Bientôt, chaque "like" sur Facebook vous coûtera 10 centimes
Bien sûr, ce titre est totalement faux. Mais si vous lisez ceci, c'est que vous avez cliqué. Franceinfo tente justement d'expliquer pourquoi les articles relayant de fausses informations marchent si bien. Ça a marché, vous avez cliqué ! Alors que Facebook a annoncé une série de mesures pour lutter contre ce fléau, franceinfo tente d'expliquer pourquoi nous sommes tant attirés par les articles traitant de fausses informations. Parce que l'on veut des infos croustillantes Le sensationnalisme n'est pas nouveau et a encore de beaux jours devant lui. Une information vraie ne circulera pas mieux qu'une information fausse. Pour attirer le lecteur, il faut donc une accroche tape-à-l'œil et une information croustillante. En novembre 2015, un homme affirmant s'appeler Phuc Dat Bich a trompé des médias du monde entier, et même des institutions comme le quotidien britannique The Independent ou encore l'AFP reprise par franceinfo. Parce que ces fausses infos sollicitent nos émotions
Comment des internautes créent l’intox autour des images de migrants
Face à l’arrivée de dizaines de milliers de migrants en Europe, des internautes, le plus souvent sympathisants de groupuscules d’extrême-droite, n’hésitent pas à relayer de fausses informations sur les réseaux sociaux. Objectif : convaincre par tous les moyens qu’il ne faut pas accueillir ces nouveaux arrivants. Tour d’horizon avec huit intox décryptées. Opposés à ces politiques, des sites ultraconservateurs, ouvertement anti-immigration, comme Fdesouche, Dreuz.info, ou encore les Observateurs.ch. en profitent pour s’adonner à des tentatives de désinformation, utilisant au maximum les réseaux sociaux pour diffuser de fausses informations ou donner leur version de certaines actualités. 1. Aylan Kurdi, trois ans, est mort noyé avec sa mère et son frère dans le naufrage de son embarcation entre la Turquie et la Grèce. Analyse publiée par Les Décodeurs sur LeMonde.fr © Image Anadolu Agence. 2. 3. 4. 5. Les tentatives d’intox ne se limitent pas aux sites francophones. 6. 7. 8. Quels dangers ?
Quand les chaînes TV courent après les jeunes | la revue des médias
La conquête du public des millennials est intimement liée à la fonte des revenus publicitaires des chaînes de télévision. Alors que ces dernières se trouvaient dans une situation de monopole il y a encore vingt ans, elles sont désormais concurrencées par une myriade d’acteurs, ce qui n’est pas sans conséquence sur leurs relations avec les annonceurs. Le Conseil Supérieur Audiovisuel a mené une étude parue en 2016 sur l’évolution du marché publicitaire pluri médias. La note du CSA est sans appel : « Avec 31 % de part de marché publicitaire nette en 2015 comme en 2005, la télévision démontre une certaine résistance comparativement à d’autres médias, face à la forte croissance d’internet : 26 % de part de marché publicitaire en 2015 contre 2 % en 2005. Cette stabilité de part de marché masque toutefois la forte baisse des recettes publicitaires du média TV : -15 % entre 2000 et 2015 en euros constants de 1999 ». YouTube représente la première menace de poids pour les chaînes
Info ou intox ? Réagir face aux théories du complot | L'éducation aux médias et à l'information (EMI) dans l'académie de Besançon
Covid19 : point de situation hebdomadaire Chaque semaine, le bilan dans l'académie de Besançon. Grenelle de l’Éducation D’octobre 2020 à février 2021, le Grenelle de l’éducation a pour vocation de rassembler autour d’un projet commun pour son école en s’appuyant sur la contribution de toutes les parties prenantes : personnels, parents d’élève, syndicats et société civile. Carte des enseignements de spécialité de l’académie Le bac 2021 redonne au baccalauréat son sens et son utilité avec un examen remusclé et un lycée plus simple, plus à l'écoute des aspirations des lycéens, pour leur donner les moyens de se projeter vers la réussite dans l'enseignement supérieur.
