Le Voyage de Fanny, un film à voir avec les élèves Le Voyage de Fanny de Lola Doillon, D.R. 1943. Du haut de ses 12 ans, Fanny a la tête dure ! Mais c'est surtout une jeune fille courageuse qui, cachée dans un foyer loin de ses parents, s’occupe de ses deux petites sœurs. D’après l’histoire vraie de Fanny Ben-Ami. Télécharger le dossier pédagogique Projections pour les scolaires : Les enseignants peuvent dès maintenant organiser des séances scolaires avec les élèves avant la sortie du film dans les cinémas proches des établissements.
Mémorial de la Shoah Top 10 des chansons qui parlent de la Guerre 14-18 Le 11 novembre approche et plutôt que de tomber dans la facilité et célébrer la paix, Zicabloc a décidé de rendre hommage à la guerre. En musique bien entendu : top 10 des chansons qui parlent de la Guerre 14-18 (gloire aux Poilus !). 1 – Georges Brassens / La guerre de 14-18 Comment faire rimer guerre avec camembert ? Il suffit de demander à Brassens. Chanson extraite de l’album Trompettes de la renommée sorti en décembre 1962. Le même mois, l’OTAN se dote de l’arme nucléaire. 2 – Barbara / Veuve de guerre Barbara : bonjour la joie. 3 – Léo Ferré / Tu n’en reviendras pas Sur un poème de Louis Aragon (1897 – 1982). 4 – Michel Sardou / Verdun Olympia 95. 5 – Renaud / La médaille « Maréchaux assassins » : Renaud aurait peut-être fait partie des soldats qui se révoltèrent à partir de 1917 (on a appelé ça les Mutineries de 17) : 1381 condamnations aux travaux forcés ou à de longues peines de prison et 554 condamnations à mort dont 49 furent effectives.
France5 - SHOAH - Résistance et libération : La résistance LA RESISTANCE Durant la guerre, des juifs el des non-juifs résistèrent aux nazis, dans toute l'Europe occupée. Ces combattants résistants, appelés des partisans, volaient des armes, faisaient sauter des voies ferrées et tendaient des embuscades aux soldats allemands. Des juifs réussirent à s'échapper des ghettos et des camps de concentration pour se cacher ou rejoindre la Résistance. La résistance juive aux nazis s'accrut à mesure que les déportations s'intensifiaient et que les rumeurs de l'existence des camps de la mort atteignaient les ghettos. En avril 1943, les troupes allemandes encerclèrent le ghetto de Varsovie, dans le but de rassembler tous les juifs restants, mais ceux-ci ripostèrent. Des révoltes éclatèrent aussi dans les camps de la mort.
Musique et guerre (2/4) : 16 juin 1916, premier Festival de musique Française L’Union sacrée à l’affiche C’était il y a cent ans, en juin 1916, à la salle Gaveau. Un documentaire de Victor Macé de Lépinay, réalisé par Véronique Samouiloff C’était il y a cent ans, en juin 1916, à la salle Gaveau. Le premier « Festival de musique française », organisé par la revue « La Musique pendant la guerre », allait permettre au public parisien d’entendre des œuvres de compositeurs mobilisés ou morts au front : Ladmiraud, Krieger, Flament, Riquet, Pénau, Labey, et quelques autres. Bien au-delà des considérations artistiques, ce Festival avait une ambition patriotique : celle de manifester une solidarité des musiciens de l’arrière à l’égard de leurs confrères combattants. Et sur l’affiche du festival, ils sont tous là (ou presque) : Saint-Saëns, Debussy, Fauré, d’Indy, Cortot, Charpentier, tous membres du comité d’honneur ou du comité d’organisation, réunis autour de l’initiateur de l’évènement Francis Casadesus. Avec • Philippe Gumplowicz, professeur des universités, musicologue et historien de la musique
Actualité - Résistance et Déportation dans la vallée du Rabodeau Musique et guerre (1/4) : Actualité des parutions : entretien avec Karine Le Bail Karine Le Bail évoque son livre "La musique au pas, être musicien sous l’occupation". -> Retrouvez ici notre feuilleton hebdomadaire "La Fabrique de la Guerre Froide" par Anaïs Kien Pour le premier volet de notre série "Musique et guerre", nous recevons l'historienne Karine Le Bail qui publie " La musique au pas. Etre musicien sous l'Occupation" ( CNRS Editions). Elle montre y dans quel type de collaboration ou de résistance les musiciens français se sont engagés pendant la Seconde Guerre mondiale, mais aussi comment la propagande allemande s'est appuyée sur la musique pour laisser croire à une Europe de la culture réconciliée sous la tutelle du Reich. Puis, un entretien avec Karine Le Bail, chercheuse au CNRS. Intervenants Karine Le Bail : historienne, chercheur au Centre Georg Simmel, unité mixte de recherche EHESS – CNRS, spécialiste de Pierre Schaeffer
Le Musée National de la Résistance