Comment citer un ouvrage, un article ou un chapitre d’ouvrage collectif ? | Devenir historien Source : via Wikimedia commons En ces temps de rédaction de mémoires (pour celles et ceux qui achèvent leur master) ou de préparation de projets de recherche (pour celles et ceux qui vont l’entamer), il me semble utile de publier ici un petit rappel des normes de citation des références bibliographiques. Notez d’emblée que vous trouverez peut-être autant de « normes » que d’interlocuteurs. Il y a toutefois deux règles immuables : 1/ la seule mention de l’auteur et du titre ne suffiront jamais : il faut indiquer le maximum d’informations permettant d’identifier précisément la référence que vous citez ; 2/ l’uniformisation des références bibliographique est indispensable : une fois un mode de citation des références adopté, il faut vous y tenir pour tout le mémoire. . « Règles » de base pour… …un ouvrage – Auteur, Titre, Ville d’édition, Éditeur, « Collection », Année, Nombre total de pages. Exemple : Chatriot, Alain, La Démocratie sociale à la française.
Ratio atque institutio studiorum Societatis Iesu ... La musique à Rome au XVIIe siècle : études et perspectives de recherche - - École française de Rome Dix-neuf spécialistes venus d’horizons différents, musicologues et historiens de la littérature, des spectacles ou des pratiques culturelles, étudient dans cet ouvrage la musique à Rome au XVIIe siècle, cherchant à mettre en lumière ce qui fait la spécificité de leurs méthodes respectives. Sans prétendre combler l’absence, souvent déplorée, d’un ouvrage de synthèse tant sur le plan historique que dans le domaine strictement musicologique, le présent recueil d’études fournit au lecteur un outil de travail qui mêle informations inédites et perspectives de recherche, de façon à répondre à diverses questions : comment étudier la musique à Rome au XVIIe siècle, avec quels instruments écrire son histoire, quelles sont aujourd’hui les tendances de la recherche et est-il possible de dégager certaines lignes théoriques et pratiques susceptibles d’orienter les travaux futurs et de leur fournir un cadre d’ensemble ?
Céline Drèze Curriculum vitae complet Projets de recherche Thèse de doctorat (soutenance le 18 octobre 2011) : "Les jésuites et la musique dans les provinces gallo- et flandro-belges (2e moitié du 16e siècle - 1773)". Ses recherches portent sur la culture musicale au sein des maisons religieuses - particulièrement les jésuites et les prémontrés (chanoines et chanoinesses) - et s'inscrivent dans une perspective de valorisation du patrimoine musical. - Etude de la vie et de l'oeuvre du compositeur jésuite Louis Le Quoynte (1652-1717), préfet de musique dans les collèges de Mons, de Valenciennes et au collège wallon de Saint-Omer où il séjourna durant les vingt dernières années de sa vie. - Edition en facsimile des Airs spirituels nouveaux (Valenciennes, 1696) de Louis Le Quoynte, s.j.. - Transcription des Psalmi concertati (Anvers, 1704) et des Compositione sacre (Anvers, 1708) de Louis Le Quoynte, s.j. - Etude du patrimoine musical du Hainaut (17e-18e siècles) (infos) Publications Travaux publiés
Antoine de Bertrand Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Une jeunesse auvergnate[modifier | modifier le code] Dans le Toulouse des humanistes[modifier | modifier le code] En publiant deux livres de musique sur les Amours de Ronsard, Bertrand s’insère dans une mouvance qui voit également Pierre Cléreau (1566), Philippe de Monte (1575), Guillaume Boni (1576), Jean de Castro (1577) ou Jean de Maletty (1578) publier des œuvres similaires. Il va jusqu’à imiter Ronsard, qui avait publié les Amours de Marie suivi des Amours de Cassandre, deux femmes, aimées, en dédiant son premier livre à Anne et le second à Marie, deux siennes amies[2]. La préface du Ier livre des Amours mentionne que Bertrand pouvait encore ajouter cinq ou six livres à celui qu’il vient de publier, ce qui signifie qu’il a composé longtemps avant de publier ses œuvres ; plusieurs dédicaces de ses amis le pressent de les mettre au jour sans hésiter encore : « Mais pourquoi mon Bertrand ? Carroll D.
