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Albert Camus

Albert Camus
Albert Camus photographié en 1957 Signature d'Albert Camus. Albert Camus, né le 7 novembre 1913 à Mondovi (aujourd'hui Dréan) dans le département de Constantine (wilaya d'El Tarf), en Algérie française, et mort par accident le 4 janvier 1960 à Villeblevin en France, est un philosophe, écrivain, journaliste militant, romancier, dramaturge, essayiste et nouvelliste français, lauréat du prix Nobel de littérature en 1957. Internationaliste réformiste, moraliste, abolitionniste et proche des courants libertaires, il prend notamment position sur la question de l'indépendance de l'Algérie et ses rapports avec le Parti communiste algérien, qu'il quitte après un court passage de deux ans. Il proteste également contre les inégalités et la misère qui frappent les indigènes d'Afrique du Nord tout comme la caricature du pied-noir exploiteur, tout en prenant la défense des Espagnols exilés antifascistes, des victimes du stalinisme ou encore des objecteurs de conscience. Biographie Enfance et famille Related:  estelle35novaAbsurde

L'Homme révolté Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il y distingue notamment la révolte — un refus positif — et les révolutions qui, perdant de vue leur révolte initiale, sont tombées dans le nihilisme, ont sacrifié le réel au profit de l'idéologie, et rationalisé le meurtre. Présentation[modifier | modifier le code] Plan[modifier | modifier le code] L'Homme révolté se divise en cinq grandes parties, qui traitent de l'esprit, du développement et de l'expression de la révolte : L'Homme révolté ;La Révolte métaphysique ;La Révolte historique ;Révolte et art ;La Pensée de midi. Camus y étudie successivement les conceptions de Lucrèce, Épicure, Sade, les dandys, Vigny, Dostoïevski, Nietzsche, Lautréamont, Rimbaud, Stirner, Marx, les surréalistes, Rousseau, Saint-Just, Hegel et de Maistre[2]. Résumé[modifier | modifier le code] Citations[modifier | modifier le code] Critiques[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code]

Boris Vian Boris Vian en 1948. Boris Vian, né le 10 mars 1920 à Ville-d'Avray (Seine-et-Oise) et mort le 23 juin 1959 à Paris 7e[1], est un écrivain, poète, parolier, chanteur, critique musical, musicien de jazz (trompettiste) et directeur artistique français. Ingénieur formé à l'École centrale, Vian s'est aussi adonné aux activités de scénariste, de traducteur (anglais américain), de conférencier, d'acteur et de peintre. Sous le pseudonyme Vernon Sullivan, il a publié plusieurs romans dans le style américain, parmi lesquels J'irai cracher sur vos tombes qui a fait scandale et lui valut un procès retentissant. Son œuvre littéraire, peu appréciée de son vivant, est saluée par la jeunesse à partir des années 1960-1970. « Si, au cours de sa brève existence, il a multiplié les activités les plus diverses, son nom s'inscrit aujourd'hui parmi les plus significatifs de la littérature française[2]. » Réputé pessimiste, Boris Vian adorait l'absurde, la fête et le jeu. Paul Vian n'était pas en reste. Album

Absurde Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En philosophie et en littérature, l'absurde est un décalage entre l'attente de l'Homme et l'expérience qu'il fait du monde, dans quelque domaine de l'activité humaine qu'il s'exprime. Il résulte donc de la contradiction d'un système par le fait. Étymologie[modifier | modifier le code] L'étymologie du mot absurde vient du latin absurdus qui signifie « dissonant » (cf. C'est ce qui est contraire et échappe à toute logique ou qui ne respecte pas les règles de la logique. Littérature[modifier | modifier le code] La littérature de l'absurde, née pendant la Seconde Guerre mondiale, illustre le désarroi de l'homme, comme étranger face à un monde et à une existence dont il ne saisit plus le sens. Théâtre[modifier | modifier le code] Philosophie[modifier | modifier le code] Mathématiques[modifier | modifier le code] Citations[modifier | modifier le code] « Ce monde en lui-même n’est pas raisonnable, c’est tout ce qu’on peut en dire.

Une conversation avec Renaud Camus Renaud Camus est un écrivain et militant politique français. C’est dans l’Abécédaire de l’in-nocence que Renaud Camus introduit, en 2010, l’expression du « grand remplacement », qui a été maintes fois reprise et commentée depuis lors. Il préside le Conseil National de la Résistance Européenne, qu’il a fondé en 2017. Grégoire Canlorbe : Vous affirmez contre vents et marées le « grand remplacement » de la population de souche française et européenne. Renaud Camus : Le regard. Le remplacisme constitue, dites-vous, l’idéologie de la superclasse mondiale. Ah oui, par excellence : le meilleur. L’assassinat de Mireille Knoll, rescapée de la Shoah, témoigne de la menace qui pèse désormais sur le moindre Juif en France. Je ne sais pas s’il est hypocrite, probablement un peu, mais je crois surtout que les énormes mécanismes à l’œuvre dépassent et transcendent les intentions des uns et des autres, rendent caduques la psychologie, la morale individuelle. Dreuz a besoin de votre soutien financier.

Michel Houellebecq Michel Houellebecq en 2016. Biographie[modifier | modifier le code] Michel Houellebecq en 2008. Très tôt, ses parents se désintéressent de lui[8] ; le couple se sépare, et une demi-sœur naît peu après. Il entre ensuite à l’École nationale supérieure Louis-Lumière, en section cinéma (prise de vues), mais en sort en 1981, avant d'avoir obtenu son diplôme. « J’ai perçu une personnalité singulière et j’ai assimilé immédiatement Michel aux grands auteurs du vingtième siècle […]. En 1998, sa description des rapports amoureux dans Les Particules élémentaires suscite la polémique ; il est alors accusé[Par qui ?] En 2008, alors qu'il n'a pas revu sa mère depuis dix-sept ans et qu'il déclare lors d'entretiens publiés dans la presse qu'elle est probablement morte, cette dernière publie un livre, L'Innocente, très virulent à l'égard de son fils, dans lequel elle déclare notamment : « Mon fils, qu’il aille se faire foutre par qui il veut avec qui il veut, j’en ai rien à cirer[5]. » — Plateforme[37].

