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Amsterdam, une ville plus intelligente que les autres ?

Amsterdam, une ville plus intelligente que les autres ?
Energie, transports, habitat, communications... Révolutionner l'organisation urbaine grâce au numérique : l'idée fait son chemin depuis une dizaine d'années. Avant-goût à Amsterdam, métropole pionnière. C'est un péril imperceptible, et pourtant il pourrait faire sombrer Amsterdam, ville de carte postale aux canaux quatre fois centenaires, dans un cauchemar sans issue. Selon les Nations unies, 75 % de la population mondiale vivront dans des villes et des conurbations en 2050. Plus efficace, moins dépensière Le bureau de Maaike Osieck donne sur le port, à l'arrière de la gare centrale. La dénomination de smart city (en français, plutôt maladroitement, on dit « ville intelligente ») s'est imposée partout dans le monde depuis huit ans. Deux grands secteurs sont prioritairement concernés lorsqu'une municipalité investit dans des protocoles pilotés par des technologies numériques : la circulation routière et la consommation d'énergie. Ecoconception et recyclage L'âge du télétravail Related:  1 - Habiter une métropoleGéographie

Le créateur de Paypal construit une île où les riches seraient débarrassés des politiciens En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez nos CGU et l'utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d'audiences et vous proposer une navigation optimale, la possibilité de partager des contenus sur des réseaux sociaux ainsi que des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts. Pour en savoir plus et paramétrer les cookies... FrédéricBIANCHI Journaliste Inscrivez-vous gratuitement à laNewsletter BFM Business Peter Thiel, le co-fondateur de Paypal, veut créer d'ici 2020 une nouvelle nation implantée sur une île artificielle au milieu du Pacifique. Le monde comptera-t-il une 198ème nation en 2020? Et le projet qui peut paraître farfelu ne l'est pas tant que ça. Une première île à côté de Tahiti Car la motivation des concepteurs de Seasteading est de libérer l'humanité- du moins les citoyens qui le souhaitent- des politiciens en réécrivant les règles de gouvernance du pays que l'on aura choisi. Une île pas trop loin de la terre ferme quand même à suivre sur

Laurent Cailly : Existe-t-il un mode d’habiter spécifiquement périurbain ? L’exemple de l’aire urbaine d’une ville française (Tours). Laurent Cailly Lorsqu’on parcourt les recherches menées dans les sciences sociales sur les modes d’habiter[1], un thème apparaît particulièrement sous-exploité, celui des effets de « contexte ». Paradoxalement, alors que les géographes sont prompts à évoquer, pour expliquer la différenciation des modes d’habiter, le poids des déterminismes sociaux, la place occupée dans le cycle de vie, le genre ou les logiques individuelles, ils interrogent assez peu l’impact du contexte spatial de résidence sur les pratiques spatiales des individus, objet davantage étudié par les sociologues (Authier, 2001)[2]. Dans une société urbanisée de part en part, selon une intensité variable, les géotypes d’urbanité (Lévy 1994, Lussault 2003) fournissent une nomenclature a priori pertinente pour appréhender ces contextes spatiaux. À première vue, les habitants des zones denses et des périphéries, ont des modes de vie contrastés, voire antinomiques. Note

L’explosion des villes C'est en 2007 que la planète a changé de monde. Depuis cette année, la majorité de ses habitants vit en ville. La rupture a été relativement rapide. En 1950, 30 % des Terriens seulement (750 millions de personnes) résidaient en zone urbaine. Dès 2030, les citadins représenteront 60 % des habitants de la planète (5 milliards) et les deux tiers (6,3 milliards) vingt ans plus tard. Population urbaine et rurale dans le monde, en milliards Nations unies, division de la population Une progression continue qui s’explique à la fois par la croissance démographique naturelle des villes, par la poursuite de l’exode rural et par la conquête de nouveaux espaces en périphérie des zones déjà citadines. Pour autant, l’intensité de la transformation varie d’un pays à l’autre. Part de la population urbaine en 1950 et en 2030, en % L’aspect le plus spectaculaire de ce basculement urbain est l’apparition de mégapoles (plus de 10 millions d’habitants).

