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La face cachée de l’industrie laitière : un coût de 7,1 milliards d’euros pour la société

La face cachée de l’industrie laitière : un coût de 7,1 milliards d’euros pour la société
En France, les produits laitiers sont partout. Ils façonnent les territoires, du bocage normand aux alpages de Savoie, en passant par les causses du Massif Central et les estives des Pyrénées. Ils s’imposent dans les rayons des grandes surfaces : lait, yaourts, fromages, crème fraîche s’offrent en grande variété au caddie du consommateur. En plus de la richesse qu’ils créent, les produits laitiers sont parés de toutes les vertus. Un coût ignoré par le monde économique : 7,1 milliards d’euros Et pourtant. C’est l’élevage qui génère le plus d’impacts. 3,8 millions de vaches laitières, ça pollue beaucoup ! 3,8 millions de vaches : cela pollue forcément l’eau. « Nous ne mettons pas en cause les agriculteurs, souligne Christophe Alliot, co-fondateur du Basic. Lait bio et fromages AOC : des alternatives bien moins coûteuses Tous les coûts cachés ne peuvent être estimés en euros, en particulier la détresse de nombreux éleveurs laitiers. Le lait, une richesse bien mal redistribuée Photo : source Related:  Agriculture/Alimentation/Pesticides/OGMCrise du lait / France / juillet 2015 et plus

La malédiction des phosphates : dans les coulisses polluées et désertifiées de l'agriculture chimique Pour profiter de ce reportage en grand format, c’est ici. Sur les plages du Finistère, les algues vertes prolifèrent de nouveau depuis fin mai. A presque 3000 kilomètres de là, sur le littoral tunisien, les habitants de la ville de Gabès sont confrontés à une grave pollution de l’eau, de l’air et de leurs terres, et redoutent la disparition de leur oasis côtière. Le point commun entre ces maux ? Les phosphates. En Europe, les phosphates sont abondamment utilisés dans l’agriculture comme engrais, en tant que source de phosphore, mais aussi d’azote, de calcium et d’aluminium. Si les conséquences de la sur-utilisation d’engrais phosphatés sont déjà visibles en France et en Europe [2], qu’en est-il en amont de la filière ? Mais où est passée l’eau de l’oasis ? Pour mieux comprendre l’impact du phosphate sur l’environnement, il faut se rendre à Gabès, à 450 kilomètres au sud de Tunis. Mais où est passée l’eau qui faisait autrefois de cet oasis un petit paradis sur terre ? « La mer est malade »

Reportage France 5 sur le lait : ce qu'on ne vous a pas dit Le dimanche 4 mars à 21h30, France 5 a diffusé un reportage sur le lait dans le cadre de "C'est notre affaire", un magazine d'enquête présenté par Claire Fournier. Ce reportage qui s'intitule "Qui veut la peau du lait ?"avait été diffusé une première fois mercredi 29 février en deuxième partie de soirée. L'émission se déroule en plusieurs parties. Dans un premier temps, elle se penche sur le travail des agriculteurs et leurs difficultés, notamment financières. Dans un deuxième temps, les journalistes abordent le sujet des laits végétaux, les allergies et intolérances aux produits laitiers et le végétarisme sous le titre "les anti-lait". Pour conclure l'émission, les journalistes font intervenir en plateau un médecin pédiatre nutritionniste, le Dr Patrick Tounian, sous la figure de l'autorité médicale qui va dire la vraie vérité au téléspectateur sur ce sujet controversé. Mais le Dr Tounian est-il si bien placé pour délivrer au public un avis objectif sur les laitages ?

Les producteurs de lait devant Lactalis : « On veut être payés pour notre travail » Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Julien Lemaignen Sur un tronçon de la quatre-voies bloquée, assis autour d’une table de jardin à l’ombre des roues énormes des tracteurs, Jean-Jacques et une dizaine de ses collègues, producteurs de lait, ont improvisé un barbecue. « Voilà l’empire qu’on a construit », dit avec une pointe d’amertume l’agriculteur de 42 ans (il ne souhaite pas donner son nom de famille), en tendant le bras vers le siège tout de verre de Lactalis, le numéro un mondial du secteur. C’est ici, à Laval, que plus d’un millier d’éleveurs de vaches laitières de six départements (Mayenne, Orne, Sarthe, Maine-et-Loire, Manche et Ille-et-Vilaine) se sont rassemblés avec leurs tracteurs, lundi 27 juillet, pour réclamer une hausse des prix du lait. Les cortèges se sont formés le matin, vers 9 heures, et ont convergé vers ce site hautement symbolique pour les producteurs. Lire (en édition abonnés) : Après la crise de la viande, celle du lait « Qu’ils gagnent de l’argent d’accord.

