1759 recitus | Documents Mise en situation À partir de la deuxième moitié du 18e siècle, l’Angleterre connaît une révolution économique qui transformera en profondeur les modes de production grâce à d’importantes innovations techniques. Ce phénomène s’étendra par la suite en France, en Allemagne puis aux États-Unis. Cette industrialisation a été maintes fois mise en scène au grand et au petit écran. Opérations intellectuelles visées Établir des faits Caractériser une réalité historique Consignes Visionne tous les extraits vidéo qui se trouvent dans le dossier documentaire et réponds aux questions qui les accompagnent. Technologie Produis un diaporama qui répond à la question de travail du dossier. Ce dossier document est également disponible en version Document Google.
Village des tanneries Montréal (sous échangeur Turcot) Cet été, sur le chantier de construction de l'échangeur Turcot à Montréal, les travailleurs et les archéologues du MTQ ont mis au jour les vestiges de l'ancien village des tanneries du quartier Saint-Henri. Or, il y a un peu plus d'une semaine, le ministre des Transports Robert Poëti, la ministre de la Culture et des communications Hélène David et le maire de Montréal Denis Coderre, ont fait l'annonce que ces vestiges du passé montréalais allaient être ensevelis et/ou rasés. Travaux qui ont commencé dès la fin de semaine dernière. Pour comprendre l'intérêt de cette découverte, intéressons-nous un peu à l'histoire du travail du cuir et conséquemment à celle des tanneries en Nouvelle-France. Photo: Agence QMI 1- Traite des fourrures et travail du cuir Photo: Jean Talon par Claude François, 1671 (Photo) La naissance d'une communauté d'artisans à Montréal (Photo) Photo: Saint-Henri des Tanneries Les découvertes archéologiques Vous avez aimé cet article?
Images of London history show the city's evolution over 2,000 years Radio-Canada.ca - Zone Radio - De remarquables oubliés Jeanne Mance (1606-1673) Première infirmière laïque de Montréal et fondatrice de l'Hôtel-Dieu de Montréal. Elle est considérée comme cofondatrice de Montréal avec Paul de Chomedey de Maisonneuve. Une enfance pieuse Jeanne Mance est née à Langres en Champagne dans une famille de la haute bourgeoisie. Enfant, elle fait vœu de chasteté. À 20 ans, elle remplace sa défunte mère auprès de ses frères et sœurs. Une vocation de missionnaire À 34 ans, elle décide d’aller en Nouvelle-France évangéliser les Indiens et soigner les malades. Des débuts héroïques Le 17 mai 1642, Jeanne Mance fait partie du premier groupe de Français conduit par Paul de Chomedey, sieur de Maisonneuve, qui arrive sur l’île. Le premier hôpital En janvier 1645, elle supervise la construction d’un centre de soins de la petite colonie, l’Hôtel-Dieu. Une ville à protéger En 1651, les Iroquois attaquent de plus en plus souvent Ville-Marie. Sa cause de béatification a été introduite en 1959 dans l'archidiocèse de Montréal.
25 vieux clichés saisissants du travail des enfants vu par Lewis Hine Lewis Hine est sans doute le photographe américain le plus important de l’âge industriel. Pionnier dans la photographie « ethnographique » ses clichés des ouvriers sur l’Empire State Building ont notamment fait le tour du monde. Mais Lewis Hine est aussi réputé pour avoir donné un visage à ces milliers d’enfants qui travaillaient dès le plus jeune âge avant l’abolition. Comme nombre de grands talents avant et après lui, l’artiste finira sa vie dans la misère, son art ne faisant déjà plus recette. Mais Lewis Hine laisse malgré tout un témoignage historique puissant et une leçon sur les droits acquis à la force des luttes. Les yeux plein de peur mais aussi d’espoir pour un avenir serein, ces petits artisans du « rêve » américain ont désormais une place dans l’histoire. « Si je pouvais raconter une histoire avec des mots, je ne me baladerais pas avec un appareil photo. » écrivait Hine. Source : Le Monde.fr - Cet article gratuit et indépendant existe grâce à vous -
Légendes d'un peuple - Musique Musique Légendes d'un peuple – Tome I Pour Isis, Loïc et Emmanuelle Je tiens à remercier chaleureusement les poètes et musiciens de l'album qui sont tous des « Légendes » à mes yeux! Merci à David Murphy, Gilles Laporte, Monique Giroux, Michel Robitaille, Mélanie Fuller, Bruno Desjarlais, Marthe Lévesque, Michèle Lalonde, Claude Champagne, Pierre-Luc Durand, Lise Raymond, Lise Blanchard et Olivier Ménard, pour leur générosité, leur appui et leur précieuse implication! Merci également au Conseil des arts et des lettres du Québec de son appui financier. Crédits Légendes d'un peuple – Tome II Production : Alexandre Belliard / Les Disques Gavroche Direction artistique : Alexandre Belliard Édition : David Murphy & Cie Voix : Alexandre Belliard, Richard Séguin, Joséphine Bacon Musiciens : Hugo Perreault, Guido Del Fabro, Philippe Brault, Éric Goulet, Richard Séguin Pochette : Alexandre Belliard Légendes d'un peuple – Tome III Légendes d'un peuple – Tome IV Légendes d'un peuple – Tome V
Quelle aventure ! La Belle Époque dimanche 30 décembre 2007, 10 h 55 L’émission Dans cette série, Fred et Jamy, les deux animateurs bien connus des amateurs de C’est pas sorcier explorent par la magie d’une « zapette » des périodes de l’histoire de France de façon ludique.Dans ce numéro, Fred et Jamy découvrent un film datant de 1900 et décident de partir découvrir le Paris de l’époque, ses transports et moyens de communication (l’automobile, le métropolitain), ses nouvelles technologies (l’électricité, le téléphone, le cinématographe). Pistes à suivre [Histoire, cycle 3] Les effets de la deuxième révolution industrielle Relever les grandes inventions et progrès techniques évoqués (automobile, vélo, train, métro, téléphone, électricité et cinéma). Noter les dangers avancés par les opposants à ces nouvelles techniques (vitesse, pollution, incendies et explosions dus au gaz, danger de la lumière électrique pour les yeux, disparition des chevaux en ville représentant une menace pour la culture des champignons de Paris.)
