Bruce Gilden Marc Bauer, drawings, installation and animation stephane couturier «Les Nouveaux Constructeurs», solo exhibition Galerie RX, Paris March 16 - April 25, 2019 Stéphane Couturier, solo exhibition Musée National Fernand Léger - Biot (France) October 6, 2018 - March 4, 2019 Extension until april 29, 2019 « Connectivités », Half permanent Exhibition MUCEM – Marseille November 29, 2017 - December 30, 2020 Sète #18 ImageSingulières Editions Le Bec en l’Air Editions Xavier Barral, Paris « Stéphane Couturier » 200 pages, 25 x 28 cm Festival ImageSingulières, photographic commission - Sète (France) 2017Musée de la Photographie - Charleroi, Belgium Galerie Kornfeld - « So far So close » - Berlin Artothèque - « Alger, Climat de France » - Caen, France ArTsenal, centre départemental d’art contemporain - Rétrospéctive - Dreux, FranceLa Galerie Particulière - «Alger la Blanche» - Bruxelles Musée Nicéphore-Niépce - Chalon-sur-Saône - « Alger, Climat de France » La Galerie Particulière - Paris - « Anaklasis » Paris Photo, Galerie Particulière Booth - Grand Palais, Paris
CLAUDE NORI - PHOTOGRAPHE Vera Lutter Sergio Larrain Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Larrain. Sergio Larrain, né en 1931 à Santiago et mort le à Ovalle[1], est un photographe et photojournaliste chilien. Biographie[modifier | modifier le code] Fils d'architecte, Sergio Larrain abandonne ses études d'ingénieur à l'université de Berkeley (département des eaux et forêts) puis à l'université du Michigan (à Ann Arbor) pour se tourner vers la photographie et le photojournalisme à partir de 1949[2]. En 1953, il travaille pour le magazine brésilien O Cruzeiro. Ami de Pablo Neruda, Sergio Larrain était membre à part entière de l'agence Magnum depuis 1961 où il était rentré par l'entremise de Cartier-Bresson. À partir de 1971, il se retire dans un hameau du Chili où il vivait en ermite[2]. Citation[modifier | modifier le code] « Une bonne photo naît dans un état de grâce. Expositions[modifier | modifier le code] Collections publiques[modifier | modifier le code] Publications[modifier | modifier le code]
Andreas Gursky Andreas Gursky est l’un des plus grands photographes européens contemporains. Né en Allemagne en 1955, d’un père photographe commercial, il effectue tout d’abord des études de photographie à Essen. En 1981, il entre à l’Académie des Beaux-Arts de Düsseldorf, où il suit les cours de Bernd et Hilla Becher qui s’intéressent tout particulièrement à l’architecture industrielle et urbaine en noir et blanc, dans une approche de la photographie très impersonnelle. © Andreas Gursky © Andreas Gursky C’est que le travail d’Andreas Gursky donne le vertige. © Andreas Gursky, 99 Cent II Diptych (2001). © Andreas Gursky, Rhein II (1999). Les œuvres photographiques d’Andreas Gursky sont parmi les plus chères du monde. Sebastião Salgado Genesis est la grande exposition de Sebastião Salgado, un hommage photographique sans précédent à notre planète. Les 245 photographies exposées, au terme de huit ans de travail et d’une trentaine de voyages à travers le monde, sont présentées selon un parcours en cinq chapitres géographiques ("Aux confins du Sud", "Sanctuaires naturels", "Afrique", "Terres du Nord", "Amazonie et Pantanal"), qui sont autant de régions du monde explorées par Sebastião Salgago pour nous révéler la nature de notre planète dans toute sa splendeur. « Genesis est la quête du monde des origines, celui qui a évolué pendant des millénaires avant d’être confronté au rythme de la vie actuelle, avant d’oublier ce qui fait de nous des êtres humains. Cette exposition nous présente des paysages, des animaux et des peuples qui ont su échapper au monde contemporain. Elle met à l’honneur ces régions vastes et lointaines où, intacte et silencieuse, la nature règne encore dans toute sa majesté. Lélia Wanick Salgado Soutiens
Jeff Wall : « Near Documentary ». Proche de l’image documentaire 1 L’authentification de l’image décrit un processus artistique dans lequel une mise en scène est ren (...) 1Si cette publication est dédiée à la part de fiction dans les images documentaires, cet article traite de la proposition inverse : quelle est la part du documentaire dans une photographie dite de fiction ? A travers l’œuvre du photographe canadien Jeff Wall (né en 1947), et notamment avec l’exemple de la photographie « Man with a Rifle » (Homme avec un fusil, 2000), je souhaite démontrer que des stratégies d’authentification1 sont à l’œuvre dans une photographie mise en scène, et ce afin de m’interroger sur l’hybridité inhérente à la notion de photographie documentaire. 2Exposées dans des cadres lumineux, les photographies grand format de Jeff Wall présentent des mises en scènes soigneusement composées et construites. 2 Olivier Lugon, Le Style documentaire. 4 Extrait d’un texte de presse publié par la galerie Marian Goodman, New York lors de l’exposition (...) Fig. 1. Fig. 2.
Antoine Schneck - Gisants Valentine Visconti john Stezaker Arles John Stezaker a participé à plusieurs mouvements artistiques d’envergure au cours des quarante dernières années, depuis l’art conceptuel et le mouvement du New Image Art jusqu’à l’intérêt contemporain pour le collage. Suite à une première exposition au sein du British Conceptual Art group lors de la première exposition Hayward Annual en 1972, l’intérêt de Stezaker pour le concept a vite laissé place à une fascination durable pour l’image, notamment par le biais de photographies trouvées et de documents imprimés. Cette fascination se traduit dans son travail par des altérations, des suppressions, des concordances visuelles et des juxtapositions réalisées à partir de sources hétéroclites qui donnent lieu, de manière intuitive, à des images, des relations, des personnages et des significations inédites. « Nous ne pouvons vivre dans la singularité absolue, dans l’irréversibilité dont le moment de la naissance est le signe. Jean Baudrillard, Le Système des objets John Stezaker
Toni Frissel : une photographe pionnière de la mode Toni Frissel est une photographe américaine née en 1907 connue essentiellement pour ses photos pendant la seconde Guerre Mondiale, ses portraits, et ses photos de mode pour de grands magazines. Même si vous ne connaissez pas son nom vous avez probablement déjà vu au moins une ou deux de ses photos. Elle commence sa carrière comme secrétaire chez Vogue avant de se faire virer à cause de ses fautes d’orthographes trop nombreuses, mais un éditeur du magazine l’encourage à se mettre à la photographie et décroche un contrat dans le magazine quelques années plus tard après un apprentissage avec Cecil Beaton. Comme elle n’aimait pas tellement le studio, ses photos de mode sont très souvent prises en extérieur ce qui est assez rare pour l’époque, n’hésitant pas à innover dans ce domaine avec des techniques et des scènes assez spectaculaires. Les modèles sont souvent présentés sur ses images comme des femmes actives ou sportives.
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