La route panaméricaine
Route panaméricaine La transaméricaine relie le nord de l’Alaska à la Terre de Feu. Sa longueur varie de 24 000 à 48 000 km selon les sources, en raison du décompte d’axes secondaires ou de sections ne faisant pas officiellement partie du réseau. Le réseau routier fédéral des États-Unis est officiellement reconnu comme faisant partie du système panaméricain, sans axe privilégié, ni signalisation particulière. Conçue en 1923 pour être une route unique, la panaméricaine est finalement un raccord de différentes autoroutes construites par les pays participant au projet. La connexion du nord au sud est quasiment achevée : en 1997, il restait à réaliser deux tronçons totalisant 87 kilomètres au niveau du Panama (dans la province de Darién) et de la Colombie, mais la nécessité de traverser des parc nationaux suscite une forte opposition et occasionne un retard important. Des travaux ont été réalisés récemment et permettent d’emprunter une route asphaltée jusqu’à Yaviza.
Les États-Unis et Cuba, 50 ans de relations très compliquées
Voir la vidéo Francetv info Mis à jour le , publié le En 1959, Fidel Castro prend le pouvoir à La Havane en renversant le général Batista, honni des Américains. Pour les États-Unis, Castro n'est pas encore considéré comme un ennemi. Washington reconnaît même rapidement le nouveau gouvernement cubain. Mais Castro nationalise rapidement les sociétés américaines. Nouvel affrontement en avril 1961. En 2008, Fidel Castro passe la main à son frère Raul. Le JT
Les États-Unis : des cartes récentes sur la puissance américaine
De nouvelles cartes des États-Unis permettent d’étudier la puissance américaine : les cartes du n° 64 de la revue Questions internationales (novembre-décembre 2013), « Etats-Unis : vers une hégémonie discrète », mises en ligne dans la cartothèque de la Documentation française, le 24 mars 2014. - Les accords de libre-échange des États-Unis en 2013, - États-Unis : importations et exportations de marchandises en 2012, - Les déploiements militaires des États-Unis entre 2000 et 2012, - Chômage aux États-Unis en 2010,
Annale d'Histoire-Géographie (Pondichéry) en 2015 au bac ES-L
Filières du bac : ES - LEpreuve : Histoire - GéographieNiveau d'études : TerminaleAnnée : 2015Session : NormaleCentre d'examen : PondichéryDate de l'épreuve : 15 avril 2015Durée de l'épreuve : 4 heuresCalculatrice : Interdite Extrait de l'annale : Première partie : Histoire. Un sujet de composition au choix parmi deux propositions. La Chine et le monde depuis 1949 ou La gouvernance économique mondiale depuis 1944. Deuxième partie : Géographique. Share5 Tweet1 Share4 Télécharger le PDF : Sujet officiel complet (831 ko) Code repère : 15HGLEIN1 Cette ressource est également accessible depuis les chemins suivants :
COMPRENDRE. "Occupy Wall Street" : qui sont les Indignés made in USA ? - 14 octobre 2011
C'est LA curiosité du moment. On les présente comme "la version de gauche" des Tea Party. Le mouvement, comme un "Octobre américain". Aucun signe d'essoufflement à l'horizon, au contraire. Qui sont-ils et que veulent-ils ? 1. Le mouvement est né presque spontanément le 17 septembre dans le quartier d'affaires de New York après un appel pour occuper Wall Street, façon place Tahrir au Caire (Egypte). 2.000 personnes ont décidé alors d'occuper jour et nuit un parc public, Zuccoti Park, rebaptisé "Liberty Plaza" à proximité de la Bourse de New York. A l'origine de l'idée, certains évoquent un appel au rassemblement du magazine de contre-culture et anti-capitaliste canadien "Adbusters" (casseurs de pub), mi-juillet. A Washington, le mouvement qui s'appelle "Occupy DC" occupe la place McPhearson de la Liberté, entre le Capitole, la Maison Blanche et le Département du Trésor. 2. 3. Elles sont en effet multiples : contre les inégalités, le fardeau fiscal, la guerre, le changement climatique...
Schéma intermédiaire : le continent américain entre tensions et intégration
Il traînait dans les tiroirs de la Géothèque, ce schéma ! Il n’est pas au programme du baccalauréat mais il peut servir à réviser le chapitre sur le continent américain et la notion d’intégration régionale. A. B.
