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10. S’exprimer en images

10. S’exprimer en images
Signification des valeurs de plans. A chaque fois que le caméraman met en route sa caméra, filme et stoppe, il produit un plan. L’ensemble des plans tournés dans un lieu ou autour de l’évènement constitue une séquence, une famille de plans qui doit être riche et diversifiée : Le plan large sert le contexte général de l’évènement.Le plan d’ensemble situe les personnages.Le plan américain décrit les personnages en action.Le plan taille : montre un ou plusieurs personnages en scène.Le plan moyen ou plan rapproché poitrine : classique du format « télévisé », coïncide avec la vision naturelle de la relation que nous avons avec les autres.Le gros plan oriente le regard sur un détail corporel ou matériel, une action précise.L’insert concentre l’attention sur un indice visuel reliée à l’action qui est décrite. Les effets de tournage produisent des effets de sens. L’amorce : Plongées et contre-plongées : Le plan séquence : La caméra subjective : Les mouvements de caméra. Panoramique : Travelling : Related:  Construire un reportage

11. Gérer les sons du reportage Le son direct Le son direct ou son d’ambiance est la « signature » du reportage de terrain censé capter un morceau de réalité, images et sons confondus. Si l’image montre un forgeron tremper un morceau de fer dans un seau, il faut entendre le son caractéristique du fer chauffé à blanc au contact de l’eau. Dans un grand nombre de reportages, le son est une information à part entière : il permet au téléspectateur de mesurer « la violence des protestations », d’entendre « la joie des vainqueurs », les « nuisances sonores » dont se plaignent les riverains d’une autoroute… Ces informations sont beaucoup plus fortes lorsqu’elles ont portées par le son direct plutôt que par leur évocation dans le commentaire du journaliste. Les sons seuls En tournage, prendre le temps d’enregistrer des «sons seuls » est une bonne habitude. L’interview est aussi et surtout un « son ». L’effet « HF » (hors fil) : La position du micro. Le micro cravate est plus discret et moins perturbant pour l’interviewé.

Design thinking et storytelling | Storytelling « Raconter un développement » : voilà qui pourrait résumer, en français, l’idée d’utiliser le storytelling pour le design thinking. Qu’est-ce que le design thinking me direz-vous ? Beaucoup de définitions naissent ici ou là pour cette approche qui ne date pourtant pas d’hier (en tout cas aux États-Unis). Penser le design au moment de la conception d’un objet, mais aussi sa fonctionnalité, sa future utilisation, bref, se remettre en question, décloisonner les étapes de création, pointer les problématiques et y répondre au moment de sa conception, et non pas après, quand il est trop tard. Quand un produit est déjà en vente, il est donc trop tard pour revenir sur des défauts auxquels les utilisateurs peuvent être éventuellement confrontés : trop tard, et surtout bien plus compliqué et plus coûteux ! Et quel rapport avec le storytelling ? Pour un design thinker, le storytelling est lié à la scénarisation (mise en scène). d WordPress: J'aime chargement… Sur le même thème Dans "Définition"

07. Choisir les personnes à interviewer Choisir le profil des interlocuteurs permet de produire des interviews informatives. L’acteur : « il a fait ou subi ». Au cœur de l’événement, il raconte ce qu’il a vécu. Une information « de première main » souvent délivrée sur un mode narratif, chronologique et détaillé que journaliste doit synthétiser dans son commentaire. Pour obtenir un récit vivant, l’interviewé-acteur peut être mis en situation (l’interviewer sur les lieux de l’action, lui montrer une photo, une vidéo ou un objet emblématique de l’événement). Le témoin : « il a vu ou entendu ». A la périphérie de l’événement, il ne peut donner que son point de vue. Pour reconstituer la réalité, le journaliste doit multiplier les témoignages. L’expert : « il sait ». C’est celui qui donne une évaluation objective. Pour permettre à l’expert de mieux calibrer ses explications, le journaliste doit expliquer les contraintes du reportage : durée limitée et téléspectateurs non spécialistes. Le mandataire, le responsable : « il déclare ».

