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22 alternatives à la punition (The Natural Child Project)

22 alternatives à la punition (The Natural Child Project)
On peut ne pas adhérer à toutes les propositions, voici quelques clés plutôt simples à mettre en place. Je fais actuellement un challenge, 21 jours sans crier sur mes enfants, car 21 jours, c’est le temps qu’il faut pour perdre une habitude (je vous en reparlerai, je suis à J19 à l’heure où je vous écris, mais il m’a fallut deux bons mois…) Ces propositions peuvent aider à moins crier, à moins punir, et simplement à gagner en sérénité ; à vous de voir ! 1. Je me permettrai de souligner le mot besoin, nous ne parlons pas de désir, d’envie, mais de besoin, qu’il soit physique ou émotionnel. 2. 3. ‎4. ‎5. 6. 7. ‎8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. ‎16. 17. 18. 19. 20. ‎21. 22. (Traduction: Murielle Burgbacher et Françoise Bz et petites modif par moi-même, ex-LEA oblige, je n’ai pu m’en empêcher !) N’hésitez pas à réagir, à dire ce que vous, vous en pensez, pourquoi, etc. Related:  parentalité

Le jeu de la communication émotionnelle avec les enfants Jeanne Siaud-Facchin nous invite à jouer au jeu de cartes de la communication émotionnelle avec les enfants et les adolescents. C’est un jeu qui peut se jouer en groupe (en classe ou lors d’ateliers avec des enfants) ou en famille. Les enfants tirent une carte au hasard et répondent à la proposition qu’ils ont entre les mains. Pour ma part, j’utilise ces cartes avec une élève de 5ème que j’accompagne : je termine chaque séance par une des questions sur les cartes. Ces cartes abordent aussi bien les expériences positives que négatives et donnent l’occasion aux enfants de verbaliser ce qu’ils ont vécu. Le fait de décrire ce que nous ressentons active le cortex préfrontal (siège de l’intelligence rationnelle) qui régule ainsi l’amygdale et le système limbique (siège des émotions irrationnelles). >>>Vous pouvez télécharger et imprimer ces 18 cartes gratuitement en cliquant sur le lien bleu Télécharger le documen [13.98 KB] ci-dessous : Parler des expériences positives Articles similaires

30 propositions pour encourager les enfants efficacement Complimenter consiste à dire une formule d’appréciation positive sur un fait, une action accomplie, passée ou sur un état, sur la personne. Par exemple, affirmer qu’un dessin est joli,qu’un enfant est un bon garçon/ une bonne fille car il/ elle a fini son assiette,qu’un enfant est beau. On peut féliciter gratuitement, énoncer un compliment à la va-vite, à l’envolée, en jetant un coup d’œil rapide au dessin que l’enfant nous tend fièrement, parfois même sans le penser. Le compliment n’engage pas la discussion, peut avoir un côté enfermant, l’enfant se voit coller une étiquette. Certains psychologues mettent même en garde contre les compliments contre-productifs. Les enfants peuvent même devenir dépendants des compliments, ne plus être capables d’agir sans compliment de la part d’un tiers, ils en oublient leur motivation intrinsèque (voir cet article à propos de la motivation intrinsèque). Les enfants attendent des félicitations mais pas seulement. L’encouragement efficace implique donc :

14 CHOSES QUE LES PARENTS DEVRAIENT DIRE 1. N’aie pas peur de faire des erreurs – La plus grande erreur est de ne rien faire et risquer de passer sa vie à regretter d’avoir eu peur d’agir. – Tu ne peux pas apprendre sans faire d’erreur, accepte-le. – Considère tes erreurs comme des expériences qui t’aideront à grandir et à devenir la personne que tu veux être et qui correspond à tes rêves. – Soit tu réussis, soit tu apprends quelque chose grâce à cette expérience. 2. Investis en toi – Tu es ce que tu as de plus cher au monde. – Prends soin de toi. – Occupe-toi de ta tête et de ton corps, tous les jours. – Donne toute ton énergie pour acquérir des connaissances et des aptitudes qui te permettront de réaliser tes rêves. – Tu es ce que tu sais et ce que tu en fais. 3. 4. – Il est important de comprendre rapidement que les autres ne peuvent pas lire dans les pensées. – Dis aux personnes autour de toi comment tu te sens, ce que tu penses de ce qu’ils te disent ou de ce qu’ils font. – Si tu veux quelque chose, dis-le ! 5. 6. 7. 8. 9.

Les phrases à dire à un enfant qui boude Tous les enfants boudent, c’est ainsi. Je vais vous donner aujourd’hui un « truc » pour éviter que cela ne devienne une habitude (à vie!) et pour contrecarrer les séances de bouderies en éloignant la culpabilité parentale. L’effet des bouderies La bouderie provoque chez les parents une remise en question via l’émergence de la douloureuse culpabilité. Ne noyez pas l’enfant sous un amas de questions issues de votre culpabilité Pour sortir un enfant de la bouderie, il est nécessaire d’adopter une stratégie bien précise qui ne consistera pas à lui poser une liste de questions en rapport avec nos propres sujets de préoccupation. Car, si l’enfant constate que bouder fonctionne et vous pousse à vous plier en quatre, il en abusera. Ne soyons pas témoin et complice de bouderies car, en réalité, en cessant d’y porter notre attention pour passer en mode solution, elles disparaitront comme par magie. La formule anti-bouderie (à dire calmement) « Tu es quelqu’un d’important pour moi. Inspiration :

Quand l'écoute empathique ne fonctionne pas : "j'écoute ses émotions et il est toujours en colère" ! Crédit illustration : freepik.com Quand l’empathie semble empirer les choses Parfois, nous sommes frustrés parce qu’on a l’impression de tout faire pour être bienveillant, d’écouter les émotions des enfants mais que cette écoute ne “fonctionne” pas. Pourtant, l’éducation bienveillante ne s’inscrit pas dans une démarche d’efficacité quand cette efficacité est synonyme d’obéissance ou d’arrêt des émotions; l’écoute empathique ne vise pas à se transformer en stop colère ou en stop larmes. Il ne s’agit jamais de transformer les émotions désagréables en calme ou en joie mais simplement de rejoindre l’enfant là où il est pour qu’il se sente compris soutenu et aimé inconditionnellement (avec toutes les émotions qu’il peut éprouver). Les émotions des émotions sont utiles et les accueillir ne doit pas être mis au service de leur négation. Quand un enfant se fâche encore plus Quand le fait de reconnaître les sentiments n’aide pas, voici quelques pistes à explorer : Stupides Lego ! Oh non !

