Couper les liens d’attachement Aujourd’hui, je vous propose deux exercices pour couper les liens d’attachement conscients ou non qui nous relient aux autres. Ces deux méthodes vont vous permettre de couper les liens toxiques entre vous et l’autre personne tout en conservant les liens d’amour. Il est bon de les appliquer régulièrement ou dès que le besoin se fait ressentir. Il n’est pas rare de ressentir immédiatement les bienfaits ou de constater des changements dans les jours suivants comme la résolution d’un problème, une sensation de paix, des nouvelles inattendues d’une personne. Une fois ces techniques faites, il est nécessaire de laisser les choses se faire en remettant vos soucis ou la relation en question entre les mains de l’univers. Les petits bonhommes allumettes de Jacques Martel : L’exercice des petits bonhommes allumettes de Jacques Martel est simple et ludique. 1/ Dessinez-vous à gauche de la feuille en ajoutant vos nom et prénom en dessous du bonhomme. Quelques règles à respecter : de Doreen Virtue.
Lâcher prise et être là Arnaud Desjardins : Le lâcher-prise est un geste intérieur qui interfère avec notre manière habituelle de réagir. Certains lâcher-prise nécessitent une grande force de conviction, d'autres sont plus aisés à opérer. Puis vient un jour où nous constatons que le fait de lâcher est devenu permanent. On pourrait même dire que le lâcher-prise est devenu inutile car il n'y a plus de prise, plus d'appropriation de la réalité. Une détente s'est établie, nous sommes en contact avec la réalité, instant après instant, sans projections sur le futur, ce qui nous permet d'accomplir les actions qui nous paraissent justes et appropriées, dans le relatif. N. A. La méditation améliore le cerveau Peut-on prouver scientifiquement que les exercices de méditation améliorent le fonctionnement du cerveau ? Antoine Lutz, chercheur à l'Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale), a participé à beaucoup d'expériences menées en France et aux États-Unis. Bilan (1). Le Point.fr : Pourquoi les neurosciences s'intéressent-elles à la méditation ? Antoine Lutz : Certains neuroscientifiques y voient un modèle prometteur pour explorer la neuroplasticité du cerveau, mieux comprendre les bases physiologiques qui sous-tendent le caractère subjectif de l'expérience méditative. Les électroencéphalogrammes et les scanners nous ont ainsi permis de scruter la dynamique et le recrutement spécifique de zones du cerveau pendant la méditation. Peut-on déjà présenter des résultats ? Oui. La méditation produirait-elle ainsi une conscience augmentée ? Cela reste à démontrer. Quels sont les autres défis de cette recherche ? Vous semblez avoir peur de ne pas être pris au sérieux ?
Lâcher prise, c’est accepter ses limites A force de vouloir contrôler tout ce qui nous entoure, nous gaspillons notre énergie et perdons notre sérénité. D’où le fameux “lâcher-prise” ! Une attitude intérieure d’ouverture à la vie et aux autres dont l’écrivain Gilles Farcet nous livre quelques clés. Pascale Senk Comment lâcher prise ? A découvrir Gilles Farcet Auteur, entre autres ouvrages, de Regards sages sur un monde fou (La Table ronde, 1997), un livre d’entretiens avec Arnaud Desjardins dont il est l’un des collaborateurs à l’ashram d’Hauteville, en Ardèche. Il faut, paraît-il « lâcher prise ». Quelle est donc cette « prise » qu’il conviendrait de desserrer ? Entretien avec l'écrivain Gilles Farcet. Avant de prétendre "lâcher", encore faut-il savoir ce que nous "tenons" ? Au commencement de toute "prise" se trouve l’ego, une conviction, un ressenti dont tout découle. Ce lâcher-prise ne sous-entend en rien une négation de l’individualité. Voilà pour la métaphysique, qu’en est-il de la pratique au quotidien ?
