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TIC et pédagogie inversée

TIC et pédagogie inversée
Le concept de pédagogie inversée est de plus en plus populaire actuellement même si cette approche est loin d'être novatrice, comme on le constate dans ce billet d'eSchoolNews consacré au flipped learning. Un certain nombre de contributions en ligne s'en font néanmoins l'écho depuis le début de l'année 2012. Qu'est-ce que la pédagogie inversée ? Pour reprendre la définition de ZoneTIC, la pédagogie inversée est "une stratégie d’enseignement où la partie magistrale du cours est donnée à faire en devoir, à la maison, alors que les traditionnels devoirs, donc les travaux, problèmes et autres activités, sont réalisés en classe". Cette approche aux contours encore flous repose à l'évidence sur l'usage des outils numériques et vise à éviter la dérive d'un enseignement trop frontal et magistral. Blog, carte mentale et pédagogie inversée Vous trouverez ci-dessous un exemple de carte mis à disposition par l'auteur via la plateforme de partage XMindShare : Innovation et pédagogie inversée

Forum des Enseignants Innovants et de l'Innovation Educative L'école inversée, un concept parti «d'en bas» bientôt au top Internet a donné une nouvelle jeunesse et un nouvel élan à l'inversion du temps des devoirs (en classe) et des leçons (à apprendre à la maison). L’innovation est une «vieille» tradition scolaire. Certaines pédagogies sont éternellement «nouvelles», Mais certaines nouveautés vraiment plus nouvelles mérite qu'on s'y arrête. C’est le cas de la classe inversée, flipped classroom dans son idiome d’origine. La classe inversée, c’est le temps des devoirs et celui de leçon qui sont intervertis. Au cœur de la méthode, le caractère actif qu’elle donne à l’heure de cours et l’efficacité attendue d’un suivi de la compréhension et des difficultés des élèves pas à pas. Dans un cours magistral traditionnel, un élève qui n’a pas compris aura peut-être peur, ou la flemme de poser une question… On a tous vécu ça. Les élèves peuvent travailler en petit groupe, s’expliquer les choses entre eux, résoudre un problème en collectivement. Alors que donne la classe inversée? Idem pour David Bouchillon :

OUTILS WEB GRATUITS Les capsules de profs c’est bien… Les capsules d’élèves c’est mieux ! Cet article fait suite à celui-ci (d’où son titre). On voit fleurir de plus en plus de capsules vidéos d’enseignants (je m’inclus dans le lot) et c’est une très bonne chose ! Comme vous le savez sûrement, je regroupe d’ailleurs les miennes sur L’idée est vraiment chouette et nous vient de nos amis Canadiens. La capsule du prof est ludique, visuelle, simple à comprendre, donc un plus pour l’élève mais, on en revient toujours à la même chose : les élèves auteurs, les apprentissages au travers de tâches complexes mais surtout concrètes ! De la même manière que je propose aux élèves de réaliser des webdocumentaires en science et en Histoire, la création de capsules a été systématisée et je leur demande régulièrement maintenant de réaliser de très courtes vidéos qui reprennent des notions de français ou de maths qu’ils étudient. Ils le font en groupe et discutent et argumentent sur leurs choix de présentation. Voici quelques capsules réalisées par les élèves.

Présentation | Classe Inversée Ce site a pour but d’expliquer le concept de classe inversée à tous les professeurs qui souhaitent avoir un réel impact auprès de leurs élèves et qui veulent connaitre les meilleures méthodes pour développer une ambiance de classe motivante et décontractée. Exemple de classe inversée Ce concept connait un succès grandissant : de plus en plus de professeurs à travers le monde modifient leur façon de “faire la classe” pour passer à un modèle plus pratique et plus humain. Ce modèle part d’une idée très simple : le précieux temps de classe serait mieux utilisé si on s’en servait pour interagir et travailler ensemble plutôt que de laisser une seule personne parler. La classe inversée : plus qu’une méthode, une philosophie Professeur guidant un groupe de travail Il s’agit donc davantage d’une philosophie que d’une méthode à proprement parler. Un modèle plus humain Les interactions deviennent plus conviviales Les avantages de ce modèle sont multiples, mais le principal est la liberté qu’il procure.