La malédiction des phosphates : dans les coulisses polluées et désertifiées de l'agriculture chimique Pour profiter de ce reportage en grand format, c’est ici. Sur les plages du Finistère, les algues vertes prolifèrent de nouveau depuis fin mai. A presque 3000 kilomètres de là, sur le littoral tunisien, les habitants de la ville de Gabès sont confrontés à une grave pollution de l’eau, de l’air et de leurs terres, et redoutent la disparition de leur oasis côtière. Le point commun entre ces maux ? En Europe, les phosphates sont abondamment utilisés dans l’agriculture comme engrais, en tant que source de phosphore, mais aussi d’azote, de calcium et d’aluminium. Si les conséquences de la sur-utilisation d’engrais phosphatés sont déjà visibles en France et en Europe [2], qu’en est-il en amont de la filière ? Mais où est passée l’eau de l’oasis ? Pour mieux comprendre l’impact du phosphate sur l’environnement, il faut se rendre à Gabès, à 450 kilomètres au sud de Tunis. Mais où est passée l’eau qui faisait autrefois de cet oasis un petit paradis sur terre ? Photo du GCT, mars 2015 :

Le lait : une imposture ! Le lait est l’aliment développé par l’évolution des mammifères pour le développement des nouveau-nés. La consommation de lait de vache et de produits laitiers tout au long de l’existence est un comportement relativement récent dans l’histoire d’Homo sapiens puisqu’il apparaît dans de petits foyers humains il y a dix mille ans environ (sur les 7 millions que compte l’espèce humaine). Cette consommation tout au long de la vie ne prévient pas les fractures osseuses comme le fait croire l’industrie laitière, et elle a des conséquences sur la santé que l’on commence seulement à cerner. Vous avez déjà vu une vache boire du lait ? Or, il faut savoir que les protéines de lait des animaux (surtout celles de la vache, mais aussi de la brebis et de la chèvre) ne conviennent pas du tout à l’homme. Le lait de chaque mammifère n’est pas seulement parfaitement adapté aux besoins particuliers des petits de sa propre espèce, mais il convient uniquement aux premiers mois de leur vie. Nourrissons Non !

Nuit de la détresse chez les éleveurs Une situation explosive obéissant à des causes convergentes sur fond de spéculation à la hausse ou à la baisse sur les denrées alimentaires est en passe de dégrader de manière durable la situation économique et financière de nombreuses exploitations agricoles françaises spécialisées dans la production de lait, de viande bovine et porcine, voire ovine dans un cours laps de temps. Pour comprendre de quoi il retourne, il faut savoir que les prix payés aux éleveurs de bovins et de porcs ne couvrent plus les coûts de production depuis plusieurs mois. Ces derniers mois aussi, le prix moyen du lait est tombé à 300€ la tonne. Ce qui ne permet pas de gagner sa vie en travaillant durement dans un métier où il faut traire les vaches deux fois par jour et 365 jours par an. La canicule devient un facteur aggravant pour les éleveurs avec au moins trois conséquences négatives cumulées. Les prairies se dessèchent au point de ressembler à des paillassons.

Ce que révèle notre haine des yaourts à la cerise C’est un phénomène souvent constaté dans les frigos, ceux des grandes familles ou des colocations. On pourrait l’appeler la constante du yaourt maudit. Quand un paquet de yaourts est entamé, certains pots sont vite dévorés, d’autres sont délaissés et restent abandonnés parfois bien longtemps après que leur date limite de consommation conseillée soit dépassée. On avait cette simple impression : le goût cerise semble être le plus souvent mal-aimé. Capture d’écran d’une recherche de pages Facebook concernant les yaourts à la cerise (DR) Première confirmation après un tour rapide sur un moteur de recherche. Nouvelle confirmation en interrogeant Isabelle Kaiffer, responsable des études au cabinet Nielsen : « Le parfum des yaourts à la cerise est très segmentant. Haters de la cerise Viens alors LA question qui tourmente les haters du produit lacté goût cerise : Pourquoi les marques continuent-elles à glisser ces yaourts que tant de gens détestent dans leurs paquets de 8 ou de 16 ? Liste flippante

Produits laitiers : toute la vérité - Ces pédiatres très proches de l'industrie laitière Dans un éditorial de 2008 des Archives de pédiatrie, des médecins du comité de nutrition de la société française de pédiatrie défendaient « la place essentielle des laitages » en appuyant leur démonstration sur un petit nombre d’études sélectionnées, presque toutes payées par l’industrie. Cet éditorial est largement présenté par l’industrie laitière comme la « preuve objective » de l’intérêt des laitages. Par exemple, le CERIN, qui est l’organe de propagande de l’industrie laitière, explique que « les pédiatres ont décidé de réagir dans un éditorial très documenté». Lire l’éditorial de la société française de pédiatrie et la réponse argumentée de Thierry Souccar à ce texte. Des pédiatres proches de l'industrie Mais qui sont ces pédiatres qui montent au créneau pour défendre les laitages ? L’auteur principal de l’éditorial favorable aux laitages est le Dr Michel Vidailhet, un pédiatre de Nancy. Des Archives de Pédiatrie bien embarrassées LaNutrition.fr reproduit cet article ci-dessous.

Crise du lait : Le plus terrible, on avait raison - 04/09/2016 Sept ans après la “ grève du lait ”, Fabien Laurentin, éleveur à Assais-les- Jumeaux, figure emblématique de l’Apli 79, sort de son silence. Amertume. Sa sérénité presque retrouvée tranche avec le désespoir ambiant chez les éleveurs laitiers. Depuis qu'il a repris en 2007, avec son frère David et sa mère, la ferme familiale d'Assais-les-Jumeaux, Fabien Laurentin commence à peine à retrouver le chemin de la confiance. " Le lait, on nous le volait ! C'était en septembre 2009, énième crise laitière, même cause et mêmes effets qu'aujourd'hui. nr.niort@nrco.fr L'association Apli 79 organise une journée « fouées » le samedi 1er octobre, à Assay-les-Jumeaux.

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