Comment vivre sans argent : le témoignage de Pavlik Elf Pavlik Elf était développeur web pour le secteur du luxe, avec ses vacances en yacht, ses jets privés, ses clubs. En rupture avec son entreprise, il se fait licencier et décide de quitter le système monétaire. Vêtements, transports, nourriture : il récupère, profite de la solidarité des amis, expérimente d’autres modes de fonctionnement. Et retrouve la liberté qu’il n’avait plus, notamment en matière de travail. Son sac à dos, c’est comme sa maison. Comme il vit à la fois partout et nulle part, à l’intérieur se trouve toute sa vie... Tout bascule il y a cinq ans environ. Toutes ces choses auxquelles il assiste chaque jour, le mettent profondément mal à l’aise... Et c’est le début de son aventure sans argent. Pour en savoir plus : le site de SideWays. Pour voir la suite du reportage (photos, interviews, vidéos).
Ils ont choisi de vivre sans argent Réagissez : Partagez : Instrument d’aliénation pour les uns, clé du bonheur pour les autres, l’argent régit nos vies quelle que soit notre relation avec lui. C’est avec lui qu’on peut se loger, se nourrir, s’adonner à nos activités, élever nos enfants. Pour ne pas donner raison à notre société de consommation en masse, certains optent pour la sobriété volontaire. Heidemarie Schwermer, une Allemande d’une soixantaine d’années a décidé il y a 15 ans de « tout plaquer ». Le déclic, Heidemarie l’a eut un peu plus de 20 ans en arrière lorsqu’elle a divorcé. Mais dans cette ville importante de l’ouest de l’Allemagne, elle a été frappée par le nombre de sans-abri. Heidemarie s’est aperçue que finalement, ce n’étaient pas les déshérités, ceux qui vivaient dans la rue, qui franchissaient la porte de sa boutique. Ai-je vraiment besoin de toutes mes possessions ? > suite : l’histoire d’Heidemarie, à voir et à lire
A fond pour vivre sans un rond : cinq exemples à suivre Image: zooboing Alors que le concept de revenu universel ou "de base" fait progressivement des émules, certain(e)s décident d'aller encore plus loin et de vivre volontairement sans argent. Pourquoi ? Comment ? Réponses avec cinq parcours de vie en France comme à l'étranger. Heidemarie Schwermer, vit sans argent depuis 17 ans C'est en 1996 que cette ancienne institutrice allemande âgée aujourd'hui de 71 ans décide de se passer d'argent. Pour elle, l’argent éloigne de l’essentiel: se débarrasser du superflu permet un mode de vie plus sain et heureux. Vivre sans argent, c’est possible par Gentside Daniel Suelo, vit sans argent depuis près de 14 ans Couverture du livre de Mark Sundeen qui retrace la vie de Daniel Suelo L'américain Daniel Shellabarger vit sans argent depuis septembre 2000. Il vit de cueillette, de glanage, de dons et ne propose rien en retour. Reportage pour la BBC The American Who Quit Money To Live In A Cave from David Eckenrode on Vimeo. Anne-Sophie Novel / @SoAnn sur twitter
La tendance des villes autosuffisantes | Les incroyables à la Une Enquête sur un véritable phénomène de société : "La tendance des villes autosuffisantes" par le site du développement durable et de la nouvelle consommation consoGloble. Dernièrement, on note une envie croissante de la population à consommer local, à privilégier les circuits courts et à s’approvisionner en réduisant les distances. Dans son sillage, émerge une volonté – utopique ? – de développer des villes autosuffisantes. Alors, est-il vraiment possible pour une ville d’être auto-suffisante, voire en autarcie ? L’autosuffisance, c’est quoi ? La ville de Todmorden a pour objectif depuis 2008 de parvenir à l’autonomie alimentaire d’ici à 2018. Le terme revêt plusieurs aspects qu’il paraît important de détailler. Elle distingue les grandes approches économiques du point de vue de la dépendance – indépendance vis à vis des ressources vitales ou jugées stratégiques pour les individus ou la collectivité. Autosuffisance énergétique Autosuffisance alimentaire Autosuffisance financière Like this:
En Suisse, des stickers sur la boite aux lettres indiquent les objets que l’on veut bien prêter « Nous sommes partis du constat qu’il y a souvent en ville une certaine gêne à oser sonner chez ses voisins lorsqu’on requiert leur aide, » explique Sabine Hirsig. Elle est l’une des quatre jeunes créateurs à l’origine du projet Pumpipumpe (à prononcer « poumpipoumpé ») né à Berne en Suisse. Le principe est simple : cette initiative invite à coller sur sa boîte aux lettres des stickers indiquant les objets que l’on veut bien à prêter à ses voisins. Cela peut être des outils de bricolage (une perceuse, une scie…) ou de jardinage (une tondeuse à gazon..), des ustensiles de cuisine, des livres, un accès WiFi, etc. Un sticker existe pour chaque objet. Ces autocollants se commandent gratuitement depuis la Suisse et l’Allemagne via le site web www.pumpipumpe.ch. Le nom du projet Pumpipumpe vient du dialecte alémanique et peut se traduire par « prête moi ta pompe à vélo ». Pour en savoir plus : Springwise
Dégustation de BonSens, Incredible Edible #StopGaspillage #DBS Dégustation de BonSens, Incredible Edible #StopGaspillage #OccupyBelgium et les mouvements Indignés du monde entier appellent à la RESISTANCE. Nous vous invitons à rejoindre nos actions pour la Liberté, l'Égalité, la Paix, la Justice et la Réelle Démocratie à travers le monde.
