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Apprendre avec le téléphone mobile, y réfléchir ensemble

Apprendre avec le téléphone mobile, y réfléchir ensemble
J’ai donc lu Pourquoi et comment utiliser le téléphone cellulaire à des fins pédagogiques ? par Alexandre Roberge Sur Thot grâce au tweet de @W2YDavid « : RT @tjeanbaptiste: /via @thot une lente évolution de la perception du téléphone portable dans l’enseignement #eduipm ». Et cela me donne envie de rebondir. Il n’y a pas tant d’article que ça sur le sujet du mobile pédagogique en France. Alexandre Roberge, donc nous explique que les choses bougent. Dans son analyse, je retiens que quelques commissions scolaires autorisent l’usage des mobiles pour des fins pédagogiques. Il paraît donc intéressant de pouvoir faire une collecte, même anonyme dans un premier temps, pour avoir une idée de ce qui existe, de ce qui est intéressant, de ce qui marche, de ce que cela peut apporter pédagogiquement. Et cela peut même permettre d’interagir dans la classe ! Connected, connected Korea Bref, l’avènement des mobiles amplifie encore les possibilités offertes par le web2.0. Like this: Related:  BYOD

Révolutionnez l’interaction en classe avec un logiciel de TBI collaboratif sur tous les systèmes (ordinateur, tablette, mobile) | Beaucoup d'élèves apportent leurs propres appareils mobiles ou ordinateurs en classe ou encore tablettes. Et les chiffres vont tout simplement continuer à grandir. Mais la technologie mobile ne doit pas être un obstacle supplémentaire pour garder les élèves engagés dans la classe. Il devrait être un outil efficace pour encourager la participation active et l'apprentissage chez les élèves Comment pouvez-vous faire cela ? Tout ce que vous avez besoin est Smoothboard Air, un enseignant, un vidéoprojecteur, un ordinateur avec accès wifi, et une classe d'élèves avec leurs appareils mobiles ou/et ordinateurs, tablettes. Commencez par installer Smoothboard Air dans votre ordinateur. Dernières nouvelles : Deux élèves en même temps au tableau. Plus que des mots :

Réussir la mise en place d'une politique de "BYOD" dans son établissement 3 Shares Share Tweet Email Ce témoignage, recueilli sur eSchoolnews, « Crafting a successful BYOD policy« , pourra paraître un peu « lointain » pour certains qui penseront que le modèle américain est trop en décalage avec notre enseignement pour pouvoir en prendre exemple, mais donne matière à réfléchir sur le BYOD. Aux Etats-Unis, plusieurs écoles font le même constat : le manque de moyens évident qui ne permet plus d’équiper tous les élèves, collégiens et lycéens et d’envisager une politique efficiente de développement du numérique en classe. The Rocky River Schools a déjà investi dans de l’équipement informatique pour les élèves mais dresse aussi le constat que souvent, ces élèves préfèrent travailler sur leur propre matériel. Cela doit se faire en plusieurs étapes, comme l’expliquent le Dr. Mise en place d’une politique de BYOD en trois parties Ensuite, il faut s’assurer de l’état du réseau des établissements : bande passante, WIFI et sécurité internet. Et est ce que ça marche ?

25 ideas for using WhatsApp with English language students | Oxford University Press Philip Haines is the Senior Consultant for Oxford University Press, Mexico. As well as being a teacher and teacher trainer, he is also the co-author of several series, many of which are published by OUP. Today he joins us to provide 25 engaging and useful classroom activities for language learners using WhatsApp. There are three main obstacles to the use of technology in ELT. First is the availability of technology and internet connection in the classroom. WhatsApp or similar messaging services can help overcome these obstacles. Many self-confessed, techno-phobic teachers that I know use WhatsApp on a regular basis in their private lives, so already feel quite comfortable with it. Here are 25 ideas of how to make good use of WhatsApp for language learning. Like this: Like Loading...