Votre succès sur les réseaux sociaux ? Un storytelling authentique et humain. | Spécialiste en médias sociaux Vous avez certainement entendu parler de « Humans of New York » (HONY), n’est-ce pas ? Si ce n’est pas le cas, vous passez à côté d’une des pages les plus actives et suivies sur Facebook. Toutefois cette page n’appartient pas à une marque, ni à une personnalité. Aucun but commercial ou recherche de notoriété. Découvrez les clés d’un taux d’engagement et de « likes » hors norme. Brandon Stanton, photographe amateur, créateur de « Humans of New York » Laissez-moi vous présenter Brandon Stanton, 31 ans. Notre street photographe tire donc durant une année complète, le portrait d’inconnus dans les rues de la « Big Apple ». Il décide alors d’y ajouter de courtes légendes, inspirées des conversations échangées avec ses sujets. En quelques semaines seulement, le nombre de visites et d’abonnés à son blog doublent, puis quadruplent, et ainsi de suite. Page d’accueil Tumblr « Humans of New York » En complément à son blog, Brandon crée sa page Facebook. « Je l’ai trouvé dans une poubelle. Alors ?

12. Ecrire pour l’écran L’infographie : quelques conseils. Tableaux, graphiques ou dessins réalisés via l’infographie « parlent » souvent plus que des images commentées de façon linéaire. Ces synthèses visibles en un clin d’œil permettent au journaliste de donner beaucoup plus d’information en beaucoup moins de temps. A condition de respecter quelques règles de lisibilité : Compléter les tableaux des sources institutionnelles Dans le cas des tableaux « importés », le journaliste doit mentionner systématiquement les sources des données et s’il s’agit des résultats d’un sondage, l’échantillon et la marge d’erreur. Les titres fournis par des sources institutionnelles n’annoncent souvent que leur légende : Évolution de la natalité en 2012. 2012 : forte augmentation de la natalité à Paris Simplifier les données complexes : – Répartir les données sur plusieurs tableaux successifs. – Animer les infographies en faisant apparaître progressivement les informations. Des sous-titres (synthés) informatifs et lisibles.

MoviePro : Video Recorder & Editor with Pause, Zoom, Frame Rate, Secret Mode, 2K resolution, and Multiple Recording Options with Fastest Performance 13. Derusher et construire le reportage Au dérushage, le journaliste repère les plans clés qui constituent les étapes du plan de montage et les temps forts du reportage. Visionner tous les plans et retenir ceux qui semblent pertinents avec le sujet et le propos du reportage : situations, interviews, images et sons clés, ambiances…Identifier chaque plan grâce à un ou plusieurs mots-clés indiquant son contenu ainsi que ses caractéristiques telles que valeurs de plans, thèmes, personnages, lieux….Noter l’adresse de chaque plan sélectionné à l’aide de deux time code : celui de la première image du plan et celui de sa dernière image (le time code identifie chacune des images tournées).Stocker les plans sélectionnés et identifiés dans le chutier.Organiser le chutier en regroupant les « familles de plans ». Qu’est-ce qu’une famille de plans ? Souvent le tournage d’une séquence s’organise autour d’une situation, dans un lieu et un temps donnés. Trouver un fil conducteur, un « fil rouge » qui guide le téléspectateur.

un vidéo projecteur pour smartphone! Qui dit vacances, dit photos et vidéo, souvent prises avec un smartphone. Et pour faire partager ses souvenirs sans s'escagasser les yeux, quoi de mieux qu'un vidéo projecteur? mais c'est la crise, et un vidéo projecteur ça coûte cher! c'est pourquoi je vous propose d'en fabriquer un pour, disons, 5€! Il vous faudra une boite à chaussure, une loupe et un trombone...Percez la boite à chaussure et fixez la loupe sur un des côtés. Transformez le trombone en support iPhone comme sur la photo. Posez votre smartphone dans la boîte, écran en direction de la loupe. Fermez la boite, et projetez vos souvenirs sur le mur du salon!