Quand les magasins gratuits font commerce du don La crise économique et la prise de conscience sur la nécessité du recyclage et de la réduction des déchets ont favorisé le développement d’un nouveau système économique : celui du don. Face à ce constat, de nombreux magasins gratuits s’engouffrent dans la brèche et font commerce de vos dons. Enquête sur le phénomène. Des magasins qui font commerce de ce que vous leur donnez Les magasins gratuits, qui font commerce de vos dons, ne sont pas nouveaux mais sont en pleine renaissance. Cependant, ils connaissent un développement et une croissance continue. Mais face aux traditionnels « piliers », de nouveaux acteurs font leur apparition. Les magasins gratuits, comment ça marche ? L’idée est simple : venez et servez-vous! Oxfam France, des dons pour un monde plus juste (link is external)Oxfam est une ONG qui mobilise le pouvoir citoyen contre la pauvreté. ConsoGlobe – Vous faites commerce du don d’objets que vous font les gens : que vous rapporte ce nouveau genre de « commerce » ?
Manger 100% bio avec 10€ par jour, c'est possible nature morte bio (Photo JH) Par jeu, nous avons tenté l’expérience pendant une semaine, histoire de voir si l’on trouve à Strasbourg tout ce qu’il faut pour se nourrir exclusivement avec des produits issus de l’agriculture biologique labellisés AB, Demeter ou UE . Et pour corser le tout, avec le budget alimentation moyen du tiers des ménages français les plus modestes : soit environ 10€ par jour. 10 euros par jour pour manger à deux un petit déjeuner et deux repas, ça ne fait pas lourd même en se nourrissant de produits dits conventionnels. Alors en bio… Autant dire tout suite que ça exclut le resto et les plats cuisinés. Il faut retrouver les joies de l’épluche-légumes et de la cuiller en bois. Des courses un peu plus longues Avec un budget aussi ric-rac il fallait faire du shopping malin et tenter de trouver les produits les moins chers. On s’est approvisionnés dans 14 points de ventes différents. Autant dire qu’on s’est beaucoup baladé (à vélo). Quelques exemples de prix relevés
Espace de Gratuité 7 conseils pratiques pour ceux qui veulent (vraiment) changer le monde Il est toujours délicat (et souvent très prétentieux) de donner des conseils dans un domaine où l’on a pas soi-même fait ses preuves. C’est pour cette raison que le titre de ce billet doit être pris comme une plaisanterie. Pourtant, mon propos est sérieux car en tant qu’observateur attentif du monde associatif, il m’est donné de voir naître de nombreuses initiatives et projets dont l’objectif n’est rien de moins que de « changer le monde« . Qu’il s’agisse de réveiller les consciences, de les appeler au grand soir, ou de proposer concrètement d’autres manières de se nourrir, se soigner, habiter, apprendre, travailler et produire et que sais-je encore, des milliers d’associations fleurissent chaque année pour porter un projet d’organisation alternative, leurs inventeurs revendiquant pour la plupart un changement de paradigme. Interrogez d’abord votre ego Le sage a dit :Changer le monde, ce n’est pas en devenir le maître. – Le sage C’est peu probable et çà n’est pas souhaitable.