Contradiction Une contradiction existe lorsque deux phénomènes scientifiques, affirmations, idées, ou actions s'excluent mutuellement. Principe de non-contradiction[modifier | modifier le code] Le « principe de non-contradiction » est la loi qui veut qu’on ne peut affirmer et nier simultanément le même terme ou la même proposition : « Il est impossible qu’un même attribut appartienne et n’appartienne pas en même temps et sous le même rapport à une même chose »[1]. Assurément, une chose peut être blanche aujourd’hui ou d’une autre couleur demain. Logique formelle[modifier | modifier le code] La contradiction est une relation existant entre deux ou plusieurs termes ou deux ou plusieurs propositions dont l’un(e) affirme ce que l’autre nie : « A » et « non-A » sont contradictoires, les phrases « Tous les hommes sont barbus » et « Quelques hommes ne sont pas barbus » sont contradictoires. En logique formelle (c. C'est l'explosion logique. « A est non-A » est une phrase fausse.

La quête d'Ewilan. 1, D'un monde à l'autre Ma rechercheTitre : La quête d'Ewilan. 1, D'un monde à l'autre La quête d'Ewilan. 1, D'un monde à l'autre Bottero, Pierre (1964-2009) Réédité en 2012 dans la collection Livre de poche. Édition papier : 2700231708 Format ePub : 9782700239874 Vous avez ajouté ce livre avec succès. Chapitre thématique Faire place à l'inspiration Pistes d'exploration Mettre en scène Imaginer une suite au roman, puis comparer au deuxième tome de la série. Écrire et créer à son tour Inventer un monde parallèle de son cru qui pourrait servir de base à un récit merveilleux. Regrouper livres et produits culturels Réaliser une exposition commentée de romans merveilleux. Découvrir les richesses du texte Énumérer les éléments du roman que l'on peut considérer merveilleux et ceux issus du réel. Mots-clés Roman merveilleux, amitié, aventures, dons, imagination, intérêt des dialogues, lieux imaginaires, personnages (créatures imaginaires), quête, relations frères-soeurs, séries-héros-héroïnes (Camille et Salim), suite (livres)

Honoré de Balzac Signature Vue de la sépulture. Comme il l'explique dans son avant-propos à La Comédie humaine, il a pour projet d'identifier les « espèces sociales » de son époque, tout comme Buffon avait identifié les espèces zoologiques. Ayant découvert par ses lectures de Walter Scott que le roman pouvait aspirer à une « valeur philosophique », il veut explorer les différentes classes sociales et les individus qui les composent afin d'« écrire l'histoire oubliée par tant d'historiens, celle des mœurs » et de « faire concurrence à l'état civil ». L'auteur décrit la montée du capitalisme, l'essor de la bourgeoisie face à la noblesse, dans une relation complexe faite de mépris et d'intérêts communs. Intéressé par les êtres qui ont un destin, il crée des personnages plus grands que nature : « Chacun, chez Balzac, même les portières, a du génie » (Baudelaire). Outre sa production littéraire, il a écrit des articles dans les journaux et a dirigé successivement deux revues, qui feront faillite. Balzac[145]

L'Étranger Incipit[modifier | modifier le code] « Aujourd’hui, maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas. » Résumé[modifier | modifier le code] Le roman met en scène un personnage-narrateur nommé Meursault, vivant à Alger en Algérie française. Au début de la première partie, Meursault reçoit un télégramme annonçant que sa mère, qu'il a placée à l’hospice de Marengo, vient de mourir. Le lendemain de l'enterrement, Meursault décide d'aller nager à l'établissement de bains du port et y rencontre Marie, une dactylo qui avait travaillé dans la même entreprise que lui. Le dimanche midi, après un repas bien arrosé, Meursault, Raymond et Masson se promènent sur la plage et croisent deux Arabes, dont le frère de la maîtresse de Raymond. Avant son départ pour la mort, Meursault finit par trouver la paix dans la sérénité de la nuit et même souhaiter que le jour de son exécution de grandes foules qui le haïssent soient au rendez-vous. Personnages[modifier | modifier le code] [modifier | modifier le code]

Jean-Jacques Rousseau Cycle de l'absurde Le cycle de l'absurde est un terme utilisé par Albert Camus pour désigner une partie de son œuvre : Albert Camus qualifie ainsi cette première réflexion sur l'absurde fondamental de la condition humaine qu'il faut analyser, concrétiser afin de pouvoir la dépasser et d'aller vers une révolte positive, qui doit déboucher sur un humanisme, c'est-à-dire une révolte sur sa condition qui doit rapprocher l'Homme des autres Hommes, ses frères et sœurs. Il s'agit donc du cycle de la négation. L'Étranger[modifier | modifier le code] Dès l'incipit de L'Étranger (« Aujourd’hui maman est morte. Ce qui réconcilie précisément l'humain avec lui-même, c'est « la reconnaissance de l'absurde » : Meursault n'est plus étranger à lui-même lorsqu'il use de sa liberté en refusant de se faire pardonner devant Dieu (le « masque ultime de l'absurde »[2]). Le Mythe de Sisyphe[modifier | modifier le code] La plaque de bronze sur le monument en hommage à Albert Camus, à Villeblevin. — A.

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