Les banquiers de la déforestation. SumOfUs est une communauté de personnes engagées pour limiter le pouvoir grandissant des entreprises à travers le monde.
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En 2020, elles ont même dépassé leurs voisines britanniques, démontrant un écart croissant entre les promesses de finance verte de la Place de Paris et ses pratiques réelles sur le climat. Reclaim Finance et les Amis de la Terre France appellent à un sursaut à quelques mois de la COP26 à Glasgow. Au total, les 60 plus grandes banques du monde ont accordé $3 800 milliards aux entreprises actives dans les secteurs du pétrole, du gaz et du charbon depuis l’Accord de Paris, en pleine contradiction avec les exigences de l’Accord de Paris. Jour de honte pour la finance française, soi-disant en pointe sur le climat. Contacts presse. Banque de France : passez de la parole aux actes ! Poussez la BCE à abandonner les énergies fossiles, maintenant. 30 oct. 2020 COVID-19 : LE CONFINEMENT DE TROP. L'impact dévastateur des banques françaises sur le climat. Les banques réchauffent la planète Les banques sont au cœur de l’économie et comptent parmi les acteurs incontournables du fait des choix d’investissements qu’elles font, et donc du modèle de société qu’elles façonnent par ce biais.
A ce jour, elles orientent encore 70 % de leurs financements énergétiques vers les fossiles, responsables de 80 % des émissions de CO2 mondiales. Leurs choix d’investissement et de financements révèlent une addiction des quatre grandes banques multinationales françaises à un système obsolète reposant sur les énergies fossiles : charbon, pétrole et gaz. Frais bancaires : "Un rejet de prélèvement facturé 20 euros ne coûte que 20 centimes à votre banque" Être dans l'impossibilité de payer une facture et se faire taxer fortement pour cela, voilà le quotidien de bien des usagers des banques.
Total, EDF et les grandes banques françaises à l’assaut des énormes gisements de gaz mozambicain. Le Mozambique va-t-il se transformer en « Qatar africain » ?
C’est en tous cas ce que souhaite son gouvernement, de même que de nombreuses multinationales occidentales, parmi lesquelles Total, Technip, EDF et les grandes banques françaises. Elles sont à la manœuvre dans des projets d’exploitation de gaz naturel au large des côtes du pays. Un terrible paradoxe, alors que le Mozambique vient de subir de plein fouet les conséquences concrètes du réchauffement climatique avec le passage du cyclone Idai, qui a laissé derrière lui un millier de morts et deux millions de déplacés.
Au Mozambique, le dérèglement climatique est déjà là. Européennes : Didier Porte a regardé les clips de campagne. Si, comme beaucoup, vous ne faites plus que des cauchemars sans surprise, qui ne vous réveillent plus en hurlant, le dos glacé de peur, les dessins de Laurie Lipton vont repeupler vos nuits et vos jours.
Je dis « repeupler » pour vous ménager, mais le vrai mot est « hanter ». Au bureau, en famille, en vacances, rien ne sera tout à fait comme avant, car Laurie Lipton a trouvé le moyen de fendre cette armure molle de banalité qui nous sert aujourd’hui d’uniforme. Il y a vingt ans, Cornelius Castoriadis parlait d’une « montée de l’insignifiance » pour qualifier l’effet du grand bond en arrière néolibéral. Le temps lui donne raison, mais cette médiocratie ne se limite pas au champ politique et intello-médiatique.
La loi du marché et de la com’ a réussi à domestiquer, à aseptiser, à rétrécir la moindre recherche, la moindre audace intellectuelle ou artistique, le moindre déraillement. Le Crédit Agricole ne doit pas se rendre complice des violations des droits des peuples cyberaction. #sable #bitumineuxMontreuil, le 16 septembre 2018 — Crédit Agricole est appelé à renouveler dans les prochains mois sa participation à des financements pour 3,6 milliards de dollars, dirigés aux entreprises canadiennes Enbridge et TransCanada, derrière le développement des très controversés projets d’oléoducs de sables bitumineux Line 3 et Keystone XL.
Insoumis lève toi !
Scandale dans la filiale camerounaise du Groupe BPCE - Page 2. BPCE : le procès de la noblesse d'Etat s'ouvre lundi. Enquête sur Natixis (1/3) : de l'art de gérer les actifs de ses clients à leur détriment. La faim profite (encore) aux banques. En lançant, en 2013, une campagne contre les activités spéculatives des banques françaises sur les matières premières agricoles, l’ONG Oxfam France avait jeté un pavé dans la mare boueuse des pratiques bancaires.