05. Les contraintes de durée et de dispositif Formats et durées des reportages dans le Journal Télévisé Images seules commentées (« off » ou « à travers ») Il s’agit de séquences de 15 à 30 secondes d’images commentées par le présentateur en plateau. Au montage, il faut : Faire coïncider étroitement commentaire et une ou deux images fortes.Privilégier l’accroche (en image et en commentaire qui débute en général 5 à 10 secondes avant les images).Monter les plans de fin en longueur pour faciliter le retour de l’image sur le présentateur au moment du dernier mot de son commentaire. L’interview sèche est une information qu’il n’est pas utile d’encadrer ou de recouvrir avec des images prétexte. Reportage de terrain Le reportage de terrain rapporte des images et des sons pour montrer la réalité au plus près. Encadré explicatif Lorsque le sujet porte sur des notions abstraites impossibles à montrer, le commentaire explicatif s’appuie sur des illustrations : images d’agence, d’archives, illustrations ou infographies. Dossier

ProCam XL 2 - Camera and Photo / Video Editor 14. Monter le reportage Du plan à la séquence La première étape consiste à choisir dans les rushes le point d’entrée et le point de sortie qui permettent de passer du plan tourné au plan utilisable dans une séquence. Très souvent un seul plan ne signifie rien : pour qu’il prenne sens, il faut l’insérer dans une séquence, une succession de plans, au moins trois plans, appartenant le plus souvent à la « même famille de rushes ». Le plan séquence est une exception à cette règle : il constitue à lui seul une séquence à part entière. Au montage, raccords, plans de coupe et certains procédés sont utilisés pour fluidifier le passage d’un plan à un autre, pour reconstituer l’unité d’un espace, d’une durée ou d’une action. D’autres procédés et trucages sont au contraire employés pour marquer des changements (de lieux, de temps, d’action) ou signifier clairement au téléspectateur qu’il y a eu rupture dans la continuité (celle d’une interview montée par exemple). Raccords Le « plan de coupe » Procédés et trucages

Montage vidéo pour appareils portables | Pinnacle Studio pour iPad & iPhone Meilleure application mobile, Meilleurs produits pour les cinéastes de l'année (Best Mobile App, Videomaker Best Products of the Year) – 2014 Les applications incontournables pour iPad (One of Time's Must-Have iPad Apps), Avril 2013 Gagnant à deux reprises du prix Choix des éditeurs de PCMag.com (PCMag.com Editors' Choice Award) et 4,5/5 étoiles, Avril 2012 & Février 2013 « Le montage vidéo en déplacement n'a jamais été aussi pratique. » « La façon dont Pinnacle Studio allie puissance et facilité d'utilisation est juste impressionnante. » 148apps.com – 4,5 étoiles sur 5 ! Pinnacle Studio pour iOS et Pinnacle Studio Pro pour iOS Bénéficiez de véritables capacités de production cinématographique grâce à deux applications iOS universelle, pleinement fonctionnelles, accessibles sur tous vos appareils iOS favoris. Cette application vous permet d'éditer vos contenus vidéo, audio et vos photos, même en déplacement. Accès aisé à tous vos contenus Modification en toute simplicité Partage en un clic

16. Ecrire le commentaire du reportage Ecrire en priorité le lancement du reportage et l’envoyer au présentateur. Deux avantages : Le présentateur prend connaissance du reportage assez tôt pour réécrire le lancement et bien intégrer le reportage dans le journal télévisé.En confiant au présentateur toutes les informations qui replacent le reportage dans son contexte, le journaliste peut commencer par une accroche percutante. Sélectionner les informations pour le commentaire. Le texte écrit par le journaliste avant le montage n’est pas un commentaire. Extraire les éléments de synthés et de sous-titres, les éléments de lancements,Supprimer tous ce qui est déjà dit dans les images, les sons et les interviews,Réorganiser ce qui reste pour respecter le découpage et le rythme du montage, reformuler les phrases pour en faire une adaptation télévisuelle. Écrire un commentaire pour chaque séquence. Le journaliste écrit autant de « commentaires » (COM 1 + COM2 + COM3 …) qu’il y a de séquences audiovisuelles dans le reportage.

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