(article) La justice européenne défend le droit à l'oubli numérique face à Google La Cour de justice européenne a débouté Google mardi dans une affaire de droit à l'oubli numérique, estimant que les moteurs de recherche sont responsables du traitement des données personnelles qui apparaissent sur leurs pages internet et ont le devoir, dans certains cas, de les supprimer. Les particuliers peuvent obtenir, sous certaines conditions, la suppression des liens vers des pages internet comportant des données personnelles en s'adressant directement à l'exploitant, a tranché la Cour. Si celui-ci ne fait pas suite à leur demande, ils peuvent saisir les autorités compétentes. Cette décision constitue une surprise, car elle va à l'encontre de l'avis de l'avocat général, généralement suivi par la Cour. La Cour s'appuie sur une directive de 1995 La Cour a jugé mardi que l'exploitant d'un moteur de recherche est responsable du traitement des données personnelles qu'il collecte. "Ingérence dans les droits de la personne"
Facebook: la mémoire cachée L'appétit vorace de Facebook pour les données personnelles n'est un secret pour personne. Régulièrement, son estomac numérique gargouille auprès de ses membres pour réclamer son dû. «Donnez-moi votre numéro de mobile, que je puisse renvoyer votre mot de passe en cas d'oubli !» Les découvertes du jeune Max Schrems sont effarantes. «Statut : effacé» «Je ne cherche aucun gain financier ou personnel. Dégainant sa directive 95/46/CE qui garantit un tel droit à tout citoyen européen, Max Schrems écrit à Facebook pour réclamer l'accès à l'ensemble des données le concernant, via un formulaire très bien caché sur le site du réseau. - Facebook connaît bien sûr la liste d'amis liée à un profil, mais conserve également le nom de tous les prétendants refusés. - Même son de cloche du côté des «événements». - Les messages sont sans doute l'aspect le plus scandaleux du dossier. - Même subterfuge pour les statuts, les pokes... et les tags de photos : ils sont indélébiles sur les serveurs.
Soyons honnêtes, la quantité d'informations que Google rassemble à notre sujet est effrayante Avez-vous déjà songé aux renseignements auxquels Google ne pouvait pas avoir accès ? Soyez rassuré, cela ne vous prendra que quelques secondes : il y en a très peu. Google imagine sans cesse de nouveaux moyens de s'immiscer dans presque chaque aspect de notre vie. Le groupe possède le plus important moteur de recherche, la plus grande plateforme vidéo (YouTube), le plus puissant navigateur (Chrome), l'opérateur de messagerie le plus utilisé (Gmail) et le premier système d'exploitation mobile (Android) au monde. Tout cela signifie que Google n'ignore rien de ce qui nous concerne – qu'il s'agisse des recherches que nous faisons, des publicités qui nous intéressent, de ce que nous écrivons ou regardons et des applications que nous apprécions. Les projets de Google – tels que les Google Glass ou les voitures automates – ne sont rien d'autre que la prochaine étape dans sa quête du savoir total. Google possèdera bientôt des satellites qui surveilleront tout presque en temps réel
10 Social Media Blunders That Cost a Millennial a Job — or Worse | Money.com When you’re drowning in due dates, debt consolidation can sound like a godsend. Your credit cards, line of credit and other loans get consolidated into a lump sum you can tackle at a lower interest rate and with a minimum payment that’s manageable. But if you aren’t savvy when combining your debts, you could be worse off. According to a 2014 Gallup survey, the average American credit card holder has 3.7 credit cards; TransUnion 2015 research found the average borrower carries $5,142 of credit card debt. “Somebody who considers [consolidation] is in over their head, reaching their limits on their credit cards and they’re experiencing financial hardship,” Kathryn Bossler, a financial counselor at Green Path Debt Solutions, says. “It’s a tool and it’s not step one because nothing has changed,” agrees Carol Lewis, a certified financial planner who specializes in helping consumers get out of debt. Tread carefully, the experts say, or you could end up in more financial trouble.
Facebook a testé sa capacité de manipulation mentale des foules Facebook a provoqué de vives réactions en révélant dans une revue scientifique qu'il avait mené en 2012 une expérience de manipulation mentale auprès de 683 003 utilisateurs du réseau social. Pendant une semaine, Facebook a augmenté ou diminué le nombre des messages à connotation positive ou négative lus par ses membres dans leur fil d'actualité, et analysé l'effet que ces modifications provoquaient. Le site de Mark Zuckerberg voulait vérifier une théorie selon laquelle il existe une forme de viralité des émotions, et que le fait de voir des gens heureux nous rend heureux, même si on ne leur parle pas directement. Ou inversement, que de voir des gens tristes ou en colère rend triste ou en colère. "Lorsque les expressions positives ont été réduites, les gens ont produit moins de messages positifs et davantage de messages négatifs ; quand les expressions négatives ont été réduites, le schéma opposé s'est produit. Un pouvoir de manipulation politique
Google est-il un projet politique Emission enregistrée en public au Forum France Culture « L'année vue par... le numérique », dans l'amphithéâtre Émile Boutmy de Sciences Po à Paris, samedi 4 octobre à 10h. En bonus, réécoutez sur cette page l'échange avec le public. « Voici à quoi pourrait ressembler une matinée ordinaire d’ici quelques dizaines d’années. Vous n’êtes plus réveillé par un réveille-matin mais par l’odeur du café…Votre appartement est un orchestre électronique et c’est vous qui tenez la baguette. De simples mouvements du poignet…vous permettent de contrôler la température, l’humidité, la musique d’ambiance et l’éclairage… En vous déplaçant dans la cuisine, vous vous cognez très fort l’orteil contre le coin d’un placard – aïe ! Extrait d’À nous d’écrire l’avenir, livre publié l’an dernier par deux des principaux dirigeants de Google : Eric Schmidt et Jared Cohen (Denoël). « Google est-il un projet politique ? Dominique Boullier, Laurent Alexandre, Dominique Cardon et Hervé GardetteAL© Radio France Bonus :
Les boutons on/off pour sa vie privée (site de l'Inpes exemple) ↓ 1st click: activate button ↓ 2nd click: like More and more websites use like-buttons from Facebook, Google+ and Twitter. However, these buttons send information to these social networks even if the user doesn't click them, but even if they are just present on a webpage. This way these networks are able to track which websites users are visiting and are able to build fairly complete browser histories of their users. Because this is neither what a user might expect nor what many website operators that embed like-buttons want, this alternative way of using these social services was developed. The concept is fairly easy. The first click basically means that the user agrees that information is sent to the social network in question. If users don't care about their privacy and rather want the like-buttons to be always enabled they can do so in the settings menu, accessed via the gear icon. Social Share Privacy is a jQuery plugin under the MIT license.
