Zoom
Trash
Related: Différenciation
- Différentiation pédagogique
QR-codes et différenciation pédagogique en LV on Prezi Next 50 conseils pour développer l'envie d'apprendre L’intention initiale de cette série de conseils est le partage le plus large d’idées, de valeurs et de pratiques pédagogiques auprès d’une communauté de formateurs. Ce dispositif fait partie d’une nouvelle génération d’approches qui visent à aider les éducateurs, formateurs, apprenants, concepteurs de cursus à utiliser des ressources libres et à les intégrer à leurs propres fins. Ce type de dispositif n’obéit pas à une logique « d’objectifs » ou de « validation », ou encore à un « modèle économique ». Il se concentre sur la mise en intelligibilité de contenus. « #50conseils » est basé sur : Le hashtag "#50conseils" vous permettra de retrouver plus facilement le chemin vers les conseils proposés. L’engagement et les ressources du formateur Conseil n°1 : Visez l’apprenance plutôt que le transfert, le savoir plutôt que la connaissance. - ressource associée Conseil n°2 : Cultivez la posture du don, du plaisir et de l’échange - ressource associée L’apprentissage en groupe.
Les dispositifs | La différenciation pédagogique Dans une perspective de différenciation, les éléments pouvant en faire l’objet sont : les contenus (ce que l’élève apprend), les productions (comment l’élève montre ce qu’il a appris), les structures (l’environnement dans lequel se font les apprentissages et l’évaluation) et les processus (comment se font les apprentissages et l’évaluation). Ces éléments sont généralement interreliés et dans tous les cas impliquent une variation dans le soutien accordé aux élèves. On peut difficilement intervenir par rapport à un d’entre eux sans toucher aux autres. L’application de la différenciation en classe peut prendre différentes formes et intensités. Le degré de différenciation dans une classe se fera en fonction des besoins des élèves, de la connaissance qu’en a l’enseignant, des possibilités qu’il a de tenir compte des différences et de sa capacité à mettre en place des structures différenciées. Différencier les contenus (Ce que l’élève apprend) comprennent et font d’autres choses.
La différenciation pédagogique Ne pas gommer les différences mais ne pas être indifférent à la différence. I. Des définitions variées : La différentiation ne doit pas être vécue comme une sanction par les élèves mais comme une aide. On trouve de nombreuses définitions de cette pratique, en voici quelques exemples : « Différencier signifie savoir analyser et ajuster sa pratique de même que l’environnement d’apprentissage de façon à tenir compte des préalables et caractéristiques d’un ou de plusieurs élèves au regard d’un objet d’apprentissage particulier. » « La pratique de la différenciation pédagogique consiste à organiser la classe de manière à permettre à chaque élève d’apprendre dans les conditions qui lui conviennent le mieux. « La pédagogie différenciée s’appuie d’abord sur un constat anthropologique indiscutable : l’hétérogénéité entre les humains est de fait et ce fait constitue la justification principale de la différenciation de la pédagogie. II. Sur des principes d’éducabilité et d’intelligence. III. IV. V.
Des recommandations pour une différenciation pédagogique - Prim à bord Les 7 et 8 mars 2017, Le Cnesco et l’Ifé / ENS de Lyon ont organisé une conférence de consensus intitulée : « Différenciation pédagogique : comment adapter l’enseignement pour la réussite de tous les élèves ? » . Les membres du jury composés de 17 experts et d’acteurs de terrain ont proposé 22 recommandations pour une différenciation pédagogique efficace. Au niveau international, de nombreux pays ont déjà investi cette possibilité pédagogique alors qu’en France la différenciation pédagogique dans les classes reste encore timide. Pourtant la différenciation représente une réponse adaptée aux besoins des élèves car aucun élève n’apprend de la même manière et au même rythme qu’un autre. Les recommandations : Elles portent sur des principes et des pratiques pédagogiques, à mettre en œuvre en classe et s’articulent autour de 4 axes : Différenciation et numérique : Le numérique – une richesse pour répondre aux besoins de tous les apprenants ?
Le plan de travail Supports : différents Consignes : différentes Étayage du maître : selon le besoin Situation de départ Pour que cette autonomie soit possible, il importe que les élèves se soient appropriés les espaces de la classe, qu’ils sachent où se trouvent les ressources, les outils. Préparation Le professeur liste les activités que l’élève devra réaliser durant le temps correspondant au "plan de travail". Déroulement L’élève reçoit ou consulte son plan de travail pour la séance et se met au travail en autonomie.
Les théories de l’apprentissage : enseigner / apprendre (Pascal Ourghanlian) Enseigner, transmettre, construire Les théories de l’apprentissage : enseigner / apprendre Un texte de Pascal Ourghanlian Quatre modèles(1) de l’apprentissage sont habituellement proposés par les didacticiens, à la fois selon une entrée diachronique (ces modèles recouvrent une évolution historique) et une entrée synchronique (chacun de ces modèles reste d’actualité et fournit une grille d’analyse possible de telle ou telle séquence de classe) : les modèles de l’« outre à remplir », du « stimulus-réponse », de « l’architecte » et de « la boîte noire ». Des modèles soumis à rectification(2) Historiquement, c’est le modèle transmissif qui vient en premier. C’est à Skinner que l’on doit une première inflexion de ce modèle. Le courant de la pédagogie de la maîtrise, couramment pratiquée aujourd’hui, a repris à Skinner la structuration de l’apprentissage en fonction d’objectifs très fins, organisés de manière spiralaire (pré-test, enseignement, test d’étape, remédiation, test terminal). Notes
Différenciation pédagogique • 22 % des enseignants en collège, en France, déclarent pratiquer un enseignement différencié, contre 44 % en moyenne dans les pays ayant participé à l’enquête TALIS 2013. • 37 % des enseignants en collège, en France, déclarent avoir co-enseigné au moins à une occasion, contre 58 % en moyenne dans les pays ayant participé à l’enquête TALIS 2013. • 15 % des enseignants de CM1 français déclarent avoir participé « plus d’une fois à une formation continue sur le thème de la gestion des besoins individuels des élèves, dans les deux dernières années », contre 42 % en moyenne dans les pays ayant participé à l’enquête TIMSS 2015. Dyslexie – Dysorthographie – Dyscalculie – Dysgraphie – Dyspraxie – Dysphasie – TDAH L’exigence intellectuelle en pratique [En 2006, après l’obtention du CAPES d’histoire-géographie, j’ai réalisé mon année de stage dans un collège à recrutement social mixte. L’année suivante, j’ai passé une année en lycée général et technologique et parallèlement, pour une classe, en lycée professionnel dans la même ville. En 2008, j’ai été nommé dans un collège en éducation prioritaire. Cet intermède au lycée m’a permis d’appréhender les exigences du lycée et a orienté ma façon de concevoir mon rôle d’enseignant au collège par la suite. Il m’est apparu indispensable de maintenir un fort niveau d’exigence intellectuelle, surtout face à un public d’élèves dont les habitudes sont éloignées des codes scolaires du lycée. J’ai constaté, dans mon premier collège, que l’échec scolaire était le fait d’une petite poignée d’élèves dans chaque classe et qu’il était donc naturel pour toute la communauté éducative de les renvoyer à leur responsabilité individuelle. Le désir de savoir comme moteur de l’apprentissage Pour conclure