Quel est l'intérêt des hormones bio-identiques Souvent perçues comme "naturelles" (par opposition aux hormones de synthèse), les hormones bio-identiques ont plutôt la cote. Sont-elles si "naturelles" ? Et sont-elles vraiment plus intéressantes que les hormones non bio-identiques ? Qu'est-ce qu'une hormone bio-identique ? Une hormone bio-identique est une hormone qui a la même structure que celle de l’hormone correspondante, produite par le corps humain. celles d’origine animale, comme par exemple les extraits thyroïdiens d’origine porcine, de bœuf ou de mouton,et celles synthétisées en laboratoire par l’industrie pharmaceutique. Les hormones bio-identiques industrielles sont souvent formées à partir de précurseurs trouvés dans des plantes. Les hormones non bio-identiques Une hormone non bio-identique a une structure qui diffère de celle de l’hormone humaine correspondante. Les différences entre ces deux types d'hormones
Sorcellerie La sorcellerie désigne à proprement parler l'art d'interroger le sort (hasard, destin)[2], et par extension d'en modifier le cours. La sorcellerie est un terme controversé et son histoire est complexe. Selon le contexte et le milieu culturel dans lequel ce mot est employé, il désigne des idées différentes, voire opposées. Ce terme est également employé de façon péjorative en référence à la pratique de la magie. Pour les religions monothéistes (principalement le judaïsme, le christianisme et l'islam), la sorcellerie fut souvent condamnée et considérée comme une hérésie. Étymologie[modifier | modifier le code] Les noms donnés à ces hommes et femmes pratiquant la magie sont légion dans l'Antiquité romaine. « Ceux qui connaissent les grands secrets du monde sont les divini, magi, harioli. La sorcellerie désigne tout ce qui est considéré comme surnaturel sans appartenir à la religion officielle ou tout ce qui est relatif au mal dans ces mêmes religions. France[modifier | modifier le code]
Le régime paléolithique : paléo, alimentation & nutrition Comment ça marche ? En 1985, le Dr S. Boyd Eaton (université Emory, Atlanta, Géorgie), anthropologue médical, publie un article dans lequel il émet l’hypothèse que l’alimentation idéale pour la ligne et pour la santé serait celle de nos ancêtres du Paléolithique. « La fréquence des mutations spontanées de l'ADN du noyau cellulaire est de l'ordre de 0,5 % par million d'années, plaide-t-il. Nos gènes sont donc très proches de ceux de nos ancêtres du Paléolithique, il y a 40 000 ans. Ce régime ne sort donc pas de l’imagination d’un médecin plus ou moins spécialisé en nutrition… il est au contraire le fruit de recherches scientifiques plurielles mêlant paléontologie humaine et nutrition. Les différences avec l'alimentation moderne Selon les modélisations faites par les chercheurs, le régime de nos ancêtres différait sensiblement de notre mode alimentaire moderne : Plus de protéines. Autant de graisses, mais différentes. Moins de glucides. Les principes En résumé Qu’en dit la recherche ?
Fée Peinture d'inspiration préraphaélite représentant une fée. Take the Fair Face of Woman, and Gently Suspending, With Butterflies, Flowers, and Jewels Attending, huile sur toile, Sophie Anderson (1823–1903), collection privée, Londres. Issues des croyances populaires et de mythologies anciennes, de la littérature inspirée du folklore et des contes celtiques ainsi que d'anciennes divinités, les fées sont une création de l'Occident médiéval. Elles jouent des rôles très variés. Dès le XIIe siècle, deux grandes figures féeriques se distinguent dans la littérature d'Europe de l'Ouest : la fée marraine et la fée amante. Le mot « fée » (prononcé [fe] écouter la prononciation française) provient du latin Fata, nom du genre féminin qu'il ne faut pas confondre avec le pluriel neutre de fatum, désignant une déesse de la destinée[1] (une Parque)[2] et de genre féminin. En français moderne, « fée » possède un genre grammatical féminin qui accentue la caractéristique sexuée féminine.