Peut-on vivre sans argent? Cet homme l'a fait INSOLITE - "Je suis sur le point de pénétrer un monde qui m'est quasiment étranger et, pour la première fois, je me sens vulnérable". Et il y a de quoi. Car le monde que l'idéaliste Mark Boyle s'apprête à découvrir ne connait pas l'argent. Hasard du calendrier, quelques jours plus tôt sortait un autre récit d'expérience tout aussi radicale. Lire aussi:» Psychologie : comment l'argent influence notre comportement » L'argent qui corrompt : comment la pression des marchés dégrade la morale Cette expérience, il la raconte depuis 14 ans sur son blog qu'il alimente depuis une bibliothèque municipale. Et c'est tout ce qui le différencie de Mark Boyle. Le moyen de cette déconnexion? Débrouille Le projet est donc autant économique que social. Grâce à un site de partage, il dégote gratuitement une caravane. L’ameublement continue. Coût total de sa nouvelle maison : 265 livres, soit 320 euros environ. "Au bout de quelques jours, je réalisai que le temps était mon bien le plus précieux"
Des paysans créent leur propre supermarché Une douzaine de paysans a ouvert en août un point de vente collectif près de Lille, Talents de ferme. Pour vendre leurs produits, bien sûr, mais aussi pour s’opposer aux dérives marketing d’un avatar commercial local détournant la notion de circuits courts. Tout commence l’été 2009, lorsque des échos annoncent l’implantation d’une deuxième enseigne de grande distribution, La Ferme du Sart, devenue O’Tera (cf.encadré), à Wambrechies (10 000 habitants, à sept kilomètres au nord de Lille). Cinq exploitations de la commune ayant développé avec succès des circuits courts de vente de leurs produits (magasin à la ferme, marchés fermiers, entre autres) se regroupent et font part de leurs craintes au maire de la commune, Daniel Janssens (divers droite). Des produits fermiers vendus par les fermiers Un projet ambitieux Le chemin est long et semé d’obstacles, comme tout projet ambitieux. - Les producteurs de Talents de Fermes - Note
Hotspot: Geef Café (Rotterdam) | De Groene Meisjes Afgelopen zaterdag zijn wij op een wel heel bijzondere plek in Rotterdam geweest. Het Geef Café is een pop-up eetcafé waar je zelf mag betalen hoeveel je wilt betalen voor de drankjes en het eten. Hoe awesome is dat? Hoe het precies werkt, hoe het eetcafé eruit ziet en wat je er kan eten lees je in dit artikel. Het “pay as you can” principe komt uit Amerika. We vonden trouwens ook dat het restaurant er geweldig uit zag. Overigens, iedereen is welkom bij het Geef Café. wortelsoep met crostini’s bagel met humus bananenbrood Naast dat het hele geef-principe ons aanspreekt, vinden wij het ook geweldig om te horen dat het Geef Café zich inzet voor gezonde voeding voor iedereen. In het café worden ook streekproducten verkocht. Het Geef Café is een pop-up restaurant. Het Geef Café Sumatraweg 20, Rotterdam Katendrechtwebsite Geef Café Openingstijden
À Berlin, des frigos en libre service pour lutter contre le gaspillage Une association berlinoise récolte les invendus des magasins et les entrepose dans des frigos en libre-service. Le gaspillage alimentaire reste un fléau de notre société occidentale. À Berlin, et plus particulièrement ici à Kreuzberg, les frigos du cœur connaissent un franc succès (Crédits image : Le Matin/DR) Dix millions de tonnes. C’est la masse que représente en France le gaspillage alimentaire, particuliers et distributeurs compris. Outre-Rhin, pour lutter à sa manière contre ce gigantesque gâchis, l’association Lebensmittelretter (“les sauveurs de nourriture”), a mis en place un réseau de frigos urbains à Berlin afin de récupérer des aliments et de les proposer en accès libre. Comment ça marche ? “On ne sait jamais ce qu’on y trouvera” Selon Lisa Fialik, bénévole interviewée par le Tagesspiegel, cette initiative séduit de nombreux citoyens, et même au-delà : “Les appareils sont remplis jusqu’à trois fois par jour par des Berlinois de tous âges, et même par des touristes.”