Les Origines - Le Bolivarisme
Le Bolivarisme est né à partir du Congrés de Panama qui eut lieu en 1826. Ce Congrès avait pour but de réunir les ambassades de pays sud américains libres (Mexique, Guatemala, Colombie, Chili, Pérou, Argentine...) dans ce que Bolivar lui même appellait l'isthme de Panama (Panama actuel), ce Congrès a également réuni un agent diplomatique qui reprèsentait l'Empire Britannique. Il eut l'idée de choisir ce lieu comme rendez-vous car il disait que le Panama était l'endroit idéal pour être le centre du monde car d'un côté se trouvait l'asie et de l'autre l'Afrique et le vieux continent. Ce mouvement est né en même temps que la Panaméricanisme c'est à dire après l'indépendance de l'Amérique toute entière. Le but de ce Congrès pour Bolivar était de réunir les plus grands états de l'Amérique Latine : "L'objectif de ce congrès est de former le ligue la plus vaste ou la plus extraordinaire ou la plus puissante qui n'as jamais vu le jour sur Terre"
Colombie : un accord de paix conclu avec les FARC après 52 ans de guerre civile
Le Monde.fr avec AFP et AP | • Mis à jour le Après quatre ans d’intenses négociations et plus d’un demi-siècle d’affrontements, la guérilla des Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC, marxiste) et le gouvernement de Bogota ont annoncé, mercredi 24 août, être parvenus à sceller un accord de paix historique. Ce texte est présenté par les deux parties comme « final, intégral et définitif sur la totalité des points à l’agenda » des pourparlers menés depuis novembre 2012 à La Havane. Un communiqué, lu par le diplomate cubain Rodolfo Benitez, résume : « La mise en œuvre de cet “accord final pour la fin du conflit et la construction d’une paix stable et durable” mettra définitivement fin à un conflit armé de plus de 50 ans. » « Nous sommes arrivés à bon port. Avant de pouvoir déclarer la fin du conflit, le plus ancien d’Amérique latine, le gouvernement devra soumettre le texte présenté mercredi au peuple colombien lors d’un référendum organisé le 2 octobre.
Bresil folie des grandeurs
Etats-Unis-Brésil : rôle mondial, dynamiques territoriales | Cahiers d'histoire géo
Deux états en concurrence pour l’intégration régionale, mais une puissance mondiale affirmée et une puissance émergente qui s’affirme. Comment peut-on analyser la puissance des États-Unis et celle du Brésil ? Quels points communs et quelles différences existe-t-il entre une puissance émergente et une puissance qui tente de défendre son hégémonie ? I – Le rôle mondial des deux géants des Amériques A – Les aspects et les limites de la puissance Deux grandes puissances économiques Une puissance militaire : le « hard power » américainUn Brésil qui s’affirme sur la scène internationale et apparait comme le leader de l’Amérique latine Deux grandes puissances démographiques, attractives pour les migrants Des modèles culturels à la diffusion continentale et mondiale Les Etats Unis : une économie mondialiséeL’influence culturelle : le « soft power » américainLe Brésil : État ouvert sur d’autres formes de mondialisationUne des grandes puissances émergentes Un peuplement progressif
Géopolitique Comment le Brésil voit-il le monde ? Réponse - Amérique du Sud
LE BRESIL, en raison de ses dimensions et de son développement récent, est devenu l’objet d’une attention croissante sur le plan international. Le pays est l’un des nouveaux émergents des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud). La présence croissante de ces puissances est parfois interprétée comme un élément d’incertitude pour le système international, du fait qu’elles défendent une reformulation de l’ordre existant. Le traitement des questions internationales à partir de l’image des « BRICS », néanmoins, entraîne le risque d’homogénéiser des pays distincts. La permanence d’un objectif : le développement Le développement économique et social du Brésil, fondé sur une idée d’autonomie dans la prise de décisions, reste la pierre de touche de la politique et de l’économie brésiliennes. Le Brésil deviendrait en 2030 la quatrième économie du monde. D’un autre côté, il reste des défis importants et centraux pour l’État et la société brésilienne. Une circonstance géographique .