La conduite de réunion L’animateur effectue une tâche complexe en favorisant la progression du groupe vers ses buts. Il doit savoir gérer l’ensemble des processus qui s’établissent dans les différentes étapes de la vie d’un groupe. (important : voir les présupposés liés à la communication dans les groupes) Les styles de conduite de groupe l’animation autoritaire qui décide des buts, des moyens et de la répartition des tâches entre les membres du groupe sans tenir compte de ce qu’ils pourraient penser. Deux fonctions pourraient caractériser l’animateur d’un groupe : fonction de production (accompagnement de la tâche)fonction de régulation (processus du groupe). Il doit réussir la difficile tâche de favoriser la cohésion du groupe, tout en sachant que trop de cohésion inhibe la créativité et l’innovation, et entraîne une certaine uniformisation des idées et propositions. L’animateur augmentera la force de proposition et d’expression du groupe par : L’animateur augmente la force de cohésion d’un groupe par : Qui ?
Les notes, à quoi ça sert ? | euronews, learning world Informer chaque élève de ses progrès est une bonne chose. Dans de nombreux pays, cela passe par l’attribution de notes. Mais s’agit-il de la meilleure méthode ? D’autres approches sont-elles préférables ? Nous faisons le point en Uruguay et au Danemark avant de recueillir le point de vue de deux spécialistes de l‘éducation. Uruguay : quand les notes poussent à travailler Dans les écoles primaires de l’Uruguay, comme dans beaucoup d’autres dans le monde, il est important d’avoir de bons résultats : cela suscite parfois du stress chez les enfants et leurs parents et les professeurs peuvent même ressentir une certaine pression quand il s’agit de noter. Au Danemark, les notes sont interdites pour les moins de 13 ans Aucune note avant l‘âge de 13 ans, c’est le principe qui prévaut au Danemark depuis plusieurs décennies. Noter ou ne pas noter, telle est la question !
Education : Les notes conservées à l’école Non, la ministre de l’Education nationale, Najat Vallaud-Belkacem, ne supprimera pas les notes à l’école. Fin donc d’un long suspense. Faut-il voir dans cette décision un énième effet Charlie ? « L'école doit évaluer. Expliquer l’évaluation Najat Vallaud-Belkacem, elle, a précisé à la presse qu’il n’avait « Jamais été question de supprimer les notes ». Notons que le rapport sur l’évaluation des élèves soulevait également – entre autres recommandations – une réforme du brevet.
PPRE - Programme personnalisé de réussite éducative Le programme personnalisé de réussite éducative (PPRE) est un dispositif spécifique d'aide, intensive et de courte durée, à destination d'élèves en difficulté dans l'acquisition des compétences du socle commun. Il nécessite un engagement écrit entre l'élève, sa famille et l'équipe éducative.Le PPRE consiste en un plan coordonné d'actions, conçu pour répondre aux difficultés scolaires rencontrées par un élève et formalisé dans un document qui précise qui précise les objectifs, les modalités pédagogiques, les échéances et les modes d'évaluation. 1. Repérage des élèves Le repérage repose sur les éléments recueillis : à partir de la fiche de liaison cours moyen 2e année (CM2)/6e. Pour l'élève : maîtriser les compétences du socle afin de tirer profit des situations pédagogiques rencontrées en classe ;réduire l'écart entre les compétences acquises et les exigences du socle commun à la fin de chaque cycle ;améliorer l'estime de soi. Pour l'équipe pédagogique et éducative : 7.
