El regreso de la lucha de clases
De la mano de la última fase de la globalización, de la creciente desigualdad, de la crisis y del final de un modelo de crecimiento económico, la idea de la lucha de clases está de regreso en Occidente. Y esta vez vuelve de la mano no solo de analistas neomarxistas, sino de un financiero como George Soros, o de sociólogos que han alertado sobre lo que está ocurriendo en estas sociedades occidentales. La idea de lucha, conflicto o guerra de clases vuelve a los análisis. Aunque no en la forma clásica. Estados Unidos era un país profundamente optimista en términos sociales. Hace tan solo unos años, algunas encuestas indicaban que un 30% de los ciudadanos se consideraba perteneciente al 10% más rico. Pues la tensión se da entre ricos y pobres o, por precisar, entre muy ricos y muy pobres. “La burguesía en su sentido clásico tiende a desaparecer”, dice un filósofo La población “desclasada”se siente atraída por el autoritarismo Las sociedades posindustriales se han vuelto menos igualitarias.
La concentration des richesses dans le monde en graphiques
La moitié des richesses produites dans le monde se trouve entre les mains de 1 % de la population du globe, selon une étude publiée lundi 19 janvier. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Les Décodeurs Deux jours avant l'ouverture du Forum économique mondial, qui se tient traditionnellement dans la station suisse de Davos, l'ONG Oxfam a publié un rapport accablant sur la concentration des richesses dans le monde. Basé notamment sur des données fournies par un rapport de la banque Crédit suisse, il révèle que 1 % des habitants de la planète possède 48 % du patrimoine, contre « seulement » 44 % en 2009. Le seuil des 50 % devrait être dépassé en 2016. Lire la synthèse : Les 1 % les plus riches posséderont bientôt la moitié de la richesse mondiale Les 52 % du patrimoine restant ne sont pas non plus également répartis : les quatre cinquièmes des habitants les plus pauvres de la planète survivent avec seulement 5,5 % de la richesse produite dans le monde.
La richesse des ménages dans le monde atteint un nouveau record (2014)
Alors que l’économie mondiale tourne au ralenti, la richesse globale des ménages fait un bon de 8,3% en un an, selon l’étude Global Wealth de la banque Crédit Suisse publiée ce mardi. Un enrichissement qui bat de nouveau record pour atteindre le niveau inégalé de 263.000 milliards de dollars en 2013 , soit plus du double du montant enregistré en 2000. Les cours «robustes» des actions et le marché de l’immobilier ont contrebalancé la conjoncture faible, tirant les Etats-Unis et l’Europe vers le haut. Les cours des actions étaient «anormalement» élevés l’année dernière dans certains pays, selon le rapport. Sur le marché de l’immobilier, le prix moyen des propriétés a globalement augmenté de 2,4%, avec de très fortes disparités entre les pays. Sans surprise, l’Amérique du nord prend la tête du classement avec une hausse de 11,4% de création de richesse, cette dernière culmine à 91 billions de dollars (91 000 milliards), soit 34,7% de la richesse mondiale des ménages.
La era de la vulnerabilidad
Dos nuevos estudios muestran, una vez más, la magnitud del problema de la desigualdad que azota a Estados Unidos. El primero, el informe anual sobre ingresos y pobreza, emitido por la Oficina del Censo de Estados Unidos, muestra que, a pesar de la supuesta recuperación de la economía desde la Gran Recesión, los ingresos de los estadounidenses comunes continúan estancados. El ingreso promedio de los hogares, ajustado a la inflación, se mantiene por debajo del nivel de hace un cuarto de siglo. Antes se pensaba que la mayor fortaleza de Estados Unidos no era su poder militar, sino un sistema económico que era la envidia del mundo. Un segundo estudio, el Informe sobre Desarrollo Humano 2014 del Programa de las Naciones Unidas para el Desarrollo, corrobora estos hallazgos. EE UU, según el IDH, ocupa el quinto lugar en el mundo y se encuentra por debajo de Noruega, Australia, Suiza y los Países Bajos. El informe del PNUD hace hincapié en otro aspecto del desempeño social: la vulnerabilidad.