UNAF - Observatoire des familles : Une étude sur les besoins des parents d’enfants de 6 à 12 ans Cette étude menée dans plus de 60 départements par 50 UDAF et 3 URAF a permis de recueillir l’avis de 22 735 parents d’enfants de 6 à 12 ans. Son analyse permet d’identifier les réalités vécues par les parents et leurs attentes, notamment en matière de soutien à la parentalité. La scolarité et les écrans : deux préoccupations majeures Loin d’être un âge « sans problème », les 6/12 ans focalisent nombre de préoccupations des parents : c’est une période éducative clef pour poser des jalons avant l’adolescence. Les préoccupations et les besoins de soutien des parents se focalisent sur la dimension scolaire : suivre la scolarité (77 %), suivre les devoirs à la maison (74 %) ; ainsi que sur l’utilisation des écrans par leurs enfants (81 %). Qui aide les parents ? Quand ils ont besoin de soutien ou de conseils, les parents se tournent vers leurs proches : l’autre parent (82 %), leurs amis (70 %), leurs collègues (64 %). Quel espace ressources pour les parents ? - Retrouvez l’étude complète

Voici 7 erreurs éducatives qui empêchent les enfants de réussir Image crédit : pixabay Tout au long de ses recherches, l’expert en leadership et auteur de livres et de best-sellers en psychologie, Tim Elmore, a repéré les erreurs typiques que les parents commettent en programmant depuis le début leurs enfants pour être vulnérables, et en limitant leurs opportunités pour avoir du succès dans leur vie personnelle et professionnelle. Cet article de Forbes synthétise les erreurs d’éducation qui compromettent le plus les chances de réussite des enfants. Ce texte a été adapté (il ne soulignait que les erreurs), j’ai ajouté les solutions possibles et je les partage avec vous. Nous recommandons à tous les parents et à ceux qui comptent le devenir, de s’arrêter un instant sur ces erreurs typiques pour ne pas les commettre avec leurs propres enfants. PS : Nous n’allons pas rentrer dans un débat sur la définition du succès mais je considère qu’il ne peut de toute façon pas y avoir de succès sans le bonheur. 1. Le monde est plein de dangers, c’est une réalité. 2.

Tabletus ! Une méthode pour accompagner la parentalité numérique Depuis six ans, depuis la création du site de la Souris Grise, nous analysons l’offre et les usages numériques des enfants, nous accompagnons les professionnels dans leurs découvertes numériques et leurs animations culturelles et nous proposons sur les salons et les lieux de culture des ateliers aux familles. Au cours de tous les échanges que nous pouvons avoir avec les parents et les professionnels, le sujet de la gestion des écrans à la maison est abordé. Progressivement nous avons proposé des petites astuces et des conseils pour aider les familles à gérer les écrans sereinement, à cadrer les usages de chacun tout en profitant des atouts du numérique. Voici comment la méthode Tabletus est née ! Face à des discours très contradictoires autour du numérique et des enfants, Tabletus part d’une approche positive et réaliste des usages du numérique familial. Elle propose aux parents de pratiquer une petite gym numérique et d’acquérir de nouveaux réflexes.

Education : l’interdiction des gifles réduirait la violence L'interdiction faite aux parents de gifler ou de donner une fessée à leurs enfants conduirait à moins de violence chez les jeunes. Les résultats de cette étude, publiée dans le journal en ligne BMJ Open, montrent que dans les pays qui interdisent les châtiments corporels à la maison et à l'école, le taux de violence physique est inférieur de 42 à 69% que celui des pays où aucune interdiction existe. En France, une pratique toujours autorisée Pour déterminer si les interdictions nationales pourraient avoir une incidence sur les taux de violence chez les jeunes dans le monde, les chercheurs se sont appuyés sur des données provenant d'enquêtes précédentes sur le comportement des adolescents dans 88 pays. Ils se sont notamment appuyés sur l'étude HBSC (Health Behavior in School Aged Children) de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) et celle de la Global School Based Health Survey (GSHS). En Europe, 23 pays ont interdit la fessée et 53 dans le monde. Une observation à nuancer

Sous le feu des critiques Notre style d’attachement nous suit-il réellement du « berceau au tombeau », comme l’affirmait John Bowlby ? Les enfants qualifiés d’« insécures » deviennent-ils forcément des adultes anxieux, évitants ou dépendants ? Dans son livre Des Idées reçues en psychologie (Odile Jacob, 2000), le psychologue américain Jerome Kagan, professeur émérite à Harvard, a largement critiqué cette idée de « déterminisme infantile ». Pour lui, ce sont de multiples facteurs qui vont influer sur la maturation de l’enfant, et pas seulement le lien affectif à sa mère. Parmi eux, l’origine socioculturelle et les expériences avec des pairs ou d’autres figures identificatoires. Ainsi pour des chercheurs comme Judith Rich Harris et Erin Lee, l’influence des pairs est... [lire la suite] Article de 4302 mots.

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