Neurosciences et méditation En 2000, une rencontre exceptionnelle eut lieu à Dharamsala, en Inde. Quelques-uns des meilleurs spécialistes des émotions, psychologues, chercheurs en neurosciences et philosophes passèrent une semaine entière à discuter avec le Dalaï-Lama dans l’intimité de sa résidence située sur les contreforts de l’Himalaya. C’était aussi la première fois que j’avais l’occasion de prendre part aux rencontres fascinantes organisées par l’Institut Mind and Life qui fut fondé en 1987 par Francisco Varela, un chercheur renommé en neurosciences, et Adam Engle, un homme d’affaires américain. Le dialogue portait sur les émotions destructrices et sur la façon de les gérer.1 Lors de cette rencontre, un matin, le Dalaï-Lama déclara : « Toutes ces discussions sont fort intéressantes, mais que pouvons-nous vraiment apporter à la société ? Un bienfait global Les méditants expérimentés ont la faculté d’engendrer des états mentaux précis, ciblés, puissants et durables. Il n’y a pas d’âge pour changer
Comment lâcher prise: quelques moyens Retenir équivaut à croire qu’il y a seulement un passé; lâcher prise, c’est savoir qu’il y a un avenir. Daphne Rose Kingma Lâcher prise peut s’expliquer et s’appliquer de bien des façons. Mais une manière très simple de l’apprivoiser consiste à l’opposer à son contraire: le contrôle. Lorsque nous réalisons que nous ne pouvons changer ni les événements ni les autres et que nous pouvons seulement changer notre façon de les percevoir, nous sommes dans le lâcher prise. De la même façon, lorsque nous modifions notre action pour arriver à un résultat, nous faisons preuve de flexibilité et de notre habileté à décrocher d’une conduite stérile. Le lâcher-prise et nos objectifs Est-ce à dire que lâcher prise implique de renoncer à nos buts, à nos objectifs ? Penser de façon obsessionnelle à un problème est la plupart du temps complètement inefficace et ne le règle surtout pas. Lâcher prise: un acte de confiance Pourquoi trouvons-nous si difficile de laisser aller notre besoin de contrôle?
S’affranchir des automatismes de pensée - Les voies de l'âme S’affranchir des automatismes de pensée J’étais allé faire un tour sur le site de « Méditation France » et je suis tombé (façon de parler) sur ce texte de Matthieu Ricard. Encore un texte pour réfléchir sur nos comportements mentaux. Lorsque nous sommes prisonniers d’automatismes mentaux, il faut observer la nature du mécanisme qui nous affecte et reconnaître en nous ce qui n’est pas affecté. Ce qui nous affecte, c’est un enchaînement de pensées qui sélectionne et isole un aspect de la réalité, ou un événement parmi d’autres, et le magnifie en lui accordant le champ entier de nos pensées. Cette distorsion est renforcée par le processus de répétition d’un enchaînement de pensées particulier qui va être joué « en boucle » dans notre esprit et prendre un caractère obsédant, ce qui signifie qu’on se trouve impuissant à l’écarter du champ de nos préoccupations. Pour remédier à cela il faut d’abord comprendre ce qui, en nous, n’est pas affecté par l’obsession. Qui est Matthieu Ricard ?
Six exercices pour apprendre à lâcher prise Lâcher prise ne signifie pas laxisme ou abandon. Cela veut dire qu'on accepte de regarder une situation d'un autre point de vue en renonçant à tout contrôler, pour soi-même et pour les autres. Le manager en sera soulagé, libéré et donc plus efficace. Se recentrer sur soi afin de calmer ses émotions, ses peurs, ses pensées, son corps permet de trouver une autre dynamique de fonctionnement. Vade-mecum en six verbes-clés. 1. Prenez conscience que pouvez agir sur ce qui dépend de vous mais pas sur ce qui ne dépend pas de vous. 2. La simple idée de lâcher prise vous fait paniquer? 3. "Je vais y arriver", "Je fais le pas suivant", "Ceci est une étape dans mon évolution"... 4. lI s'agit de se focaliser sur son physique afin de sortir du rythme infernal des pensées qui vous vous empoisonnent la vie. 5. Trouvez un symbole qui représente la paix, l'équilibre : soleil, prairie, forme douce, couleur... 6. Le lâcher-prise demande de la flexibilité mentale.
La méditation modifie durablement le fonctionnement du cerveau Selon une étude américaine, la pratique régulière de la méditation modifie l'activité de l'amygdale (en rouge ci-dessus), cette zone du cerveau notamment impliquée dans la peur, le stress et d'anxiété. Crédits : Life Science Databases(LSDB) Une étude américaine montre que la pratique régulière de la méditation modifie de façon durable le fonctionnement du cerveau. S'engager dans une pratique régulière de la méditation modifie durablement le fonctionnement du cerveau, selon une étude menée par par des chercheurs de l'Hôpital Général du Massachusets (Boston, Etats-Unis), et publiée le 1er novembre 2012 dans la revue Frontiers in Human Neuroscience. Si les neurologues savaient depuis longtemps que le cerveau d'une personne en train de méditer a un fonctionnement différent de celui habituel, cette étude vient aujourd'hui montrer que la méditation peut aussi engendrer des modifications neuronales durables, c'est-à-dire subsistant après l'activité de méditation proprement dite. Résultat ?
