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Le transhumanisme, un état contre nature : Tour d’horizon des pensées du transhumanisme (1/2) sur Theoria

Le transhumanisme, un état contre nature : Tour d’horizon des pensées du transhumanisme (1/2) sur Theoria
« Parlerons-nous un jour des hommes comme d’une espèce disparue ? »[1] Les robots prendront-ils le pas sur les humains ? Les technologies qui servent à donner aux robots des capacités mémorielles supérieures à celles des humains auront-elles pour conséquence d’assujettir l’homme ? Si l’homme incorpore des nanotechnologies, contribue-t-il à sa propre destruction ? Dans ce tour d’horizon des pensées du transhumanisme, nous verrons que les penseurs se sont confrontés à des questions majeures, à commencer par la définition du posthumain et du transhumain. Qu’est-ce qu’un transhumain ? « Transhumain » est un terme plus compliqué qu’il n’y paraît. Le préfixe « post- » du posthumain implique une dimension temporelle qui place le posthumain après l’humain. Le posthumain est un fantasme inconscient de l’homme qui se traduit dans des formes d’anticipations artistiques. L’enfant-androïde de I. Mais pour qui l’homme se prend-il ? troisième article de cette série. Related:  `test 1014`test 1014

La Marine américaine s’arme du premier canon laser La Marine des Etats-Unis a annoncé qu’elle installerait pour la première fois une arme laser, le Laser Weapon System (LaWS), sur un de ses navires de guerre afin d’exploser la flotte aérienne et les bateaux de ses ennemis, rapporte le journal espagnol Publico.es. « Le futur est là », a déclaré un responsable de l’ONR, l’Office de recherche navale. Selon ce dernier, le laser est un grand pas en avant qui va transformer la guerre moderne par le fait qu’il fonctionne avec de l’électricité et qu’il peut tirer avec une énergie dirigée, comme à l’époque de la poudre à canon et des couteaux et épées. Grâce à ce canon laser, la Marine américaine pourra neutraliser les petits vaisseaux ennemis mais aussi abattre les drones de surveillance. Ce système devrait voir le jour en 2014, en octobre précisément, à bord de l’USS Ponce, un navire amphibie, a expliqué l’amiral Matthew Klunder de l’ONR.

Le transhumanisme n'est pas un humanisme FIGAROVOX/TRIBUNE - A l'occasion du 1er colloque international sur le transhumanisme en France, Théophane le Méné s'interroge sur les dérives de la volonté humaine de toute-puissance. Théophane Le Méné est journaliste. Il écrit pour Causeur et FigaroVox. C'est aujourd'hui que s'ouvre 1er colloque international sur le transhumanisme en France, sous la houlette de l'Association Française Transhumaniste. La course à la technologie est désormais lancée au point que l'intelligence artificielle est largement préférée à l'intelligence humaine. Ici un homme bionique exposé au Science Museum de Londres et réalisé avec des prothèses et des organes de synthèse, là un Kevin Warwick qui s'est implanté lui-même des puces électroniques pour pouvoir communiquer avec des ordinateurs et des machines en utilisant son système nerveux. Ce qui fait rêver les uns fait redouter les autres.

Stephen Hawking: 'Transcendence looks at the implications of artificial intelligence - but are we taking AI seriously enough?' - Science - News Artificial-intelligence (AI) research is now progressing rapidly. Recent landmarks such as self-driving cars, a computer winning at Jeopardy! and the digital personal assistants Siri, Google Now and Cortana are merely symptoms of an IT arms race fuelled by unprecedented investments and building on an increasingly mature theoretical foundation. The potential benefits are huge; everything that civilisation has to offer is a product of human intelligence; we cannot predict what we might achieve when this intelligence is magnified by the tools that AI may provide, but the eradication of war, disease, and poverty would be high on anyone's list. Loading gallery In pictures: Landmarks in AI development 1 of 4 Unfortunately, it might also be the last, unless we learn how to avoid the risks. One can imagine such technology outsmarting financial markets, out-inventing human researchers, out-manipulating human leaders, and developing weapons we cannot even understand.

Lawrence Lessig on the increasing regulation of cyberspace | Harvard Magazine Jan-Feb 2000 Every age has its potential regulator, its threat to liberty. Our founders feared a newly empowered federal government; the Constitution is written against that fear. John Stuart Mill worried about the regulation by social norms in nineteenth-century England; his book On Liberty is written against that regulation. Many of the progressives in the twentieth century worried about the injustices of the market. The reforms of the market, and the safety nets that surround it, were erected in response. Ours is the age of cyberspace. This regulator is code—the software and hardware that make cyberspace as it is. This regulation is changing. My aim in this short essay is to give a sense of this regulation, and a sense of how it is changing. The basic code of the Internet implements a set of protocols called TCP/IP. These features of TCP/IP have consequences for the "regulability" of behavior on the Internet. In some contexts, for some, this unregulability is a virtue. So what can be done?

