France Barter – ou comment faire du troc entre entreprise Un potentiel de développement en FranceFrance Barter : le premier réseau généraliste d'échanges b2b Le projet de FRANCE BARTER 1. Répondre à la problématique du manque de liquidité des TPE/PME/ETI2. Faire réseau et coopérer au sein d'une SCIC Développer l'échange inter-entreprise à l'avenir1. Des partenaires solides2. Le Barter, traduction du mot " troc " en anglais, est une opération d'échange de biens ou de services entre deux entreprises. D'après une étude du cabinet EDC Consulting, la France pourrait devenir dans un horizon proche un marché solide puisque 65% des PME seraient intéressées par ce mode de financement innovant. Créée en 2014 la SCIC France Barter a été construite pour permettre des échanges impliquant plusieurs parties dans le temps grâce à deux atouts majeurs : Une unité de compte, le Barter €Un statut de coopérative pour assurer la sécurité de chacune des parties engagées. 1. 2. 1. 2.
Interview à 3 voix autour du réseau européen des jeunes coopérateurs Suite à la journée de rencontre pour le lancement du Réseau Européen des Jeunes Coopérateurs, nous avons proposé à 3 personnes présentes de partager leurs sentiments. Chiara Bertelli: Responsable international de Generazzioni, un des mouvements de jeunes coopérateurs italiensRhiannon Colvin : Fondatrice de Alt-Gen, coopérative britannique soutenant la création de coopératives par les jeunesSébastien Chaillou: Président de Solidarité étudiante 1) Que retiendras-tu du rassemblement de Paris?Chiara : Notre rassemblement à Paris était incroyable. 2) Qu’as-tu pensé de la table ronde organisée le lendemain du lancement du réseau, Durant l’AG de Coopératives Europe ? vons parlé. 3) Que vas-tu faire maintenant, quand tu seras de retour dans ta coopératives?
Les vertus du mécénat de compétences: la solidarité bien sûr, mais beaucoup plus encore! [Express Yourself] Pour ceux qui en connaîtraient les contours de façon encore assez vague, petite piqûre de rappel: le mécénat de compétences est la possibilité pour une entreprise de proposer à ses collaborateurs, pendant leur temps de travail -et sans aucune perte de rémunération bien sûr- d'offrir leurs compétences professionnelles ou personnelles à des causes d'intérêt général, c'est-à-dire des associations, fondations, écoles ou universités. Concrètement, un contrôleur de gestion va ainsi pouvoir accompagner la mise en place d'une comptabilité analytique dans une association, un responsable de communication aider à la création d'outils de communication dans une seconde, tout comme ils pourront tous les deux faire du soutien scolaire pour les bénéficiaires d'une troisième ou nettoyer les berges d'une rivière pour une quatrième. Les vertus inattendues du mécennat de compétences
Autour des pratiques collaboratives Pour la première fois de son histoire, notre société est confrontée à la gestion de l'abondance. La création, la contribution, l'expression de millions de personnes est "maintenant sous la main" (M. Serres). Pour bénéficier de cette abondance rendue possible par le numérique, il nous faut apprendre non plus à cacher notre copie, mais à réutiliser, partager, enrichir, et échanger en réseau. Voici une collecte de références de contenus accessibles en ligne pour se former, échanger autour des pratiques collaboratives, des communs de la société contributive, initiée par Michel Briand, Telecom Bretagne, à compléter (wiki ouvert). Pour faciliter cette transition vers un monde du numérique ouvert et en réseau ouvert,nous faisons ici le choix des biens mis en communs en privilégiant les contenus, réseaux qui se place sous le signe du partage et des droits d'usage élargis. Société contributive et Gouvernance contributive Autour de la gouvernance contributive Portraits d'acteurs Collectes Année 2015