Un portrait des Québécois à travers le sirop d'érable Un texte de Félix-Antoine Viens Le réalisateur va à la rencontre de producteurs de sirop, de Roméo Bouchard, fondateur de l'Union paysanne et exploitant d'une petite érablière avec son fils dans le Bas-Saint-Laurent, à la jeune famille Tessier, des Montréalais qui ont réalisé un rêve en acquérant une érablière dans les Cantons de l'Est. Maëcha et Simon et leurs trois enfants se retrouvent à la cabane à sucre chaque printemps, entourés de la famille et des amis pour entailler les arbres, récolter l'eau d'érable et produire cet élixir. L'importance de prendre le temps, le respect du terroir québécois et de la nature, ainsi que la valeur du travail sont autant de thèmes abordés dans Le goût d'un pays. Le sirop d'érable, c'est comme nous, c'est improbable. Gabriel Nadeau-Dubois, Kim Thúy, Boucar Diouf et Fabien Cloutier expliquent, chacun à leur façon, leur relation personnelle avec le sirop, et nous font part de leur réflexion sur le Québec, ses tourments et ses rêves.
L'industrialisation : une révolution économique et sociale - ThingLink Si l'urbanisation s'accentue au cours de l'industrialisation, la ruralité demeure une réalité. Certaines personnes demeurent, volontairement ou non, à l'écart des villes, de leurs services et de leur marché, afin de travailler et de produire, notamment dans le secteur de l'agriculture. Au cours de l'industrialisation, beaucoup de chômeurs, certains ayant été remplacés par des machines, se dirigent vers les villes espérant y trouver un emploi dans les usines. Inventée puis perfectionnée par James Watt dans la seconde moitié du 18e siècle, la machine à vapeur transforme l'énergie thermique de la vapeur d'eau en énergie mécanique. Dans un premier temps, le charbon alimente la machine à vapeur et la force mécanique vient remplacer celle de l'homme. La révolution agricole Améliorant la quantité et la qualité des aliments, la révolution agricole est un des facteurs essentiels à l'industrialisation. La rotation des cultures vient remplacer la jachère, où on laissait un sol se reposer.
L'espace d'une chanson (bûcherons) avec Fred Pellerin Site officiel de Fred Pellerin fredpellerin.com Centre d’histoire de l’industrie papetière borealis3r.ca Histoire de l’industrie papetière au Canada français ameriquefrancaise.org Chronique « Maurice Bordeleau, Cook à bord du Weymontachingue », par Françoise Bordeleau, historienne latuquehistoire.blogspot.ca Plusieurs photos de drave à La Tuque, article par Hervé Tremblay, historien latuquehistoire.blogspot.ca Tourisme Mauricie tourismemauricie.com
The Strike 1886 Travel - The first European settlement in the New World While driving north along the TransCanada Highway, I was stopped by a moose. I sat stranded along the stretch of roadway in northern Newfoundland known as the Viking Trail, which leads to L’Anse Aux Meadows National Historic Site, the only authenticated Norse settlement in North America. As I waited for him to carry on his way, I noticed that the tree branches in the forest lining this section of road all pointed east, angled by the force of the wind blowing inland off the Strait of Belle Isle, the narrow strip of water separating Newfoundland from Labrador. Twenty minutes later, I continued on my journey; it was another 80km to L’Anse Aux Meadows National Historic Site. Stepping out of the car, my nostrils filled with the crisp, briny sea air carried in by a breeze that rippled across the grassy landscape. It is here that a significant moment in human migration and exploration took place We didn’t know anything about the Vikings being here
Être enterré vivant : la hantise du XIXe siècle Imaginez : vous vous réveillez allongé dans un lieu étroit, sans lumière, presque dépourvu d'oxygène... Vous tentez de vous relever, mais votre tête heurte une surface rigide. Horreur : vous avez été enterré vivant ! Une situation digne d'un conte d'Edgar Allan Poe (qui en fit le sujet de L'Inhumation prématurée, nouvelle parue en 1844), et qui fut l'une des hantises les plus persistantes du XIXe siècle. La taphophobie, ou peur d'être enterré vivant, se développe d'abord au siècle précédent. La crainte d'être enterré trop tôt se répand si bien que dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, certains législateurs interviennent. En France, l'article 77 du Code Napoléon prévoit en 1804 le même délai obligatoire de 24 heures avant l'enterrement. En 1836, La Gazette du Languedoc relate par exemple une histoire horrible survenue en Transylvanie (région qui deviendra plus tard célèbre pour ses macchabées quelque peu récalcitrants) : La médecine européenne prend la question très au sérieux. « M.