Journées scientifiques : la ville intelligente, fantasme ou réalité ? « La ville intelligente : fantasme ou réalité ? » Les journées scientifiques de l’Université de Nantes interrogent cette année les nouveaux modes de consommation possibles à l’aide de nos nouvelles technologies… Suivre sa consommation d’énergie à distance grâce à son smartphone, manger local grâce aux potagers urbains collectifs ou encore mieux se repérer en ville grâce à la réalité augmentée font partie des exemples qui représentent ce que sera probablement, la « smart city » de demain… Dans le cadre de la 10e édition de ses « Journées scientifiques », qui s’est tenue le 2 juin prochain, l’Université de Nantes propose 17 colloques scientifiques pluridisciplinaires (droit, planétologie, santé, numérique,…) programmés en simultané à La Cité des congrès de Nantes. Plus de 2 000 chercheurs, enseignants-chercheurs et doctorants de 15 pays sont attendus pour ce qui est aujourd’hui l’un des plus gros événements scientifiques du genre au niveau national… Crédits Musique

Habiter la ville - Amsterdam : découvrir les différentes façons d'habiter avec Street View | Histoire-Géographie-Enseignement moral et civique Le professeur ayant intégré dans l’ENT des images tirées de Maps en mode Street View (Amsterdam), les élèves doivent prendre conscience « qu’habiter la ville » renvoie à de multiples pratiques (Se loger, se déplacer, avoir des loisirs...). Le travail est collaboratif (observation d’image) au sein d’un binôme et coopératif au sein de la classe (mise en commun). Cela amène à préciser un certain nombre de vocabulaire et de notions (ville - cohabiter...) Niveau : Sixième – Transférable en seconde (Thème : La ville durable). Thème du programme : Habiter une métropole – Les métropoles et leurs habitants Capacités et compétences mises en œuvre : Se repérer dans l'espace : construire des repères géographiques - Pratiquer différents langages en histoire et en géographie - Coopérer et mutualiser - Savoir utiliser l’ENT. Documents et outils mobilisés · Le blog de classe sur l’ENT où les images tirées de Google Maps sont intégrées · Google Maps en mode Street View Activité des élèves Évaluation

Au cœur de Bombay : le bidonville de Dharavi Le bidonville de Dharavi situé en plein cœur du Grand Bombay, et le gigantesque projet de re-développement visant à le métamorphoser en quartier huppé de classes moyennes aisées, sont une illustration parfaite de l’orientation néolibérale de la classe politique indienne dans son ensemble, qui reste obstinément sourde et aveugle aux besoins des pauvres, représentant pourtant plus de 60% de la population urbaine de la mégapole indienne. Démonstration. I - Dharavi, un bidonville hors du commun Les bidonvilles (1) s’étalant au ras du sol font partie de l’image d’Epinal de Bombay (rebaptisée Mumbai), au même titre que les gratte-ciels de la capitale financière et commerciale de l’Inde. Une des voies d’entrée dans Dharavi, depuis la station de train de Mahim Parmi cette multitude de bidonvilles, celui de Dharavi est réputé pour être l’un des plus grands d’Asie mais c’est surtout l’un des plus anciens. Aujourd’hui, Dharavi occupe une superficie de plus de 200 hectares. « 90 Feet Road »

Jace, un « Gouzou » dans la ville Les rapports du graffeur avec la mairie n’ont pas toujours été si cordiaux. « En 1995, lorsque j’étais étudiant, la ville était sinistrée. Il y avait peu de tags, mais beaucoup de magasins fermés, recouverts d’affiches pour le 3615, le Minitel rose. » C’est dans ce paysage qu’il a commencé « à interagir » avec ses Gouzous. Finalement « ravagée » par les graffitis, la ville a engagé une politique de nettoyage au tournant des années 2000. Lui-même en a fait les frais pas plus tard qu’en 2015, lorsque les services municipaux ont fait recouvrir une de ses fresques pourtant commandée par un établissement scolaire. « Merci d’égayer la ville », vient lui dire une mère d’élève lorsqu’il repart peindre. « Les gens me disent qu’ils redécouvrent la ville en partant à la pêche aux Gouzous, confie Jace. D’où vient ce nom de Gouzou, au fait ?

