Paribas avant elles, Société Générale et Crédit Agricole ont aussi annoncé passer en revue des opérations réalisées en dollars avec des pays sous embargo américain. Audit interne La banque au logo rouge et noir a ainsi indiqué avoir « lancé un audit interne » et « engagé des discussions avec l'Office of Foreign Assets Control », l'autorité en chargé de faire appliquer les sanctions économiques prononcées par les Etats-Unis. D'autres banques européennes Crédit Agricole et Société Générale n'ont pas précisé les pays sous embargo avec lesquels leurs opérations supposées litigieuses avaient été effectuées.
Les banques françaises épinglées par les députés pour leur rôle dans l'évasion fiscale Plus de 2.900 contribuables domiciliés en France possédaient un compte dissimulé en Suisse au sein de la banque HSBC. C'est l'un des chiffres divulgués par le rapporteur général du Budget à l'Assemblée nationale, Christian Eckert (PS), dans son rapport d'information sur l'exploitation de la fameuse liste HSBC, transmise à la France par Hervé Falciani, rapport examiné ce mercredi par la commission des Finances de l'Assemblée. Six particuliers avaient déclaré leur compte 2.846 personnes physiques résidant en France avaient un compte -avec un encours positif- dans cette banque, ainsi que 86 personnes morales. Une valeur moyenne de 2,19 millions d'euros La valeur médiane des avoirs sur ces comptes était de 376.172 euros. L'administration fiscale agit, la justice inerte Le rapporteur général du Budget semble donc créditer l'administration fiscale d'une action relativement efficace, compte tenu de l'exploitation difficile des fichiers HSBC. Les banques françaises avaient des comptes chez HSBC
Évasion fiscale : les 7 péchés paradisiaques des banques françaises Les Etats du G20 ont annoncé qu’ils allaient les 15 et 16 novembre prochains adopter des mesures fortes pour mettre un terme aux pratiques fiscales les plus agressives des entreprises multinationales, qui font perdre chaque année des centaines de milliards d’euros aux pays développés et aux pays en développement. Parmi celles-ci figure le reporting pays par pays, c’est-à-dire l’obligation pour les entreprises de rendre des comptes sur les richesses qu’elles créent et les impôts qu’elles payent dans chacun des pays où elles sont présentes. Or ces informations ne sont pour l’instant destinées qu’aux administrations fiscales ; les rendre publiques est non seulement une condition incontournable de leur efficacité mais surtout n’a plus rien d’une utopie : les banques européennes vont devoir s’y soumettre en 2015, et les banques françaises ont été les premières à le faire en 2014. Ce que montrent les premiers chiffres publiés par les cinq plus grandes banques françaises [1] :
La faim profite (encore) aux banques En lançant, en 2013, une campagne contre les activités spéculatives des banques françaises sur les matières premières agricoles, l’ONG Oxfam France avait jeté un pavé dans la mare boueuse des pratiques bancaires. Prises en défaut par les révélations d’Oxfam, les mastodontes Crédit agricole, BNP Paribas, Société générale et le groupe BPCE s’étaient engagés – ou pas – à réduire significativement le volume de leurs fonds spéculatifs sur ce marché. Deux ans après, où en sommes-nous ? C’est la question à laquelle répond l’ONG dans un rapport publié aujourd’hui. Et le constat est sans appel : la faim aiguise toujours les appétits des grandes banques françaises. En 2013, Oxfam avait calculé que la valeur totale des 18 fonds permettant aux quatre grandes banques soupçonnées de spéculer sur les matières premières agricoles était de 2 583 millions d’euros.
Mélenshack Insoumis lève toi ! Hahaa ! Macron et les Cotisations Sociales 7e circonscription des Français établis hors de France 7e circonscription des Français établis hors de France 1 Elle est inépuisable la vague qui nous porte ! FI is coming Le Crédit Agricole ne doit pas se rendre complice des violations des droits des peuples cyberaction #sable #bitumineuxMontreuil, le 16 septembre 2018 — Crédit Agricole est appelé à renouveler dans les prochains mois sa participation à des financements pour 3,6 milliards de dollars, dirigés aux entreprises canadiennes Enbridge et TransCanada, derrière le développement des très controversés projets d’oléoducs de sables bitumineux Line 3 et Keystone XL. [ 1 484 participations ] Cyberaction mise en ligne le 23 octobre 2018 Proposée par Cyberacteurs Elle sera envoyée à Relation clients du Crédit agricole En soutien à Honor the Earth, Rainforest Action Network, Sierra Club, 350 Seattle, les Amis de la Terre France et 53 autres organisations de la société civile Elle prendra fin le : 23 janvier 2019 Plus d'infos Au regard des violations des droits des peuples autochtones perpétrées par ces deux entreprises, une coalition d’ONG dont les Amis de la Terre demande à la banque de ne pas renouveler ces soutiens et de rompre instamment ses relations avec les deux entreprises. Signer ! Récapitulatif