JP Antibi : de la "constante macabre" à "l'évaluation par contrat de confiance" André Antibi poursuit ses efforts pour dénoncer les injustices persistantes des évaluations scolaires qui restent avant tout sélectives. Le correspondant du CRAP-Cahiers pédagogiques en Belgique nous propose un écho de son intervention lors d’un colloque sur la réussite scolaire à Bruxelles. Le 21 janvier 2010, nous avons eu le plaisir d’entendre André Antibi, professeur à l’université Paul Sabatier de Toulouse et auteur du livre La constante macabre (éd. Math’aurore, 2003). Comment en sortir ? Ne pas piéger les élèves, accepter la transparence et instaurer un climat de confiance, tels sont les grands principes du système évaluation par contrat de confiance (EPCC) proposé par le conférencier. De nombreuses questions dans le débat Beaucoup d’interrogations ont porté sur la compatibilité du système EPCC avec une approche par compétences inscrite dans les programmes officiels belges. Xavier DejemeppeEnseignant en lycée et formateur
Isabelle Peloux : Passer de la note à l'évaluation L’information scolaire, Paris 1956 ©Robert Doisneau Faut-il continuer de noter les élèves ? Mis en ligne lundi 1er décembre 2014 sur le site du Conseil supérieur des programmes (CSP), un document qui préconise d’« éviter les calculs artificiels des moyennes », relance le débat. Isabelle Peloux, auteur de L’École du Colibri, réagit à cette proposition de réforme. 3 questions à Isabelle Peloux, professeur des écoles, formatrice en relation entre l’enseignant et l’enseigné, accompagnatrice de groupes de parole de parents. Elle a fondé, en 2006, l’école élémentaire du Colibri, dans la Drôme, au cœur de la ferme agroécologique des Amanins. Le CSP préconise la fin des notes à l’école. Supprimer les notes, c’est assurément une façon de se recentrer sur l’apprentissage ; c’est arrêter de chiffrer quelque chose qui n’est pas chiffrable. L’évaluation est-elle la solution ? Est-ce que les notes ne rassurent pas plus les parents ? Propos recueillis par Pascal Greboval et Diane Routex
Analyser des bases de données avec Excel Objectif : Les cadres du système éducatif, qu'ils soient personnels de direction, inspecteurs ou CASU, ont souvent besoin d'analyser et de travailler sur des bases de données existantes quelquefois volumineuses. Se pose alors le problème de choisir un outil pertinent pour analyser ces données. Lorsque ces bases sont correctement renseignées, l'importation dans un tableur de type Excel et l'utilisation de la fonction "tableau croisé dynamique" peut être une solution puissante, rapide et élégante. Présentation par Jacques MERMILLODancien formateur informatique à l'ESEN [ESEN - 15 janvier 2007] Les dix séquences (réalisées dans Excel à partir de captures d'écran commentées) qui suivent, permettent en quelques minutes, de comprendre comment utiliser un tel outil à partir d'un exemple réel dont les noms ont été modifiés.Les 5 premières séquences décrivent les fonctions de gestion et d'analyse de données dans Excel. Si vous préférez télécharger les vidéos, utiliser le clic droit de la souris.
Comment mieux évaluer le travail des élèves Des chercheurs testent actuellement, dans 70 collèges et lycées, une alternative au traditionnel système de notation : l’évaluation par compétences. Si les premiers résultats sont prometteurs, l’expérience est bien loin d’être finie. Décryptage. La nouvelle a fait les gros titres de la presse française il y a quelques semaines : une étude scientifique préconiserait l’abandon des notes à l’école. Des notes subjectives et anxiogènes « Contrairement à ce que l’on a pu lire çà et là, notre but n’est pas de faire disparaître la note pour le plaisir de la faire disparaître, mais d’en promouvoir un usage raisonné pour renforcer la qualité des apprentissages, précise d’emblée Alain Diger, doyen des inspecteurs pédagogiques de l’académie et instigateur de cette expérimentation. Cours de français dans une classe de sixième. La note amplifie les inégalités scolaires et renforce le déterminisme social. Les effets positifs de l’évaluation par compétences
Notes au primaire : Qu'en est-il chez nos voisins ? Nathalie Mons Maître de conférences en sociologie à l’Université de Paris-Est-Marne-la-Vallée et chercheur au LATTS, est spécialisée dans l’analyse internationale des politiques éducatives, Elle a notamment participé en 2008 à un rapport « Responsabilités et autonomie des enseignants », pour la Commission européenne (réseau Eurydice) sur analysait les pratiques d’évaluation des enseignants. Suite à la pétition de l’AFEV, elle analyse ici les pratiques françaises d’évaluation continue à la lumière des expériences étrangères et le débat à l’étranger sur l’évaluation numérique. Que pensez-vous des pratiques de notation en France comparativement à ce qui se pratique dans les pays de l’OCDE ? La France est dans une position particulière par rapport à la fois aux législations et aux pratiques des enseignants à l’étranger. De quels pays s’agit-il ? Longtemps les élèves suédois n’ont pas connu de notation numérique jusqu’en 8ème année, l’équivalent de notre 4ème. Oui et non. Nathalie Mons