Sur les réseaux, on fait davantage confiance à la personne qui partage qu’à la source de l’information
Un certain nombre d’études sont déjà arrivées à des conclusions que nous, êtres humains, qui passons de plus en plus de temps en ligne, avions pressenties : de plus en plus de personnes obtiennent leurs informations sur les réseaux sociaux et la source de ces informations n’est pas toujours très claire dans l’esprit de ceux qui les lisent ou les partagent. Une nouvelle expérience, menée par le Media Insight Project en collaboration avec l’American Press Institute et Associated Press, vient ajouter sa pierre à l’édifice en s’intéressant à la perception qu’ont les lecteurs sur leur façon de s’informer. Ce sondage reposait sur du déclaratif, autrement dit sur la perception que les participants avaient d’eux-mêmes. « Cette fois-ci, nous voulions tester si c’était vrai ou si c’était juste ce que les gens croyaient », disent les auteurs à propos de cette nouvelle étude. Comme ils s’en doutaient, il existe bien une différence entre la perception et la réalité. Quelle méthodologie ?
Décodex : notre kit pour dénicher les fausses informations
Les 15-24 ans s’informent au marché noir
Comment s’informent les jeunes aujourd’hui ? A l’heure d’Internet et des réseaux sociaux, les médias traditionnels peuvent-ils encore séduire ces 15-24 ans ? Et si oui, comment y parvenir ? Ces questions ont animé les rencontres de l’Observatoire de l’audiovisuel et du numérique organisées vendredi 22 janvier, à Paris, par l’INA (en partenariat avec l’AFP, Le Monde, RFI, France 24, MCD et France Médias Monde). Le fait est désormais bien établi. Ainsi que l’a rappelé Julien Ronsanvallon, directeur du département télévision Médiamétrie, « ces cinq dernières années, la consommation des médias traditionnels des 15-24 ans a reculé au profit de l’ordinateur et surtout du smartphone », ce dernier étant devenu leur premier écran. « Avant, on suivait l’info, c’était une sorte de devoir civique, aujourd’hui, c’est l’info qui suit les jeunes. « La recherche d’information chez les jeunes des couches les moins favorisées est résiduelle » explique Monique Dagnaud, directrice de recherche au CNRS
Panorama des outils pour le fact-checking - FLA Consultants
Auteur : Carole Tisserand-Barthole, rédactrice en chef de BASES et NETSOURCES Nous avions consacré la Une de notre revue NETSOURCES n°119 en novembre/décembre 2015 à cette pratique dans un article intitulé « Fact-Checking et vérification quel rôle et quels outils pour le veilleur ?». Nous y définissions le concept de fact-checking et nous présentions l’intérêt pour le veilleur, l’impact des réseaux sociaux pour le fact-checking, la vérification pour le veilleur et les différentes grandes ressources pour le fact-checking. Cet article est désormais en libre accès sur notre site. Depuis la rédaction de cet article, le paysage des outils pour vérifier la véracité d’une information ou d’une source a beaucoup évolué. Parmi les nouveaux outils et ressources incontournables pour le fact-checking en France, on pourra citer : Check News.fr : un moteur humain réalisé par des journalistes de Libération. Imprimer Suggérer la page
Melty
Melty ou Meltygroup (stylisé melty et meltygroup), est un site d'infodivertissement et une société française de médias en ligne fondée en 2008 par Alexandre Malsch, Jonathan Surpin et Jérémy Nicolas. L'entreprise cible essentiellement un public âgé entre 15 et 34 ans, et se finance principalement avec différentes méthodes dérivées du publirédactionnel, dont notamment le marketing de contenu ou bien le native advertising[4],[5]. Le site Melty fait partie des sites francophones diffusant des contenus d'infodivertissement tels que Topito, BuzzFeed, Demotivateur, Koreus ou Minutebuzz[6]. À partir de 2014, le groupe s'étend avec le lancement de nombreux sites à l'étranger, cependant en juin 2016 il se recentre sur son activité française et garde sous licence son activité italienne. Historique[modifier | modifier le code] Les débuts[modifier | modifier le code] 2008 : la création de melty[modifier | modifier le code] L'évolution en meltyNetwork[modifier | modifier le code]