Une université suédoise se lance dans le paiement via la paume de la main Le secteur du paiement sans contact s’enrichit d’un nouveau système biométrique qui se base sur le réseau veineux de la paume de la main pour assurer l’authentification lors d’une transaction commerciale. Le paiement sans contact n’est plus une innovation aujourd’hui et même s’il a été popularisé et compte environ 23.600.000 cartes de paiement en mars 2014 d’après L’Observatoire du NFC et du sans contact, seul 37% du parc est installé. C’est ainsi que d’autres systèmes se placent en alternative à la technologie NFC afin de fluidifier le processus de paiement. Assurer l’authentification à l’aide du réseau veineux Développé par Fredrik Leifland, étudiant en ingénierie à l’Université de Lund en Suède, le système de paiement se base sur une information biométrique infaillible : le réseau veineux de la paume de la main. Un mode de paiement à petite échelle *BNP Paribas, Banque Accord, Crédit Agricole et Crédit Mutuel Arkéa
Paiement mobile: échec d'Orange, SFR et Bouygues Des moyens considérables. Des actionnaires qui représentent la quasi-totalité des abonnés mobiles. Et pourtant à l'arrivée, un échec patent. Le fiasco de Buyster servira de cas d'école sur la difficulté à innover des grands groupes. Buyster a annoncé dans les Echos la fin de son activité à la fin juin, après moins de trois ans d'activité. Ambitions importantes Pourtant, sur le papier, Buyster avait bien des atouts dans son jeu. Les moyens alloués étaient importants: une quinzaine de salariés, et 28 millions d'euros d'investissements prévus -finalement, seuls 23,2 millions d'euros seront décaissés. Et les projections étaient ambitieuses: être utilisé "rapidement" par 30.000 sites de e-commerce. 18 millions d'euros de pertes Les résultats de Buyster (en euros)Chiffre d'affaires2011: 4.1702012: 24.252 2013: 110.8302014: 400.000 (prévision) Résultat net:2011: -4,2 millions2012: -6,8 millions2013: -6,8 millions Source: société Las! Solution franco-française Comment expliqer cet échec?
À Paris, Vinci et PayByPhone proposeront le paiement mobile du stationnement automobile Laure Renouard • le 13 février 2014 à 12:25 13 février 2014 Tous ses articles @Glor_R Passionnée de nouvelles technologies, je suis à l'affût des dernières innovations dans le monde de la mobilité. Mon smartphone ne me quitte d'ailleurs (presque) jamais ! Article Actualités Générales À Paris, Vinci et PayByPhone proposeront le paiement mobile du stationnement automobile Vous habitez à Paris et vous vous risquez à y utiliser votre voiture ? Le paiement mobile aux horodateurs revient régulièrement dans l’actualité, à coups d’annonces régulières en fonction des villes. Comme l’annoncent les deux intéressés, l’appel d’offres a été remporté par Vinci Park, connu pour ses parkings souterrains disséminés dans la plupart des villes hexagonales, et PayByPhone. Vous aimez cet article, partagez-le !
Dilizi : Groupe BPCE passe à la caisse digitale Sur fond d’initiatives innovantes associées aux modes de paiement, les Banques Populaires et les Caisses d’Epargne (Groupe BPCE) lancent un service mobile d’encaissement : Dilizi. Cette solution originale, développée par le groupe bancaire, transforme le smartphone ou la tablette en « caisse digitale ». Le dispositif est associé à un lecteur de carte bancaire et à une application mobile (à télécharger sur l’App Store ou Google Play). Elle est enrichie d’une gamme de services intégrés : catalogue produits, gestion des encaissements, journal des transactions …Dilizi s’adresse en priorité aux commerçants, artisans, professions libérales, associations et prestataires de services en mobilité. L’offre Dilizi est en phase pilote jusqu’à fin mars. Dilizi : grille tarifaire claire de la part de Groupe BPCE Groupe BPCE assure qu’il s’agit d’une première étape. Présentation officielle de Dilizi – groupe BPCE (via YouTube) : Quiz : Connaissez-vous l’argent virtuel ?