Meet The 80 People Who Are As Rich As Half The World
Wealth 7:01 PM Jan 18, 2015 By Mona Chalabi Eighty people hold the same amount of wealth as the world’s 3.6 billion poorest people, according to an analysis just released from Oxfam. To see how much wealth the richest 1 percent and the poorest 50 percent hold, Oxfam used research from Credit Suisse, a Swiss financial services company, and Forbes’s annual billionaires list. Four years earlier, 388 billionaires together held as much wealth as the poorest 50 percent of the world. Thirty-five of the 80 richest people in the world are U.S. citizens, with combined wealth of $941 billion in 2014. If those 80 individuals were to bump into each on Svenborgia, what might they talk about? There might be some quiet voices in the room, though, because 11 of the wealthiest people on the planet were simply born into their money (19 others inherited their wealth and then made it grow). Oxfam notes that global wealth inequality is increasing while the rich get richer. Source: Forbes, Oxfam
En 2016, 1% de la population possédera plus de richesse que les 99% autres
INFOGRAPHIE - Les richesses dans le monde se concentrent de plus en plus aux mains d'une petite élite fortunée, selon Oxfam. L'ONG réclame un sommet mondial sur la fiscalité. «Les richesses dans le monde se concentrent de plus en plus aux mains d'une petite élite fortunée», indique le dernier rapport de l'ONG Oxfam. Dans cette étude intitulée «insatiable richesse: toujours plus pour ceux qui ont déjà tout», l'organisation internationale tire la sonnette d'alarme. En 2016, les 1% les plus riches de la population mondiale posséderont plus de patrimoine que les 99% restants, affirme l'ONG. Trois grands secteurs sont dans l'œil de l'organisation. «Ce sont des secteurs puissants depuis un moment, note Manon Aubry, responsable de plaidoyer sur les questions de justice sociale et d'inégalités à Oxfam. L'organisation internationale pointe également du doigt le manque de transparence des activités de lobbying de ces entreprises.
Rapport OCDE sur les inégalités de revenu 2013
INTERACTIF. Inégalités : le rapport alarmant dressé par Oxfam
La famille de Liliane Bettencourt, héritière de L'Oréal, est tellement riche qu'il lui faudrait 102 ans pour dépenser sa fortune, à raison d'un million de dollars par jour. Un constat sidérant, mais qui n'est qu'un exemple parmi d'autres évoqués dans le rapport coup de poing que publie ce jeudi Oxfam sur les inégalités dans le monde. A ceux qui en doutaient encore, l'ONG spécialisée dans la lutte contre la pauvreté prouve, au fil de ces 156 pages étayées par une multitude d'études économiques, l'effarante poussée des inégalités à travers le monde. 70% de la population de la Terre vit ainsi dans un pays où l'écart entre les riches et les pauvres est plus important qu'il y a trente ans. Pays développés ou en voie de développement, les inégalités se retrouvent partout : une poignée d'individus détient la majorité des ressources. «Condamnés à rester pauvres de génération en génération» Le pire, c'est que le système ne permet pas aux plus mal lotis de s'en sortir, constate Oxfam.
Coup d'arrêt à la baisse des inégalités salariales depuis la crise
Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le La crise a mis un coup d'arrêt à la réduction des inégalités salariales en France, entraînant un écart grandissant entre les salaires les plus bas et les salaires intermédiaires, selon une étude de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) rendue publique mercredi 19 novembre. « Alors que les inégalités de revenus salariaux baissent globalement entre 2002 et 2007, ce n'est plus le cas entre 2007 et 2012 », détaille ainsi l'Insee dans son dernier rapport sur le « Portrait social » de la France. En cause, selon les auteurs de l'étude : « Un accroissement des inégalités en bas de l'échelle salariale », dont sont victimes les 10 % de personnes qui touchent les revenus les moins élevés. Leur seuil a baissé de 0,2 % par an en euros constants dans les cinq ans qui ont suivi le déclenchement de la crise (2007-2012). La crise a ainsi stoppé la forte progression des très hauts salaires, qui avait cours avant 2007.