L éditrice : le blog | art contemporain accessible & autres sujets culturels C’est connu pendant les vacances d’été, on va à la plage. Mais s’il y a trop de monde – et il y a trop de monde – vous trouverez de belles expositions à voir. Après Lambesc et St-Raphaël, où vous pourrez découvrir le travail de Nathalie Menant, nous continuons notre périple provençal avec deux expositions consacrées au nu, à Cannes et au Cannet, histoire de prolonger notre réflexion sur le corps entamé avec « Mues« . La suite bientôt avec l’exposition de la Fondation Maeght à Saint-Paul de Vence… L’installation « Mues » de Nathalie Menant dont nous avons déjà parlé lors de son exposition au parc floral de Paris est présentée cet été à Lambesc (Bouches-du-Rhône) et à Saint-Raphael (Var) au . Nous avons déjà parlé ici d’ êtrecontemporain? Après DécoDesign, L’homme au masculin, J’aime les Startups et Voldemag, c’est au tour du magazine de décoration Maisons de Style de parler de L’éditrice dans ses colonnes ! A vos kiosques !
Troll Troll méditant sur son âge, Theodor Kittelsen, 1911. Bibliothèque nationale de Norvège. Un troll est un être de la mythologie nordique, incarnant les forces naturelles ou la magie, caractérisé principalement par son opposition aux hommes et aux dieux. Ce troll est souvent assimilé aux Jötunns, les « Géants » de cette mythologie. À partir du Moyen Âge, le troll apparait comme une créature surnaturelle des légendes et croyances scandinaves. Peu amical ou dangereux pour l'homme, le troll reste lié aux milieux naturels hostiles comme les mers, les montagnes et les forêts. À l'époque contemporaine, le troll demeure un personnage de fiction pour les œuvres littéraires et la culture populaire ; il est souvent représenté sous l'archétype moderne d'un géant de grande force, naïf ou malfaisant. Étymologie[modifier | modifier le code] Répartition des langues vers l'an 900. Scandinave occidental (norrois) Scandinave oriental[2] Mythologie nordique[modifier | modifier le code]
Andrea Fraser, la performance critique à l’œuvre – JEUNES CRITIQUES D'ART Un article ne suffirait pas à retranscrire fidèlement l’étendue conceptuelle de l’Œuvre d’Andrea Fraser, tant celle-ci est riche, complexe et référencée. Née en 1965, elle s’inscrit dans la deuxième vague de la critique institutionnelle des années 1990-2000, reprenant le flambeau de ses initiateurs tels Hans Haacke, Daniel Burren ou Michael Archer. Dévorant notamment les écrits de Kant, Freud, Marx, et tout particulièrement Bourdieu, son travail met en exergue les mécanismes et enjeux économiques et sociaux opérant dans le monde de l’art. Comme arme-médium, Andrea Fraser opte pour la performance. Andrea Fraser dénonce la violente exclusion sociale pratiquée par le monde de l’art. Son engagement s’attaque également à l’économie mercantile de l’art contemporain. A la fois son maitre à penser et sa source d’inspiration, elle finit par rencontrer Pierre Bourdieu en 1995, trois ans après lui avoir envoyé un courrier contenant une vidéo de May I Help You ? Pauline Schweitzer May I Help You ?
Elfe Un elfe est une créature légendaire anthropomorphe dont l'apparence, le rôle et la symbolique peuvent être très divers. À l'origine, il s'agissait d'êtres de la mythologie nordique, dont le souvenir dure toujours dans le folklore scandinave. Les elfes étaient originellement des divinités mineures de la nature et de la fertilité. On les retrouve dans la mythologie celtique, puisque quelques textes irlandais et écossais les évoquent. Étymologie et terminologie[modifier | modifier le code] La description la plus ancienne des elfes provient de la mythologie nordique. islandais : álfur (pluriel álfar), álfafólk (« peuple des elfes »)danois : elver, elverfolk, parfois ellefolk ou alf (pluriel alfer)norvégien : alv (pluriel alver), alvefolksuédois : alv (pluriel alver), au féminin älva (pluriel älvor)scots : elfen L'ancien mot scandinave álfar dériverait d'une racine proto-indo-européenne, albh, signifiant « blanc », qui se retrouve par exemple dans le latin albus « blanc »[1]. L’œuvre de J.