Le transhumanisme, un état contre nature : tour d’horizon des pensées du transhumanisme (2/2) sur Theoria Nous avons vu la semaine dernière que le transhumanisme bouleversait notre rapport à l’homme et réanimait les éternelles questions sur son orgueil. La première partie de notre réflexion sur les pensées du transhumanisme s’est articulée autour de deux rubriques : « Qu’est-ce qu’un transhumain ? » et « Mais pour qui l’homme se prend-il ? Les partisans d’une humanité naturelle ne considèrent pas comme des arguments valables ceux qui font du transhumanisme le résultat d’une évolution naturelle de l’espèce ou qui lui reconnaissent d’appartenir au vaste ensemble des créations humaines. Selon Isabelle Stengers, l’homme contemporain est lourd d’une « fatigue d’être soi »[1], il a ce que Günther Anders appelle le « décalage prométhéen » qui sépare l’homme de ses produits, qui le transforme en un ensemble de fragments disparates, coopérants mais désunis. Le transhumanisme est d’abord et surtout perçu comme une façon de dynamiser le vivant. Le « dividu » de Günther Anders [5] Ibidem, p. 138

Ray Kurzweil, l'ingénieur Google qui veut faire reculer la mort Cyber En 2012, le géant californien Google a engagé comme ingénieur en chef Ray Kurzweil, cerveau en matière d’intelligence artificielle. Connu comme promoteur du transhumanisme, il est le pape de la "singularité". Sa thèse : "dès 2045 l’intelligence artificielle dépassera celle de l’humain". Son rêve : faire reculer la mort, et notamment, améliorer le cerveau humain grâce aux implants et aux ordinateurs, et même le rendre immortel en "versant" (uploader) l’intelligence humaine, le contenu d’un cerveau, dans un ordinateur. "La base scientifique n’est pas avérée. Université de la Singularité Quoi qu’il en soit, Google parraine l’Université de la Singularité, que dirige Kurzweil et qui travaille sur les NBIC, technologies chères aux transhumanistes. "Google est un attracteur pour les scientifiques transhumanistes brillants, juge le Dr Alexandre.

Pause Google: 8 Alternative Search Engines To Find What Google Can't On the information superhighway, we are at the helm of piloting a browser through the lanes and alleys of the web. To be a good driver, you need to be a master at the wheel. Would it be an apt metaphor to describe Google Search as that wheel which steers us from one lode of information to the next? With the power of advanced search operators at our command, we can navigate the strands of the web with a bit of Boolean logic. We probably know all the Google search tricks, but there are still things that Google can’t tell us at first glance. Google’s a Hercules, but we shouldn’t be shortsighted not to spot the midgets. Yes, if you really want to go into those little hidden lanes of the web you need to keep a roster of alternative search engines close by. Attrakt Curate your favorite links and search through them. Attrakt works on two levels – it helps you search the web and collect your favorite links in one centralized location. CompletePlanet A search engine for the Deep Web. Quixey Shodan

Le transhumanisme: ce qui est possible n’est pas toujours souhaitable | Humanités numériques Sommaire Qu’est que le transhumanisme ? Passage de l’homme au posthumain. État de l’art : aujourd’hui ou en est on ? Qui sont les acteurs du transhumanisme? Innovation très controversée : extrait des arguments des partis Qu’est ce que le transhumanisme ? Dans cette partie je m’attacherais à définir la notion de transhumanisme pour pouvoir ensuite m’intéresser aux problématiques liées à l’intégration du numérique dans le corps humain. « Le transhumanisme est une classe de philosophies ayant pour but de nous guider vers une condition posthumaine. Les transhumanistes s’engagent dans des approches interdisciplinaires pour comprendre et évaluer les possibilités de dépasser les limitations biologiques. Il existe plusieurs sous catégories de courant de pensées dans le transhumanisme. (Schéma de Marc Roux, président de l’association française de transhumanisme, Passage de l’homme au post humain. Sources:

Homo technicus: un futur hallucinant! Les convergences entre le monde biologique et technologique vont rendre possible un nouvel âge, celui de l'hybride homo technicus. Après le débat sur la mort médicalement assistée, se profile celui de la vie "médicalement" augmentée. Jusque-là, la recherche biomédicale a été aisément justifiée par une finalité de traitement, dans le sens d'une amélioration ou d'une normalisation. En neurologie par exemple, la technologie permet d'améliorer les symptômes de la maladie de Parkinson par des impulsions électriques intracérébrales, de retrouver l'audition au travers d'implants cochléaires - une neuro-prothèse - reliés au cerveau, ou de traiter des dépressions graves par des ondes magnétiques trans-crâniennes. Les prouesses de la recherche fondamentale Dans les laboratoires, la recherche fondamentale fait encore plus de prouesses. Mais la réelle révolution est l'algorithme auto-apprenant, et les ordinateurs neuromorphiques, donnant «naissance» à une vraie intelligence artificielle.

