Les grands magasins nous ont arnaqués pendant des années: ils vont payer pour arrêter les poursuites Le montant total de la transaction atteint 174 millions d'euros. La sanction implique également plusieurs fournisseurs: Beiersdorf, Bolton, Belgium Retail Trading, Colgate - Palmolive, D.E HBC Belgium, GSK, Henkel, L'Oréal, Procter & Gamble, Reckitt Benckiser (Belgium) et Unilever. Les 18 entreprises ont reconnu l'infraction telle que mentionnée dans la décision et accepté la sanction qui leur est appliquée, selon l'auditorat de l'autorité belge de la Concurrence. Elles ont bénéficié à ce titre d'une réduction d'amende de 10%, ajoute-t-il. 31,6 millions d'amende pour Colruyt et 24,9 millions pour Delhaize Le groupe Carrefour a accepté de payer un montant de 36,4 millions d'euros, Colruyt de 31,6 millions d'euros, Procter & Gamble de 29 millions d'euros et Delhaize de près de 25 millions d'euros. L'auditorat avait ouvert une instruction et mené des perquisitions en avril 2007 chez Carrefour, Colruyt, Delhaize et Intermarché. Colgate-Palmolive a dénoncé la pratique en premier
Des maisons de semences paysannes pour se libérer de l'agrobusiness « Il faut nous organiser pour récupérer toutes les semences qui sont dans les banques de gènes et remettre ce trésor entre des mains sures, celles des paysans ». Au milieu d’une centaine de variétés de maïs, en plein cœur de la Dordogne, Bertrand Lassaigne raconte l’histoire de la première maison de semences paysannes en France. Installé depuis 20 ans près de Périgueux, Bertrand cultive principalement des céréales et des protéagineux – maïs, céréales à paille, soja, lentilles... Peu à peu, il développe son autonomie en semences et parvient en moins de dix ans à autoproduire la quasi-totalité de ses cultures, sauf en maïs où il continue chaque année d’acheter de la semence non reproductible qualifiée d’hybrides. En 1999, une rumeur circule parmi les producteurs de maïs : des semences polluées par des OGM auraient été vendues. S’affranchir de l’industrie semencière Le début du projet est laborieux. Onze ans plus tard, les résultats sont là. Un mouvement mondial
Périco Légasse : «La grande distribution est devenue un fléau national» INTERVIEW - FIGAROVOX/ENTRETIEN - Alors que se poursuivent les manifestations d'éleveurs protestant contre les trop faibles prix de la viande qui ne leur permettent pas de couvrir leurs coûts de production, Périco Légasse analyse les raisons pour lesquelles le secteur agricole est en crise. Périco Légasse est rédacteur en chef de la rubrique vin et gastronomie à l'hebdomadaire Marianne. LE FIGARO. - Quelle est la responsabilité de la grande distribution dans la dégradation de la condition des éleveurs? Périco LEGASSE. - Si ce n'était que ça. Autant demander à l'insecte quelle est la responsabilité de l'araignée sur la toile dans laquelle il vient de se prendre. Comment expliquer le dysfonctionnement croissant du système agro-alimentaire? C'est un réel problème de civilisation et chaque jour qui passe nous fait toucher le fond de ce système satanique qui consiste à surproduire pour surconsommer en comprimant au maximum les prix de production pour augmenter la marge du distributeur. Normal.
Je sème, je plante et je restaure la biodiversité pour la Nature, pour sauvegarder notre bien être, et pour les générations futures Exclusif : la grande distribution veut faire payer les autres ! Marianne a été alerté ce matin du fait que différents fabricants de produits agroalimentaires, notamment dans le Grand Ouest, sont convoqués à la rentrée par des centrales d’achat pour renégocier à la baisse les prix de certaines denrées à base de viande. Depuis un mois déjà, la grande distribution, se doutant qu’elle allait tôt ou tard devoir mettre la main au porte-monnaie, réclame 1% de baisse aux agro-industriels sur leurs produits porcins. Aujourd’hui, il s’agit de 2 à 3% de remise sur les charcuteries et autres, en vue du surcoût que va supposer le réajustement des prix demandé par le gouvernement. Contraintes d’admettre que les tarifs d’achat qu’elle impose aux abattoirs est intenable pour les éleveurs français, du fait d’une concurrence insupportable des viandes étrangères, les grandes enseignes doivent en effet s’engager à payer — un peu — plus cher le kilo de bœuf, de porc et d’agneau.