Prises en défaut par les révélations d’Oxfam, les mastodontes Crédit agricole, BNP Paribas, Société générale et le groupe BPCE s’étaient engagés – ou pas – à réduire significativement le volume de leurs fonds spéculatifs sur ce marché. Deux ans après, où en sommes-nous ? C’est la question à laquelle répond l’ONG dans un rapport publié aujourd’hui. Et le constat est sans appel : la faim aiguise toujours les appétits des grandes banques françaises. En 2013, Oxfam avait calculé que la valeur totale des 18 fonds permettant aux quatre grandes banques soupçonnées de spéculer sur les matières premières agricoles était de 2 583 millions d’euros. Évasion fiscale : les 7 péchés paradisiaques des banques françaises. Les Etats du G20 ont annoncé qu’ils allaient les 15 et 16 novembre prochains adopter des mesures fortes pour mettre un terme aux pratiques fiscales les plus agressives des entreprises multinationales, qui font perdre chaque année des centaines de milliards d’euros aux pays développés et aux pays en développement.
Parmi celles-ci figure le reporting pays par pays, c’est-à-dire l’obligation pour les entreprises de rendre des comptes sur les richesses qu’elles créent et les impôts qu’elles payent dans chacun des pays où elles sont présentes. Or ces informations ne sont pour l’instant destinées qu’aux administrations fiscales ; les rendre publiques est non seulement une condition incontournable de leur efficacité mais surtout n’a plus rien d’une utopie : les banques européennes vont devoir s’y soumettre en 2015, et les banques françaises ont été les premières à le faire en 2014. Rothschild, une banque au cœur du pouvoir. Une filiale du Crédit Mutuel en pleine «dérive mafieuse» - Page 3.
Société générale, BNP et Crédit agricole suspectées de blanchiment aux Etats-Unis. SOCIÉTÉ GÉNÉRALE: KICK YOUR COAL HABIT. 20 mai : actions autour de la Société générale. Au programme, des chiffres, des chiffres et des chiffres avec une seule attente pour ces requins, en savoir plus sur le montant de leurs intérêts ! Non contents de s’être déjà bien gavés, ils aborderont peut-être quelques uns des projets dont ils attendent des profits juteux, comme ceux de centrales à charbon en Afrique du Sud, de gaz de schiste en Pologne et de sables bitumineux au Canada, ou encore d’extraction et d’exportation du gaz et charbon en Australie, à commencer par le projet minier Alpha Coal en Australie. Profitons de la journée de l’Assemblée générale de la Société générale pour dénoncer ses activités qui détruisent notre planète et pour lui remettre le « Requin d’or : Pollueur !
». Nous vous invitons à démultiplier notre présence devant les agences de la Société générale pour dénoncer la politique climaticide choisie par la banque. Montrons que nous sommes partout : c’est par la pression citoyenne et massive que la Société générale se retirera du projet Alpha Coal ! Après la BNP, la Société Générale et Crédit Agricole dans le viseur des Etats-Unis. BNP Paribas a conclu, lundi soir, un accord prévoyant des sanctions record, dont une forte amende de 8,9 milliards de dollars (6,5 milliards d'euros) et une interdiction de compenser certaines transactions en dollars pendant toute l'année 2015. Mais, comme BNP Paribas avant elles, Société Générale et Crédit Agricole ont aussi annoncé passer en revue des opérations réalisées en dollars avec des pays sous embargo américain.
Audit interne La banque au logo rouge et noir a ainsi indiqué avoir « lancé un audit interne » et « engagé des discussions avec l'Office of Foreign Assets Control », l'autorité en chargé de faire appliquer les sanctions économiques prononcées par les Etats-Unis. Les banques françaises épinglées par les députés pour leur rôle dans l'évasion fiscale. Plus de 2.900 contribuables domiciliés en France possédaient un compte dissimulé en Suisse au sein de la banque HSBC. C'est l'un des chiffres divulgués par le rapporteur général du Budget à l'Assemblée nationale, Christian Eckert (PS), dans son rapport d'information sur l'exploitation de la fameuse liste HSBC, transmise à la France par Hervé Falciani, rapport examiné ce mercredi par la commission des Finances de l'Assemblée.
Six particuliers avaient déclaré leur compte 2.846 personnes physiques résidant en France avaient un compte -avec un encours positif- dans cette banque, ainsi que 86 personnes morales. La drôle d'histoire des banques françaises. Absence de contrôle, spéculation à outrance et paradis fiscaux ont éloigné les banques de l’économie réelle et enclenché une crise sans précédent en 2008. Comment en est-on arrivé là ? Ce documentaire remonte jusqu’en 1714, date de l’introduction en France du billet de banque, puis du système des actions orchestré par John Law – un banquier britannique féru de mathématiques, qui fit fortune dans les jeux. Mais, déjà, une première bulle spéculative crée la panique ! En 1789, la dette de l’État atteint 80 % du PIB.