Créer vos eBooks ou livres électroniques Votre établissement scolaire est équipé de tablettes numériques ou de liseuses électroniques et d’ordinateurs PC Windows. Comment créer des supports pédagogiques avec un PC Windows pour les exploiter sur une la tablette numérique ou une liseuse électronique ? Le format ePUB est conçu pour faciliter la mise en page du contenu, le texte affiché étant ajusté pour optimiser la lecture sur les "readers" de livres numériques (liseuses électroniques, tablettes numériques et ordinateurs). Mise à jour décembre 2015 [sommaire] 1. L’eBook, livre électronique ou livre numérique désigne les livres, magazines, journaux, manuels, documents pédagogiques ou toutes autres publications qu’on peut consulter, distribuer ou conserver sous forme de fichiers numériques. Consultez sur EDUSCOL le dossier « Livre électronique, livre numérique (eBook) ». Le eBook peut être présenté sous divers formats (ePUB, FB2, OEB, LIT, LRF, MOBI, PDB, PML, RB, PDF, SNB, TCR, TXT, …). Haut de page 2. 3. 4. Observations : 4. 2. 5. 6.

La pédagogie inversée : bouleversons nos manières d'enseigner !LeWebPédagogique La pédagogie inversée ou classe inversée qu’est ce que c’est? Fini le cours magistral ! La pédagogie inversée laisse l’élève préparer le cours à la maison à l’aide de vidéos, de podcasts, de lectures conseillées par le maître. La séance en classe est alors un grand brainstorming de ce qui a été construit ou pour le moins étudié. On travaille en groupe, on bâtit un projet, on s’entraîne autour de tâches complexes. Un immense bouleversement des pratiques enseignantes. Pourquoi la pédagogie inversée est-elle un GRAND bouleversement ? La pédagogie inversée chamboule les rôles traditionnels à l’école. En effet dans la pédagogie inversée ou classe inversée (« flip classroom » en anglais) la notion est d’abord étudiée seul par l’élève. Il y a donc d’abord transfert de l’information: l’enseignant communique le savoir ensuite l’élève doit être capable de l’assimiler et de le réinvestir ! 2. 3. Je vous invite à consulter ses sources, articles, vidéos et pratiques enseignantes Monsieur Mathieu

Classe inversée : des résultats scolaires nettement supérieurs Au Calhoun Community College, en Alabama, les étudiants sont responsables de connaître la matière avant d’arriver en classe. Sur place, ils travaillent ensemble sur des projets leur permettant de progresser dans leurs apprentissages, tout en menant des discussions significatives avec l’enseignant. Bienvenue à l’ère de la classe inversée! Le concept de classe inversée est très populaire ces temps-ci. Dans les dernières années, le Calhoun Community College a vu sa clientèle augmenter de 25 % en raison de l’explosion démographique. La dynamique de classe inversée s’y est imposée naturellement. « C’est une philosophie et non une méthodologie, note Bobbi Jo Carter, coordonnatrice de l’apprentissage numérique au collège. On a remarqué que les enseignants avaient tendance à devenir des spécialistes de matière et non de pédagogie. « Dans la classe inversée, le rôle de l’enseignant devient central, explique Alice Yeager, enseignante en développement de l’enfant. À lire aussi :

A propos de la classe inversée : quelques réflexions sur la nature de l’inversion. Par Jacques Rodet La classe inversée fait de plus en plus parler d’elle. L’audience de Marcel Lebrun, qui en présente les principes dans ses conférences et qui la pratique, notamment au sein d’elearn2, est réelle et touche des cercles de plus en plus larges d’acteurs de l’éducation et de la formation. Je ne ferai donc pas une présentation détaillée de la classe inversée (cf. le billet de Marcel Lebun « Classes inversées, Flipped Classrooms … Ca flippe quoi au juste ? Hybridation plutôt qu’inversion ? Le principe cardinal de la classe inversée est de confronter les apprenants à l’enseignement, au discours du formateur, aux aspects conceptuels ou notionnels en situation distancielle, à partir de ressources. Dans les expériences de classes inversées les plus abouties, un troisième temps, qui peut être aménagé tant en présentiel qu’à distance, vise à faciliter la conscientisation, par les apprenants, de leurs acquisitions et du processus qui les a permises. Enseigner moins pour qu’ils apprennent plus