Comment Bruxelles se prépare à enterrer la neutralité du Web Décidément, l’année 2013 n’aura pas été faste pour l’Internet tel qu’il avait été pensé par ses géniteurs : libre, anonyme et égalitaire. Le quotidien économique allemand Handelsblatt affirme être en possession d’un document prouvant la volonté de la Commission Européenne d’enterrer la neutralité du Web. La proposition, téléguidée par la commissaire européenne chargée de la société numérique, Neelie Kroes, vise à laisser libres les opérateurs Télécom de décider de la bande passante qu’ils désirent allouer aux sites internet. Jérémie Zimmerman, cofondateur de l’organisation de défense des droits etlibertés des internautes La Quadrature du Net, réagit vivement : « C’est un habillage très subtil, qui n’en détruit pas moins la neutralité du Net. Un principe indissociable de l’Internet Le Conseil de l’Europe l’avait définie ainsi en septembre 2010 : Vers un Internet à deux vitesses La neutralité est confrontée à un obstacle inattendu : la Toile est saturée – on parle de « congestion du réseau ».

Le Label France Cybersecurity - Accueil 2045 Avatar – 32 ans pour devenir immortel On dirait que l'idée folle de Ken Hayworth qui souhaite transférer son cerveau dans un ordinateur pour devenir immortel, a fait son chemin. Dmitry Itskov est un milliardaire russe de 32 ans qui a lancé le projet "2045" dont l'objectif consiste a transférer son esprit dans un corps holographique. Comme son nom l'indique, la date finale qu'il vise pour la réalisation de ce projet est 2045. En hommage au film de James Cameron, Dmitry a d'ailleurs choisi d'appeler les réceptacles du cerveau humain, les avatars. Est-il excentrique ? Durant les 32 ans qui reste, Dmitry a déjà tout prévu sur sa roadmap : 2020 : Un avatar (robot) copie conforme du corps humain sera pilotable via une interface neuronale directe.2025 : Un avatar dans lequel sera transféré un cerveau humain2035 : Un avatar avec un cerveau artificiel dans lequel sera placé une conscience humaine.2045 : Un avatar holographique Honnêtement, je suis mitigé... Le vrai challenge, c'est le transfert de conscience. Source

ITU et CMTI-12 : les nouveaux sigles de la censure d'internet Lors de la Conférence mondiale des télécommunications internationales qui débute aujourd’hui à Dubaï, l’ITU (International Telecommunication Union), organisme dépendant de l’ONU, va tenter de faire valider une extension de son domaine de compétences pour imposer des obligations sur le fonctionnement d’Internet et sa réglementation.Par Aster. Il est difficile de passer quelques mois à peu près informé sans voir un nouveau sigle imprononçable venir agir de manière innommable contre Internet. Mise en bouche Posons les choses simplement. Bien sûr, officiellement, seuls quelques pays affichent une position ouverte de censure, les pays occidentaux remercient les terroristes et les pédophiles. ITU et CMTI-12 ! Passons donc à notre sigle du jour : ITU. 2012, cette organisation se réunit à partir d’aujourd’hui à Dubaï pour une conférence CMTI-12 (12 étant le millésime). Internet n’a pas besoin d’une autorité centrale, il a été conçu pour cela Un peu de contenu concret —-Sur le web.

Le jour où Deep Blue a humilié Garry Kasparov aux échecs 11 mai 1997 : un monde s'écroule, un roi s'agenouille. Pour la première fois, un champion du monde d'échecs est défait par une machine. A New York (Etats-Unis), Garry Kasparov n'a pas vu venir son adversaire, Deep Blue, un ordinateur conçu par la société américaine IBM. Si le Russe a pour lui six titres de champion du monde, il ne possède pas la mémoire phénoménale de son concurrent : l'ordinateur a absorbé des centaines de milliers de parties jouées par les plus grands maîtres de l'histoire… dont Kasparov lui-même ! Article sur la première rencontre au sommet entre Deep Blue et Kasparov, en 1996. Un an plus tard, celui que l'on surnommait «Deeper Blue» espérait prendre sa revanche grâce à une vitesse de calcul multipliée par deux. Un adversaire surestimé Paradoxalement, ce ne sont pas les forces de l'ordinateur qui ont acculé Kasparov à la défaite, mais ses faiblesses. La seconde partie est fatale au Russe. VIDEO. 11 mars 1997 : Kasparov perd à l'issue de la sixième partie

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