Facebook sait où vous passez votre lune de miel (MàJ) Mise à jour : Facebook nous a contacté pour nous préciser que l'étude n'est pas basée sur la géolocalisation des connexions, comme nous l'avions compris à tort par une erreur de traduction de notre part, mais sur les "check-ins", c'est-à-dire les modifications de statut opérées pour signaler une position géographique. C'est donc en croisant deux événements proches déclarés par les membres, un mariage puis un "check-in", que Facebook devine où la lune de miel a été passée. Facebook a publié jeudi soir des statistiques compilées par son "équipe des données", qui établissent un classement des destinations favorites de lune de miel pour les jeunes couples mariés. Par ailleurs, Facebook a établi un graphique de la distance moyenne entre le pays d'origine des membres nouvellement mariés, et la destination de leur lune de miel. Mais l'étude a beaucoup moins d'intérêt pour ses résultats que pour ce que révèle la démarche.
PRISM : la NSA a accès aux données de tous les géants du web La polémique qui frappe actuellement l'opérateur Verizon et la NSA au sujet d'un programme d'échange de relevés téléphoniques n'est que la partie émergée d'un scandale beaucoup plus vaste. Si les révélations du Guardian ont révélé jeudi que des millions d'Américains sont sous surveillance, celles du Washington Post pourraient bien concerner toute l'Amérique... et des centaines de millions d'utilisateurs étrangers. Le quotidien américain a obtenu des informations classées top secret et qui pourraient bien, additionnées avec les autres affaires en cours, avoir raison de l'administration Obama. Il existe en effet un programme, baptisé PRISM, qui permet aux autorités américaines, via la NSA, d'accéder sans restriction à toutes les informations hébergées et traitées par tous les géants du web. Sont concernés par PRISM : Microsoft, Google, Yahoo, Facebook, PalTalk, YouTube (filiale de Google), Skype (filiale de Microsoft), AOL et Apple. Se pose désormais plusieurs questions.
(article) Première condamnation française de Google sur le fondement du droit à l’oubli numérique De par son dispositif, cette décision constitue une avancée majeure en matière de droit de l’internet et des nouvelles technologies ; à notre connaissance, aucune juridiction française ne s’était encore fondée sur la notion de « temps écoulé » pour faire droit à une demande de déréférencement. 1) En substance, les faits étaient les suivants : Au cours du mois de mai 2014, Madame X avait constaté que la formulation d’une requête portant sur son nom dans le moteur de recherche de Google faisait ressortir, en première position de la première page de résultats, un lien renvoyant vers un article du journal Le Parisien publié en avril 2006. Cet article était entièrement consacré à la condamnation pénale de Madame X pour escroquerie, laquelle avait été condamnée en avril 2006 par le Tribunal correctionnel de Beauvais à une peine d’emprisonnement de trois ans dont deux ans et neuf mois avec sursis. Madame X décidait alors d’assigner la société Google France. Seul l’avenir nous le dira.
Facebook, n'en fais pas une affaire de données personnelles ! Claude Castelluccia est directeur de recherche à l'Inria et responsable de l'équipe Privatics (protection de la vie dans le monde numérique). Abdelberi Chaabane est doctorant au sein de l'équipe Privatics de l'Inria où il travaille sur la protection de la vie privée dans les réseaux sociaux. Depuis 2004, Facebook a-t-il fait évoluer la définition de la vie privée ? Oui, ces évolutions sont reflétées par les changements récurrents de la Privacy Policy (politique de protection de la vie privée). De plus en plus d’informations personnelles passent de l'état privé (visible uniquement par les amis) à l'état public (visible par tout le monde). Qu’est-ce que Facebook sait de nous et comment s’en sert-il ? Bien évidemment Facebook a accès aux données que nous partageons. Facebook a aussi accès à une grande partie des historiques web des utilisateurs (c’est-à-dire la liste des sites visités) et les utilise pour profiler les utilisateurs afin de mieux cibler les publicités.
Conditions Google au sujet du droit de propriété des données et du droit d'auteur
Heureusement que parfois ils sont la pour défendre les consommateurs et utilisateurs . by damond_droit Mar 31