Wonder/Liebert Lutin Un lutin au chapeau rouge typique, réalisation par Godo, octobre 2011, technique mixte crayon et tablette graphique. Étymologie et terminologie[modifier | modifier le code] Le mot « lutin » (prononcé [ly.tɛ̃] écouter la prononciation française), tout comme ses nombreuses variantes dans l’aire francophone, relève d’une origine qui suscite encore la controverse parmi les philologues[1]. Attestations[modifier | modifier le code] Les premières attestations du mot remontent au XIe siècle, notamment « nuitum » dans un laaz de Rachi, rabbin champenois, qui l'emploie dans son commentaire sur le Talmud[3]. Émile Littré décrit le luitin, ou lutin, comme une « espèce de démon de nature plutôt malicieuse que méchante qui vient tourmenter les hommes », précisant que luiton[Note 1] et nuiton, issus du vieux français, seraient employés jusqu'au XVIIe siècle[11]. Théories[modifier | modifier le code] Terminologie et champ sémantique[modifier | modifier le code] Description[modifier | modifier le code]
Ateliers Wonder/Liebert : "Pepax" artist-run space - Manifesto XXI Alors que nous avions parlé de la fermeture du Wonder et de L’Amour et appelé au soutien des espaces alternatifs de création, voici du nouveau : les ateliers Wonder/Liebert. Depuis deux mois, un groupe issu du Wonder construit ces ateliers dans un ancien bâtiment de bureaux à Bagnolet. Le lieu regroupera des espaces de vie, d’échange, de création et de diffusion, comme tous les lieux alternatifs et autres squats d’artistes ; il accueillera une trentaine d’artistes et une résidence internationale. Ils sont dix à gérer le projet : Francois Dufeil, Grolou, Nelson Pernisco, SAEIO, Basile Peyrade, Thomas Teurlai, Jérôme Clément-Wilz, Pierre Gaignard, Jacques… (et leur ami pepax-man ?) L’ouverture ? Je ne m’en fais pas trop pour le moment quant à la récupération, nous avons une longueur d’avance sur la liberté. Manifesto XXI – Comment définissez-vous ce nouvel espace ? Comment vous organisez-vous ? Jérôme : Le fonctionnement est plus carré qu’à l’ancien Wonder. (rires) Nelson : Ça craint !
Befana Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Befana sous trois formes, munie de son balai. La Befana est une figure typique du folklore italien. Son nom vient de la déformation d’Épiphanie, en italien Befana - Epifania. Présentation[modifier | modifier le code] La Befana appartient aux figures folkloriques, pourvue de dons, liés à la fête de la Nativité. La Befana est souvent décrite comme une vieille femme volant sur son balai. Origine[modifier | modifier le code] La tradition fut récupérée par la religion catholique. Tradition[modifier | modifier le code] Dans certaines maisons, on lui laisse une mandarine ou une soupe de haricots (dans le genre de cette recette de minestrone di verdure) : les enfants espèrent bien sûr trouver des bonbons dans leur chaussette, et pas du charbon ! En Italie, pour l'Épiphanie, des biscuits surnommés « Befanini » sont confectionnés en l'honneur de Befana avec un zeste de citron, et, optionnellement, des brisures de chocolat ou des raisins secs.
Comment utiliser les boules de Geisha ? Pendant très longtemps, les boules de geisha (appelées aussi Smartballs ou beads) ont été considérées comme des produits incontournables des SexShop, des accessoires intimes uniquement destinés à la quête du plaisir. Cependant, les boules de Geisha, bien au delà de l’aspect « coquin », peuvent être utilisées dans le cadre de la rééducation périnéale où elles permettront aux muscles de retrouver de la force et tonicité. Sommaire : Comment choisir les boules de Geisha Comparatif des boules de geisha Pourquoi opter pour des boules de Geisha pour la rééducation pelvienne ? Comment insérer les boules de geisha ? Comment utiliser les boules de geisha ? Comment retirer les boules de geisha ? Pendant combien de temps porter les boules de geisha ? Comment choisir les boules de Geisha PérinéeShop vous propose dans sa rubrique intitulée « Boules de Geisha », un ensemble de smartballs. Il existe deux types de boules de geisha : avec un poids fixe ou des poids modulables Comparatif des boules de geisha