Tout ce qu'il faut savoir sur les licences Creative Commons Je m'y réfère tous les jours, que ce soit ici pour ce blog, pour LittleThingz, et pour illustrer tout un tas de choses, et pourtant je me rends compte que je ne suis jamais vraiment entré dans le détail pour expliquer ici ces fameuses licences Creative Commons. Car oui, sauf exceptions de rares photos personnelles, de captures d'écran, ou de quelques images "piquées" sur les pages d'un service web parce que j'en fait la promotion, toutes les images que tu trouves ici sont distribuées selon une de ces licences. Et pourtant, j'ai l'impression que ce n'est pas la règle sur la majorité des blogs et sites web, et je pense que c'est bien dommage. Voici donc l'essentiel de ce qu'il faut savoir sur le sujet, en t'expliquant un peu ma manière personnelle de gérer ça. Pourquoi faut-il connaître et utiliser ces licences ? Sauf que comme toute chose, il y a un auteur derrière chaque création, et il n'est pas forcément d'accord que tu lui piques son travail sans contrepartie. Attribution (CC BY)
Apprentissage collaboratif Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans le domaine de l'apprentissage et de la gestion communautaire des savoirs, la collaboration peut reposer sur un but commun, chaque membre réalisant une part de la tâche globale, en puisant dans les ressources de l'environnement (mémoire organisationnelle), dans ses ressources propres (compétence individuelle) et dans celles du groupe : on parle alors de communauté de pratique voire de communauté d'apprentissage et d'apprentissage collaboratif. Les TICE (Technologies de l'Information et de la Communication pour l'Éducation) et l'apparition de plates-formes virtuelles d'apprentissage collaboratif (Claroline...), ainsi que de nouveaux outils (logiciel Wiki par exemple) ou de produits (dont Wikipédia) permettent aujourd'hui d'intégrer des interactions interpersonnelles et de produire un nouveau mode de travail, basé sur un esprit de communauté (parfois dite « virtuelle ») dans un esprit collaboratif. Intérêt[modifier | modifier le code]
SmartCloud - Social Business IBM SmartCloud for Social Business Delivering the industry's most flexible cloud platform featuring social, mobile, meetings and mail. Start a Trial Buy now See What's New!The latest release helps organizations be smarter and more social in a security-rich and simple way. We want to hear from you! Why IBM? Understand what it means to become a social business and learn about the benefits of our solution. New! Learn about services that make it easier than ever to adopt cloud at a rate and pace that works best for your business. Hear from the experts Read what the analysts and our customers think about cloud collaboration strategies, file sync capabilities, and social business leadership. IBM SmartCloud trial download Full suite of collaboration tools. 60 day trial offer Enhance Your Workplace Socially enabled productivity applications in the cloud See the cloud in action Notes Social Edition V9 demo a workforce for today and tomorrow Watch the product demonstration now SmartCloud Engage Security
Qu'est-ce que le connectivisme ? Les théories et les modèles de l'apprentissage se suivent et ne se ressemblent pas forcément; chacun présente une approche spécifique avec ses avantages et ses limites et on n'a pas toujours intérêt à adopter inconditionnellement l'une ou l'autre de ces approches. Le modèle transmissif où l'enseignant est le détenteur du savoir et s'évertue à le transmettre à un apprenant qui aspire à correspondre à un modèle a vu ses beaux jours décliner quoiqu'il soit encore appliqué dans des bastions réfractaires tels que certains espaces universitaires traditionnels (et les xMoocs). Le béhaviorisme, avec le balisage de l'apprentissage du plus simple au plus complexe avec force renforcements, positifs et/ou négatifs, des informations fournies juste à temps à l'apprenant et les remédiations pertinentes qui récupèrent tout retardataire vivra encore de très beaux jours et amènera des réussites ponctuelles satisfaisantes. Toutes ces approches correspondent à des pratiques courantes dans l'apprentissage.