Musique et astrologie après le concile de Trente La musique terrestre est le reflet de l’harmonie des sphères célestes mais l’homme n’a pas seulement contemplé les étoiles pour leur parfaite structure, il les a aussi interrogées pour comprendre leur influence sur le monde sublunaire. Dans ce questionnement astral, la musique sert de lien entre l’homme et les planètes. Unissant l’histoire de l’astrologie et la musicologie, l’auteur propose un parcours théorique et pratique à travers la constellation des rapports entre l’astrologie et la musique dans l’Europe marquée par l’esprit post-tridentin en se centrant sur l’Italie du XVIIème siècle. L’interpénétration des connaissances magiques, musicales, mathématiques, astronomiques et astrologiques dit une époque qui cherche à harmoniser les lois cosmiques et éternelles avec la fugacité terrestre.
Entre rhétorique et musique approx. 375 p., 160 x 240 mm, 2014 ISBN: 978-2-503-55160-9 Languages: French, Latin, Greek Paperback The publication is in production. (06/2014) Retail price: approx. Une étude philologique et anthropologique des théories et des pratiques du latin antique et médiéval. « La science de l’éloquence politique est une musique ; la différence avec le chant et la musique instrumentale est une différence de degré et non de nature ». Marie Formarier, ancienne élève de l’Ecole Normale Supérieure de Lyon et agrégée de lettres classiques, est ATER à l'Université Stendhal-Grenoble 3. ENTRE RHETORIQUE ET MUSIQUE. Chapitre 1. Chapitre 2. Chapitre 3.Rythme et segmentation : bases théoriques. 1. Chapitre 4. Chapitre 5. Chapitre 6. Conclusion générale. Poésie latine à haute voix (1500-1700) L’ouvrage, qui rassemble huit contributions de néo-latinistes mais aussi de musicologues, se donne pour ambition d’explorer les différents types d’interprétation à haute voix de la poésie latine dans l’Europe des temps modernes, qu’il s’agisse de lecture, de récitation, de jeu théâtral ou de chant. A travers trois sections cohérentes consacrées à l’école, à la musique et aux cénacles romains, ce recueil d’études inédites et novatrices contribue à mettre en évidence la dimension sonore et collective que pouvait revêtir jadis la poésie latine, et à ouvrir des pistes de réflexion sur ce que cette double dimension impliquait pour les différents acteurs en jeu : auteur, compositeur, interprète, public. Lambert Isebaert, professeur ordinaire à l’Université catholique de Louvain (Louvain-la-Neuve), où il enseigne la philologie latine et la linguistique comparative. Auteur de plusieurs publications dans le domaine des études indo-européennes. A dirigé avec P. Swiggers et T.
DRAMATURGIE DE LA TRAGEDIE EN MUSIQUE - HONORE CHAMPION La tragédie en musique, qui naît en France à la fin du XVIIe siècle sous la conduite d'un compositeur, Jean-Baptiste Lully, et d'un poète, Philippe Quinault, a connu un succès considérable, qui en fit le premier genre spectaculaire de son temps. Au beau milieu de la période dite "classique", il était donc permis de faire se rejoindre la poésie, la musique, la peinture et la danse, sur une scène de théâtre. Cependant, c'est précisément parce que cet opéra naissait dans un contexte d'intense réflexion autour de la dramaturgie et de la poétique du théâtre que nous voulons proposer aujourd'hui une analyse systématique des livrets, envisagés non pas comme des textes autonomes, exclusivement "littéraires", mais comme sources ou prétextes à des spectacles si compliqués et apparemment si peu "réglés".