Lilie, sans domicile fixe à Quimper : « Juste qu'on me dise bonjour » « Je suis révoltée. Il faut que les choses avancent. » Lilie a aujourd'hui 38 ans et un grand ras-le-bol. Depuis son enfance, elle a connu toutes les galères : placement, viol et la rue pendant sept longues années. Pourtant elle reste debout, souriante. Ses phrases percutantes n'ont d'égal que sa combativité. « La rue ce n'est pas un choix. Personne ne veut vivre dans la rue. » Petite, cheveux courts et grisonnants, les traits tirés par la fatigue, elle marche dans le centre historique. Mon compagnon de galère À force de marcher, elle a parfois l'impression de ne plus appartenir à la société. Un jour, il y a un an, elle en a eu marre. Pas de toit mais des milliers d'idées Seul hic : comment trouver un travail ou un logement quand on a un compagnon à quatre pattes ?

Diaporama : Le gigantesque étalement des banlieues américaines vue du ciel par Christoph Gielen Ces études photographiques aériennes de Christoph Gielen révèlent les géométries cachées de la croissance de l’étalement urbain qui deviennent apparents seulement lorsque nous les percevons du ciel. Ces photos montrent clairement l’étalement en tant que phénomène dépendant de la voiture et comme un mode de vie. Selon Robert Hammond, Co-fondateur et Directeur exécutif du High Line à New York : » Les prises de vues rares de Christoph Gielen depuis le ciel mettent en lumières et interrogent les pratiques de développement dominants. En montrant une monoculture qui manque d’intégration entre les lieux résidentiels, commerciaux et publics, ces photos montrent la nécessite de penser une utilisation plus intelligente de l’espace urbain ». A voir !

# Smart City, la ville de demain | Blue Kiwi A quoi va ressembler le monde de demain ? Comment seront les villes du futur ? Quelles sont les projets aujourd’hui ? Conceptuellement et à l’image des films de science fiction, on imagine la ville du futur à la fois ultra connectée et écologique. Depuis les premiers siècles, les villes ont constamment évoluées et les infrastructures et investissements doivent suivre. « Des quartiers plus sûrs. La ville intelligente : un concept marketing ? Les arguments des sociétés privées et des Etats sont solides et font rêver mais la ville du futur sera elle « sans âme » ? Mais une ville du futur bien pensée et optimisée pourrait permettre à chacun de mieux vivre, avec moins de pollution, une meilleure circulation… ce qui provoquerait une meilleure cohésion sociale et peut être plus d’égalité. Les enjeux de l’innovation en ce qui concerne ville sont donc très importants pour l’avenir des populations. Dans les Smart cities, la Smart home Pauline Laloum WordPress: J'aime chargement…

Mathis Stock : L’habiter comme pratique des lieux géographiques. Mathis Stock Comment appréhender les dimensions spatiales des sociétés humaines ? Afin d’y apporter des éléments de réponse à l’un des questionnements fondamentaux de la géographie, on propose ici une perspective particulière centrée sur les manières dont les individus pratiquent les lieux, bref l’habiter. En effet, deux éléments de contexte concourent à proposer un questionnement centré sur l’habiter : d’abord, un contexte scientifique qui fait que les questions des valeurs ou significations assignées aux lieux géographiques sont investies par les géographes depuis une trentaine d’années. Le deuxième élément de contexte est celui d’un changement sociétal : la mobilité géographique accrue fait advenir une « société à individus mobiles » (Stock, 2001) et procède à une recomposition des pratiques et des valeurs assignées aux lieux géographiques, une recomposition qui touche notamment le rapport entre identité/altérité, familarité/étrangeté exprimé par les lieux.

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