Les enfants ne savent pas se servir d’un ordinateur et vous devriez vous en inquiéter. | Nicolas Le Gland Marc Scott est professeur d’informatique en collège et lycée au Royaume-Uni. Son article “Kids can't use computers… And this is why it should worry you” est traduit en français par Nicolas Le Gland. Trop long à lire ? Le téléphone a sonné dans mon atelier. J’ai souri et je me suis présenté en m’asseyant à côté d’elle. « Je vais devoir faire vite. Elle a immédiatement réévalué ma classification. J’ai regardé le MacBook. J’ai alors rendu le MacBook à la femme qui a lancé Safari. « L’Internet ne marche pas. » a-t-elle déclaré avec dédain. J’ai entendu cette phrase tellement de fois, que ce soit par des élèves ou des enseignants, que j’ai une réaction toute prête. Je me suis dit que la jeune femme n’apprécierait probablement pas le sarcasme, et je lui ai pris le MacBook pour y ajouter les paramètres du serveur proxy du campus. « Sauriez-vous où sont les paramètres de proxy ? Je n’ai pas eu de réponse. Il m’a fallu environ dix secondes pour trouver et remplir les paramètres de proxy. L’école
Pédagogie coopérative Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La pédagogie coopérative repose sur une philosophie de l'instruction qui place l'élève en tant qu'acteur de ses apprentissages, capable de participer à l'élaboration de ses compétences en coopération avec l'enseignant et ses pairs. L'acquisition des connaissances résulte alors d'une « collaboration du maître et des élèves, et des élèves entre eux, au sein d'équipes de travail »[1]. Il s'agit de mettre l'élève en situation vraie d'action, une situation où il peut exercer ses capacités, où avec le groupe il construit des réponses adaptées aux questions soulevées par la mise en œuvre de projets individuels ou collectifs. Origines et valeurs[modifier | modifier le code] La coopération est, à l'origine, un système économique et social, une réponse à un besoin, un manque ressenti dans une structure économique. Il s'agit d'une des deux traductions d'un courant pédagogique nommé le cooperative learning. Annexes[modifier | modifier le code]
Tutoriels Dropbox et Google Drive : le cloud computing au service de la pédagogie Le SCEREN-CRDP de l’Académie de Toulouse propose un dossier complet Le cloud computing au service de la pédagogie qui explore l’utilisation de Dropbox (offre d’appel gratuite de 2 Go de stockage en ligne) et Google Drive (5 Go de stockage en ligne). Que permettent ces 2 offres (comme bien d’autres) de cloud computing (informatique dans les nuages) : la notion de partage (de fichiers) et l’écriture à plusieurs mains tout comme des situations d’apprentissage qui permettent de passer de la coopération à la collaboration. Ce dossier permet de comprendre l’utilisation de Dropbox et Google Drive avec tutoriels pour des dispositifs pédagogiques pouvant être mis en place dans le cadre de l’apprendre que ce soit en formation, en initiation en EPN ou bien avec des activités menées dans le cadre scolaire ou professionnel. Dropbox au service de la pédagogie 1. Google Drive au service de la pédagogie 1. Licence : Creative Commons by-nc-saGéographie : Midi-Pyrénées
Une contre-histoire des internets - ARTE Notice : Les encyclopédies collaboratives en ligne Wikipédia / Wikimini Présentation de la séance Nous avons retenu ce scénario parce qu'il propose l'étude d'un objet informationnel et ouvre à une approche conceptuelle centrée sur la notion d'encyclopédie collaborative en ligne et à laquelle sont corrélées plusieurs autres notions info-documentaires de premier ordre (auteur, fiabilité de l'information, document numérique). L'apprentissage est facilité par l'expérience proposée aux élèves consistant à rédiger et à publier un article documentaire sur Wikimini. Ainsi le concept visé devient-il opératoire, apportant un sens à l'activité et assurant une bonne motivation. « S'y connaître » et « en être » sont deux perspectives qui rendent bien compte d'un projet qui contribue à faire entrer les élèves par les usages dans la culture informationnelle. Objectifs d'apprentissage L'introduction de la fiche contextualise la séance et permet d'en comprendre les objectifs. Introduction de la séance Méthode pédagogique Didactisation des notions Structuration des connaissances
Sept façons astucieuses d'utiliser le stockage en ligne Par Benoist Fechner Mis à jour le , publié le Non, le "cloud" n'est pas ce lieu mystérieux que nous dépeignent depuis des mois les publicitaires et les opérateurs de téléphonie mobile. Derrière ce terme vaguement fumeux, qui signifie "nuage" en anglais, se cache un principe simple et finalement pas si neuf : celui du stockage en ligne, non seulement de données mais aussi de services et d'applications. En français, pour rester dans la métaphore, on parle de "stockage dans les nuages". Sans le savoir, vous utilisez le cloud depuis de nombreuses années. Au-delà des fonctions de base du "nuage", voici sept façons astucieuses de sortir du brouillard pour profiter pleinement du cloud. 1Utilisez Dropbox comme une assurance plantage C'est arrivé à quiconque travaille sur des documents texte comme Excel ou Word. Dans la suite OpenOffice, rendez-vous dans l'onglet "outils", puis sélectionnez "options > chemins". 2Centralisez vos favoris avec Pocket Ce service est en outre compatible avec Twitter.
Fuir ou prendre le pouvoir ? Hier soir, plusieurs messages sur twitter proposaient des alternatives à Google en relayant ce billet qui listait quelques alternatives, la plupart déjà connue, tandis que d’autres signalaient l’interview de Snowden qui conseille de quitter les géants du web. Faut-il fuir et rejoindre Diaspora et sa version hébergée et rejoindre la résistance organisée par Framapad ? La métaphore du village breton résistant à l’Empire romain est amusante, mais semble s’inscrire dans une téléologie évidente, celle de la défaite ou de l’illusion fictionnelle d’une victoire hypothétique qui ne se déroule que dans un univers de BD. Alors faut-il partir de nos locations numériques ? La situation est beaucoup plus complexe qu’une simple fuite ou la découverte d’une alternative miraculeuse. Peut-être, mais finalement pas besoin d’être connecté à quoi que ce soit, pour être potentiellement espionné. Affaire à suivre…