Les coopératives symbolisent l'espoir de vivre le travail autrement Les jeunes diplômés sont de plus en plus nombreux à s'engager dans des structures participatives, des entreprises où ils se sentent écoutés. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par François Desnoyers Une entreprise avec un petit supplément d’âme. Voilà comment, en écoutant Arnault Leroy, on pourrait définir une coopérative. Déjà, voici quelques années, tout juste diplômé d’un master en intégration de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables dans la conception des bâtiments, il était entré dans le monde professionnel en rejoignant une coopérative d’activités et d’emploi (CAE). « Dans ma génération, on considère que l’économie sociale et solidaire (ESS) peut répondre à notre besoin de mettre du sens dans ce qu’on fait », résume-t-il. Un mouvement encore minoritaire L’afflux est notamment très fort dans les écoles. Le mouvement reste, certes, minoritaire, mais n’en est pas moins notable. « Une personne - une voix » Implication
Le Familistère n’est pas musée européen mais gagne le prix Silletto « Félicitations à tous ! Nous sommes si fiers de notre prix Silletto ! Félicitations spéciales au Rijksmuseum (Amsterdam, NDLR), musée européen de l’année ! » C’est avec joie mais en restant beaux joueurs que les dirigeants du Familistère ont réagi à l’annonce des résultats par l’European museum forum, sur Twitter (en anglais). Ce jour était très attendu à Guise. Pari gagné pour les glaces solidaires «La Belle Aude» Sauver leur emploi en fabriquant des crèmes glacées de qualité : un an après avoir repris leur usine, les salariés de «la Fabrique du Sud» à Carcassonne savourent leur succès, que saluera mardi François Hollande lors d’une visite. «La Belle Aude, une glace aussi bonne que notre histoire est belle», peut-on lire à l’entrée de la société coopérative et participative (scop), créée il y a un an sur les cendres du fabricant de crème glacées Pilpa. Une initiative sociale et solidaire dont le succès sera salué mardi par le président François Hollande qui s’adressera à cette occasion aux élus de l’Aude. Le groupe Pilpa, racheté fin 2011 par le géant britannique de la glace R&R Ice Cream, emploie 124 salariés à Carcassonne lorsque sa fermeture est décidée peu de temps après. Les glaces «La Belle Aude» sont nées. «La scop? Car, un an seulement après leur arrivée dans les bacs des grandes surfaces de l’Aude, les glaces «La Belle Aude» ont séduit les consommateurs. - Un salarié = une voix -
Cooperatives Europe : Les entreprises coopératives se donnent les moyens de leur développement A l’occasion du grand rassemblement des coopérateurs européens qui s’est tenu à Paris du 22 au 24 avril dernier, les mouvements coopératifs français et européen ont affirmé leur ambition de communication et d’actions de lobbying, pour favoriser le développement des coopératives. Coop FR, organisation représentative du mouvement coopératif français, a accueilli près de 170 coopérateurs européens à Paris, dans le cadre de l’Assemblée générale de Cooperatives Europe, la région Europe de l’Alliance coopérative internationale. Fortes de leurs succès et de leur contribution à l’économie nationale, européenne et internationale, les entreprises coopératives ont réaffirmé leur volonté d’être plus visibles et de se donner les moyens de leur développement. Au niveau national, les entreprises coopératives françaises disposent désormais d’outils de développement dans le cadre de la loi relative à l’économie sociale et solidaire. Source : Coop FR
Quand les ex-Fralib font buffet campagnard à Bercy LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Francine Aizicovici Carole Delga, secrétaire d’Etat chargée notamment de l’économie sociale et solidaire, a peut-être lancé une mode : le « buffet coopératif », composé de produits provenant uniquement de coopératives. Légumes et yaourts des Fermes bio d’Ile-de-France, tofu de Tossolia (Alpes-de-Haute-Provence), aligot de Jeune Montagne (Aveyron), saucisses de Cooperl Arc Atlantique (Bretagne), glaces La Belle Aude de la Fabrique du Sud (Aude), vins d’Alsace de la Cave de Ribeauvillé (Haut-Rhin), thés et infusions de Scop TI à Gémenos (Bouches-du-Rhône) : tel était le menu de ce « buffet coopératif », organisé mardi 21 avril dans les salons de Bercy par Carole Delga. Nouer des partenariats Autour des ministres, comme celui de l’agriculture, Stéphane Le Foll, et de secrétaires d’Etat, se côtoyaient des représentants de la grande distribution et d’organisations professionnelles, notamment de la restauration.