La classe inversée, un véritable bouleversement pédagogique ? #1 Est-ce si nouveau ? Depuis plusieurs mois, les classes inversées s'immiscent dans pratiquement toutes les conversations. Schématiquement, il s'agit de faire travailler les étudiants en amont du cours, pour consacrer le temps où ils sont présents avec le professeur à d'autres activités : approfondissement de certaines notions, réponse aux questions des étudiants, mais aussi mise en commun des productions, échanges et débats. Présentée de la sorte, cette pédagogie n'est pas franchement nouvelle : professeur à l'université catholique de Louvain, Marcel Lebrun, notamment, raconte avoir lui-même eu un enseignant qui pratiquait cette méthode lorsqu'il était étudiant. Comment expliquer un tel engouement ? #2 Est-ce forcément numérique ? Si les enseignants n'ont pas attendu le web, les podcasts et les réseaux sociaux pour expérimenter la classe inversée, les outils numériques en facilitent largement la mise en pratique. #3 Faut-il inverser tous les cours ? "Il faut alterner !

La classe inversée : la classe dans le bon sens… Depuis quelques années, les enquêtes sur l’école sont de plus en plus inquiétantes tout particulièrement sur le cycle du collège. Les professeurs constatent de plus en plus d’élèves démotivés, manquants d’implication et une certaine passivité en classe. C’est face à ce problème qu’une méthode venue des Etats-Unis se développe : la classe inversée. Celle-ci est née aux Etats-Unis avec les expériences d’Eric Mazur, Professeur à Harvard et de Salman Kahn. Pratiquée aussi au Canada, peu d’enseignants se sont lancés en France. La classe inversée comprend trois phases. L’élève est mis tout au long du parcours d’apprentissage en situation d’autonomie c’est à dire en situation de faire des choix pour lui-même ou son groupe : ainsi, il choisit le type d'activité ou bien le niveau d’autonomie de l’activité qu’il veut réaliser. Le cœur de tout cela est le plan de travail sur le site internet du professeur qui établit le travail personnel à faire et les activités en classe.

Collaboration et partage : jusqu'où ? Dans les espaces numériques le partage, plus qu'une valeur, est une fonction. Les outils de partage se multiplient. Et bien entendu, le marketing s'en mêle : tous ceux qui ont quelque chose à vendre courtisent les "partageurs" en espérant que leurs recommandations décideront leurs amis à acheter de nouveaux produits. Mais ce raisonnement tient plus de la croyance que de la réalité : les communautés d'amis en ligne regroupent déjà des individus aux goûts similaires, désireux de renforcer leur identité collective en cultivant la normalité. Nombre d'organisations ont connecté leurs collaborateurs à leurs pairs et à l'information sans voir la productivité et la créativité augmenter de manière significative. Ceci, parce que la collaboration n'a pas été suffisamment orientée, et que son sens s'est perdu au fil des conversations. Illustration : Eldan Goldenberg, Flickr, licence CC BY-NC-SA 2.0 La grosse fatigue des réseaux sociaux 9 janvier 2012 "J'aime" ! 8 janvier 2012

#CLOM_REL : le flipped learning | Didac2b Une semaine très riche nous a été proposée par Michèle Drechsler, avec en particulier un développement sur le flipped learning, ou pédagogie inversée. le cours magistral et ses limites De nombreuses ressources et vidéos nous ont expliqué ce que c’était, en commençant par nous expliquer ce qui existait avant. Le cours magistral, qui selon Marcel Lebrun perdure depuis le XIIème siècle. Méthode indispensable avant l’apparition de l’imprimerie, elle n’a plus de sens dès lors que les livres apparaissent et sont diffusés. Les enseignants continuent de répéter et répéter les méthodes, les règles, les procédures, les définitions, etc. En présentiel, on enseigne, et le professeur/formateur donne des informations, tandis que les apprenants prennent des notes. cc by – cliquer pour agrandir Et pourtant, dès 1972, un professeur de Marcel Lebrun avait compris qu’il était préférable que les étudiants prennent des notes chez eux, et posent des questions en cours, ou qu’ils participent à des ateliers… cc by

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