Un premier pas réussi pour le collectif Semons la Biodiversité télécharger le texte en format pdf L’empressement de certains acteurs de l’économie solidaire à répondre au rapport Vercamer sur l’enjeu de la labellisation comme question clé du développement de l’économie solidaire nous préoccupe. Cela traduit la gravité de l’état de dépolitisation à laquelle en est rendue l’ESS. Quel contraste avec l’époque où nombre d’initiatives de citoyenneté économique s’en réclamant ont vu le jour par refus du traitement social du chômage ! À travers ce projet de labellisation de l’économie solidaire, il ne s’agit rien moins que de gérer les exclusions, à défaut de les combattre. Parce que ce projet de labellisation remet en cause la dimension démocratique dont est porteuse l’économie solidaire, il est un virus mortel pour l’ESS. Le débat sur l’éthique et l’utilité sociale doit être permanent là où des acteurs se rencontrent, débattent y compris hors du champ de l’économie sociale et solidaire.
Voilà pourquoi les plats préparés sont si bon marché - Santé Face à des produits préparés, il est difficile de résister aux photos alléchantes sur les emballages. On se surprend donc à se laisser convaincre de les acheter. Et si ce qu'on nous y vendait n'était pas ce que l'on croyait ? On ne parle pas de viande de cheval vendue comme viande de boeuf, non ! Mais d'exagérations, le tout le plus légalement du monde ! La liste qui suit n'est pas exhaustive, mais elle nous apprend une chose : pour ceux qui ne veulent pas se laisser berner par des ingrédients sains, mais en quantités minimes, ni par des faux-semblants, préférez la cuisine maison, avec des aliments de base choisis en toute connaissance de cause... ou presque... Faux fromage Elle vous fait saliver, cette photo de morceau de pizza alléchante, relié au reste de la pizza par des fils de fromage fondu... Du bouillon de poulet sans poulet Vous préparez un petit plat, avec légumes, viande... et souhaitez y incorporer un petit goût complémentaire ? Céréales régime... Une soupe vite fait ?
URGENT +++ // PÉTITION pour libérer les semences paysannes ! Cher-es ami-es, Le 4 février, l'Assemblée Nationale discutera une loi destinée à lutter contre la contrefaçon, qui pourrait conduire à criminaliser les paysans qui utilisent leurs ressources élémentaires (semences, levains, animaux...) et donner le droit aux semenciers de s'approprier ce que les paysans ont patiemment sélectionné durant des millénaires. Si l'agriculture n'est pas explicitement exclue du périmètre de la loi, cela reviendrait à nier les droits ancestraux des paysans et à intensifier l'industrialisation de l'agriculture ! SIGNEZ la pétition pour libérer les semences paysannes ! En renforçant les moyens à des multinationales détentrices de Certificats d'Obtention Végétale, et au delà en incluant les brevets "sur le vivant", cette loi risque d'entraîner la condamnation des paysans : Ressemer sa récolte n'est pas un crime !
Test-Achats alerte: un jouet populaire auprès des enfants contient des substances cancérigènes! "Les ballons devraient être gonflés à l'aide d'une pompe et non de la bouche en raison de la présence de 'nitrosamines' cancérogènes. Il ne faut pas laisser les enfants sucer un ballon dégonflé ou cassé", indique Test-Achats dans son magazine Test Santé. Augmentation du risque de cancer Les nitrosamines sont des éléments toxiques que l'on retrouve entre autres dans les produits à base de latex ou de caoutchouc. Ils apparaissent lorsque le matériau est porté à une haute température au cours du processus de fabrication. Être en contact avec ces substances en les avalant peut augmenter à long terme les risques de cancer. Les substances déjà interdites dans les tétines et les sucettes La législation européenne interdit ces éléments dans les tétines ou les sucettes, mais pour les ballons ou les autres jouets pour enfants de moins de trois ans, les exigences sont moins strictes, puisque ces objets sont supposés être moins mis en bouche. Des tests sur 16 ballons
Pierre Rabhi - Nous faisons suivre cette information de... DANONE OBLIGÉ DE RETIRER SA PUBLICITÉ MENSONGÈRE APRÈS 15 ANS DE MATRAQUAGE ET DE DÉGÂTS Le « pavé dans le pot de yaourt » qu'a lancé Didier Raoult *, chercheur français, dans la prestigieuse revue scientifique « Nature » de septembre 2009 a fini par être payant. Pour le patron du labo de virologie de la Timone à Marseille, les yaourts et autres boissons lactées farcis aux pro biotiques que l'on nous fait avaler depuis près de 20 ans auraient une grosse part de responsabilité dans l'épidémie d'obésité qui frappe les enfants. Les pro biotiques que Danone ajoute à tout va dans divers yaourts sont selon les allégations de la marque assénées à la télévision, censées « booster » les défenses immunitaires. On en trouve plus de 1 milliard par pot d'Activia ou d'Actimel. Le hic est que ces bonnes bactéries «actives et vivantes », dixit Danone, sont les mêmes que celles utilisées depuis longtemps dans les élevages industriels comme activateurs de croissance pour faire grossir plus rapidement cochons et poulets. Faites passer...