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Qui est riche et qui est pauvre en France ?

Qui est riche et qui est pauvre en France ?
7 avril 2014 - L’Observatoire des inégalités publie les seuils de pauvreté, de richesse et le niveau de vie des classes moyennes pour les principaux types de ménages. Des données essentielles. Qui est pauvre, moyen ou riche selon le type de ménage ? Délimiter des frontières de niveaux de vie est une construction statistique. L’exercice est pourtant essentiel si l’on veut comprendre la société. Encore faut-il prendre quelques précautions. Qui est pauvre ? Une personne seule est considérée comme pauvre si elle vit avec moins de 729 euros par mois. Qui appartient aux catégories populaires ? Si l’on définit les catégories populaires comme les 30 % du bas de l’échelle des revenus, elles perçoivent par mois au plus 1 183 euros pour une personne seule, 2 251 euros pour un couple sans enfant et 3 100 euros pour un couple avec deux enfants. Qui fait partie des classes moyennes ? Qui est aisé ? On qualifie d’« aisés » ceux qui se situent parmi les 20 % les plus riches. Et les riches ? En conclusion Related:  constats de l'écart de richessesEconomie

L’évolution des inégalités de revenus en France 10 février 2014 - La France a connu une réduction des inégalités de revenus au cours des quarante dernières années, mais depuis 15 ans la tendance s’est inversée. Les écarts de niveau de vie ont baissé si l’on se place sur une longue période. Cependant, elles repartent à la hausse depuis une quinzaine d’années. Principalement parce que les niveaux de vie des très riches se sont envolés mais aussi parce que ceux des plus pauvres ont diminué dans les années récentes. Le jugement que l’on peut porter sur les inégalités de revenus dépend de l’échelle de temps et de l’instrument de mesure que l’on utilise. L’évolution depuis 40 ans Comparaison entre les 10 % les plus pauvres et les 10 % les plus riches L’outil le plus souvent utilisé pour mesurer les inégalités de revenus est appelé « rapport interdécile ». Avec cet outil, et si l’on observe les choses depuis les années 1970, la diminution est nette : le rapport interdécile est passé de 4,6 à 3,6 en 2011. Les 10 dernières années Depuis 2008

L'austérité risque de créer des millions de chômeurs en Europe Il pourrait y avoir 4,5 millions de chômeurs de plus en quatre ans dans la zone euro si des politiques économiques favorisant la croissance et l'emploi ne sont pas engagées, avertit l'Organisation internationale du travail (OIT) dans une étude. Il y a actuellement 17,4 millions demandeurs d'emplois en Europe, soit un taux de chômage de 11%, souligne l'OIT, qui s'alarme particulièrement du chômage des jeunes qui est de 22% pour la zone, mais culmine à 30% en Italie, au Portugal et en Slovaquie et à 50% en Espagne et en Grèce. 44% des demandeurs d'emploi sont au chômage depuis plus d'un an. "S'il n'y a pas de changement de politique, tous et je dis bien tous les pays de la zone euro, seront touchés, à la fois ceux déjà en difficulté et ceux qui se portent le mieux", a lancé Juan Somavia, le directeur général de l'OIT en présentant l'étude aux journalistes.

Dessine-moi les inégalités Du même auteur L'axe vertical indique l'évolution du revenu réel entre 1988 et 2008 , il est exprimé en dollars internationaux de 2005 corrigés de l'inflation. Su l'axe horizontal, on peut lire les niveaux de revenus dans le monde, de sorte qu'au début, vers le zéro, on trouve ceux dans le monde qui gagnent le moins, et à l'extrême droite, ceux qui gagnent le plus. On a donc une distribution des revenus de la population indépendamment des pays où elle réside. A l'extrême droite de la courbe, on trouve les grands gagnants. Les autres gagnants, le gros dos de l'éléphant, sont les classes nombreuses des BRICS. Pour les perdants, ils se décomposent en deux populations. À l'extrême gauche de la courbe : les plus pauvres, les laissés pour compte de la globalisation.

Inegalites Michel Sapin : « Les grands équilibres ne seront pas modifiés » Le Monde.fr | • Mis à jour le | Propos recueillis par Patrick Roger et Caroline Monnot Le ministre des finances et des comptes publics, Michel Sapin, présentait en conseil des ministres, mercredi 23 avril, le programme de stabilité 2014-2017. Ce document fixe la trajectoire des finances publiques de la France pour les trois ans à venir. Pour ramener la réduction du déficit public à 3 % en 2015, comptez-vous sur une croissance supérieure à celle prévue ? Michel Sapin :La croissance, c'est ce qui nous manque. C'est le cœur de notre stratégie économique et du pacte de responsabilité et de solidarité. Pour 2016 et 2017, nous considérons, de manière crédible, que la croissance sur les deux années peut-être de 0,5 point supérieure à celle que nous prévoyions, soit en moyenne 2,25 au lieu de 2. Lire aussi : Croissance, déficit, dette... ce que prévoit le gouvernement Dès ma prise de fonction, j'ai eu des contacts avec nos partenaires européens et internationaux. Le cœur, c'est la majorité.

En Grande-Bretagne, cinq familles possèdent autant que 20% de la population Les inégalités se creusent au Royaume-Uni : les revenus des cinq familles les plus riches ont progressé quatre fois plus vite que ceux du reste de la population, selon un rapport d'Oxfam.Correspondant à Londres, Les cinq familles les plus riches du Royaume-Uni possèdent autant que les 12,6 millions de Britanniques les plus pauvres. Leur richesse cumulée, 28,2 milliards de livres (33,7 milliards d'euros) correspond au patrimoine des 20% de la population du pays au bas de l'échelle sociale, selon une étude de l'organisation caritative Oxfam publiée lundi. En tête du palmarès des fortunes britanniques établi par Forbes, le duc de Westminster, Gerald Grosvenor, possède autant (7,9 milliards de livres, soit 9,4 milliards d'euros) que les 10% de ses concitoyens les plus pauvres. Alors que l'économie britannique a redémarré à un rythme soutenu, les inégalités s'accroissent. Le gouvernement de David Cameron présente son budget ce mercredi.

Breathingearth - CO2, birth & death rates by country, simulated real-time Must See!: L'histoire économique récente résumée en un graphique Par Audrey Duperron sur Express.be L’élite mondiale des 1% et la classe moyenne chinoise ont été les grands gagnants de la mondialisation ; d’un autre côté, la classe moyenne occidentale a été sacrifiée. C’est ce qui ressort d’une étude de l’économiste Branco Milanovic, intitulée « Global Income Inequality by the Numbers: In History and Now – An Overview », portant sur la croissance des revenus de la population entre 1988 et 2008 (au début de la crise financière). Milanovic est économiste à la Banque mondiale et professeur d’économie à l’Université Johns Hopkins. Sur la base de son étude, il a dressé le graphique ci-dessus, qui a été commenté par James Plunkett, un analyste du think-tank Résolution Fondation, qui a recommandé l’élite mondiale réunie actuellement au Forum Economique Mondial de Davos d’en prendre connaissance. Les déclins relatifs de l’Afrique, des pays de l’ex-URSS et des autres pays de l’Europe de l’Est montrent que ces pays n’ont pas su s’ajuster à la mondialisation.

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