Lâchez-moi avec votre lâcher-prise Face à certaines situations difficiles auxquelles je suis confrontée en cette fin d’année, une petite voix résonne dans ma tête : “lâche prise !”. Que dois-je en faire ? A quoi cela m’invite-t-il exactement ? Parfois, j’ai l’impression que, si je lâche prise, une part de moi, un peu lâche (facile, je sais, mais bon…), se résignerait. Qu’implique-t-il donc ? Allez, lâche prise ! Si on se réfère au Larousse, le lâcher-prise semble plutôt positif puisqu’il est défini comme un “moyen de libération psychologique consistant à se détacher du désir de maîtrise”. Mais voilà, il est souvent présenté comme LE remède à toutes nos difficultés et, pire, comme un impératif. De l’importance de distinguer acceptation et résignation Dans certains cas, le lâcher-prise peut être vécu comme une résignation. Il est peu de vertu plus tristes que la résignation ; elle transforme en fantasmes, rêveries contingentes , des projets qui s’étaient d’abord constitués comme volonté et comme liberté.Simone de Beauvoir
La pratique de la méditation modifie l'organisation du cerveau L'équipe de recherche a voulu vérifier si les effets de la méditation persistaient au-delà de la pratique. (Photo: iStockphoto) Les adeptes de la méditation de pleine conscience apprennent dans leur pratique à accueillir les sensations, les émotions et les états d'esprit sans leur résister ni les juger. Plusieurs études ont démontré que ce type de méditation pouvait avoir des effets bénéfiques à long terme sur la stabilité émotionnelle et, par conséquent, sur des désordres comme l'anxiété et la dépression majeure. "Nous avons étudié le cerveau (Le cerveau est le principal organe du système nerveux central des animaux. "Nous voulions ainsi vérifier si les effets de la méditation de pleine conscience persistaient au-delà de la pratique, poursuit la doctorante. Effectivement, les résultats obtenus font voir une plus faible synchronisation entre les cortex préfrontaux ventro-médian et dorso-médian. Il y a encore beaucoup à découvrir sur le pouvoir de la méditation, croit-elle.
Sketchnote vidéo: l'importance du lâcher-prise Je voudrais vous parler d'un livre très intéressant. Il aborde le lâcher-prise, sous un angle nouveau et il y a un lien fort avec la pensée visuelle! La sketchnote en haut de cet article reprend les points clés de cet ouvrage, intitulé "Tinkle, Dabble, Doodle, Try" et écrit par le Docteur Srini Pillay, diplômé de la Faculté de Médecine d'Harvard et expert en neurosciences . Réalisée sous iPad avec l'application Procreate, cette sketchnote m'a servi de point de départ pour créer une courte vidéo explicative. Le réseau par défaut : une découverte récente et majeure Contrairement à ce que l'on pourrait penser, le cerveau au repos est très actif. Il s'agit d'un réseau de neurones qui s'active lorsque nous sommes au repos, non focalisés sur une tâche précise. L’activité du réseau par défaut (RD) présente la particularité de diminuer dès lors que nous sommes focalisés sur une tâche particulière. Bonne nouvelle pour les praticiens de la pensée visuelle! Le livre de Srini Pillay, sur Amazon.fr
Site Francophone sur la Pleine Conscience (Mindfulness) en Psychothérapie "Etat de conscience qui résulte du fait de porter son attention, intentionnellement, au moment présent, sans juger, sur l’expérience qui se déploie moment après moment". Kabat-Zinn, 2003. La pleine conscience est intégrée dans différentes formes de psychothérapies et d'interventions psychologiques. La Mindfulness Based Cognitive Therapy (MBCT), en français thérapie cognitive basée sur la pleine conscience, est une approche de groupe développée par Zindel Segal, John Teasdale et Mark Williams, qui est destinée à prévenir les rechutes dépressives chez les patients en rémission d'une dépression unipolaire récurrente. Nous savons qu'en présence d'un état de tristesse transitoire, les patients ayant déjà eu plusieurs épisodes dépressifs ont tendance à réactiver de manière facilitée des patterns de pensées et d'émotions négatives pouvant déclencher une rechute.