Système de paiement européen: les migrations accélèrent Les basculements vers le système de paiement européen SEPA accélèrent. "En termes de migration, on observe une montée en puissance extrêmement forte au cours des dernières semaines. (...) Sur les quinze premiers jours de janvier, la migration s'est encore accentuée", a ainsi expliqué Denis Beau, directeur général des opérations à la Banque de France, lors d'un point-presse ce lundi 20 janvier. A ce jour, 84,1% des virements et 61,4% des prélèvements sont effectués au format SEPA, a-t-il précisé, contre respectivement 71,6% des virements et 39,4% des prélèvements à fin décembre. Une tolérance de six mois supplémentaires Le passage aux formats SEPA vise à harmoniser les moyens de paiement à l'intérieur de l'Union européenne. Début janvier, la Commission européenne a accordé un délai en prolongeant de 6 mois la période de transition pour l'entrée en vigueur de ces formats de paiement, qui devait se terminer le 1er février.
Ces petits nouveaux qui vont détrôner Western Union et MoneyGram en Afrique Du goudron des capitales africaines jusqu’aux ruelles des villages, ses agences jaune et noir sont incontournables. Depuis vingt ans, les 35 000 points de retrait d’argent de Western Union répartis dans une cinquantaine de pays africains ont fait du groupe le roi du transfert d’argent entre le Nord et Sud. Derrière lui, MoneyGram. A eux deux, les Américains contrôlent les deux tiers des points physiques de transfert en Afrique. Cette mainmise leur permet de pratiquer des tarifs élevés qui font de plus en plus grincer des dents les Africains expatriés. Aussi la concurrence est-elle montée au créneau pour casser les prix et se faire une place dans un marché florissant. Lire aussi : Une start-up française prête à sécuriser des milliers de transactions en Afrique WorldRemit, le transfert en ligne Lire aussi : En Afrique, des transferts d’argent de plus en plus connectés Le 10 mai, la start-up a annoncé la signature d’un partenariat avec le géant émirati du transfert UAE Exchange.
IBM s'allie à Visa pour faciliter les paiements grâce à l'IoT vendredi 17 février 2017 IBM vient de s'entendre avec Visa pour autoriser le paiement depuis n'importe quel terminal connecté à l'IoT, et ce, dans tous les points de vente où la carte Visa est acceptée. Et ce, grâce à la plateforme IoT Watson. IBM et Visa espèrent ainsi développer les paiement en mobilité avec différents terminaux, du smartphone à la montre en passant par une bague, une appliance, une voiture ou même un vêtement. Par exemple, sur les futures voitures connectées, le propriétaire pourra être averti lorsque la garantie du véhicule arrive à expiration ou lorsque certaines pièces du véhicule doivent être changées, et pourra régler l'extension de garantie ou l'entretien/réparation en appuyant sur un simple bouton de son tableau de bord. Il est même envisagé de pouvoir régler le carburant en station-service sans avoir à sortir sa carte bleue. Á suivre...
WeChat Pay révolutionne le paiement en ligne et en boutique de la clientèle chinoise WeChat Pay, une des solutions de paiement favorites en Chine et désormais disponible à l'international, constitue une forte opportunité pour les marques désireuses d'attirer et fidéliser la clientèle chinoise en voyage à l'étranger. Des millions de touristes sortent de Chine chaque année avec, pour destination principale hors-Asie, l'Europe et particulièrement la France. Elle en a accueilli près de 2 millions en 2016 et espère en attirer 5 d'ici à 2020. Mais pour mieux capter des prospects en partie acquis, qui apprécient le made in France et les marques de luxe, il s'agit désormais de proposer une expérience client et un environnement de shopping conformes à leurs habitudes de consommation. En Chine, We Chat est un écosystème complet où l'on peut tout faire sans jamais en sortir. Stratégie mobile first La startup française Europass, qui travaille avec différents partenaires du tourisme dont Atout France, propose depuis juin 2016 une billetterie sur mobile dans WeChat.