L'Agence nationale des Usages des TICE - Le BYOD : pour quel projet pédagogique ? par Karine Aillerie * BYOD (ou BYOT) est l’acronyme de l’expression anglophone « Bring your own device/technology ». Plusieurs traductions francophones ont été proposées, telles que : AVAN (« Apportez votre appareil numérique »), PAP (« Prenez vos appareils personnels ») ou AVEC (« Apportez votre équipement personnel de communication »), retenue par la Commission générale de terminologie et de néologie française. Ce phénomène est apparu aux états-Unis au tournant des années 2000. Il est contemporain de la multiplication des équipements personnels et mobiles, de la diffusion des pratiques connectées dans les divers contextes sociaux (personnels, famille, école, travail…). Concrètement, il s’agit pour l’individu de recourir à ses équipements propres, en contexte professionnel ou scolaire, afin de poursuivre des objectifs professionnels ou scolaires (Alberta Education, 2012). Interroger le potentiel BYOD Une nécessaire réflexion sur l’accès aux ressources Conclusion

Évaluer avec son téléphone portable - CREG Un changement de paradigme nécessaire De l’usage des appareils numériques mobiles en classe L’usage des appareils numériques mobiles dans l’enseignement est un sujet à la fois polémique et passionnant. Il est parfois considéré comme une intrusion, une faille vers le monde extérieur par certains, ou comme un outil incontournable par d’autres. S’il ouvre une brèche vers le monde des connaissances et des relations extérieures à l’environnement de la classe, il ouvre également le champ de nouveaux possibles et celui d’une continuité de l’apprentissage pour l’élève. Depuis dix ans, les appareils connectés, dont les ordinateurs reliés à internet sont la première forme, servent à ouvrir la classe sur le monde. Pourtant, et de façon très surprenante, les appareils numériques nomades sont très souvent mal vus dans l’enseignement et particulièrement au sein de la classe. Changer de paradigme 9. C’est à l’enseignant de donner du sens à l’utilisation des appareils numériques mobiles. ++++Plickers

Que signifie BYOD? (suite du dossier, par Aurélien Fiévez, en collaboration avec Gabriel Dumouchel) Le BYOD, acronyme de « Bring Your Own Device », ou en français AVAN, pour « Apportez Votre Appareil Numérique », est apparu vers 2005 dans les entreprises; il fait son apparition depuis peu dans les salles de classe. La perspective du BYOD est de permettre à l’utilisateur de travailler partout et à tout moment avec son appareil numérique personnel. Dans cette approche, les entreprises y ont vu des économies d’infrastructure alors que l’école y a vu un moyen de favoriser l’apprentissage des élèves. Par ailleurs, notons que la multiplicité des outils technologiques n’étonne plus personne. De nombreuses études se sont penchées sur le sujet et proposent des approches distinctes. Table des matières 1.

"Smartphone et pédagogie peuvent aller de pair" Rachel Panckhurst, enseignant-chercheur en linguistique informatique à l'université Paul-Valéry à Montpellier est spécialiste de la "communication électronique médiée". L'Express : Pourquoi vous opposez-vous à l'interdiction des téléphones portables dans les écoles décidée par le ministre de l'Education, Jean-Michel Blanquer, et qui va prendre effet à la rentrée ? Rachel Panckhurst : Depuis 2010, le règlement intérieur des établissements prône déjà cette interdiction. Au lieu d'accompagner les usages et de responsabiliser les utilisateurs, on interdit. A partir de là, tout se fait en catimini. L'utilisation du portable est importante d'un point de vue pédagogique. Comment concilier l'intérêt du portable et son contrôle pour éviter une perturbation du cours ? Accompagner les usages ne veut pas dire que l'on doit avoir accès au téléphone portable constamment en en classe. Qu'apporte, selon vous, l'utilisation des téléphones pendant les cours ?

Les différents modèles d’intégration du BYOD 3 Shares Share Tweet Email Auteurs : Aurélien Fievez et Gabriel Dumouchel Illustration : Mélanie Leroux En pratique, des enseignants utilisent cette configuration en salle de classe lorsqu’ils permettent à leurs élèves d’amener leur(s) outil(s) technologique(s) personnel(s) afin de réaliser des tâches spécifiques. En effet, elle demande une préparation et une analyse approfondie de l’environnement d’enseignement-apprentissage afin de réussir son intégration. Ce dossier vise à apporter un éclairage pratique et scientifique sur l’utilisation du « Bring Your Own Device » (BYOD). Notons parallèlement que les technologies de l’information de la communication (TIC) font maintenant partie intégrante de la vie quotidienne des citoyens du 21e siècle. Selon l’INSEE, 77% des ménages français utilisent internet, soit une augmentation de 21% depuis 2007. De ce fait, les entreprises ont compris qu’elles ne pouvaient pas ignorer cette nouvelle réalité. Que signifie BYOD ? lu : 6388 fois

Où en est le BYOD au Japon ? Trop dangereux aux yeux des Japonais Si le BYOD connaît un succès important en Amérique ou encore dans la plupart des pays asiatiques, nous savons que deux territoires de ce continent résistent encore et toujours à l’envahisseur. Le premier est Taiwan, cas que nous avons déjà analysé, et le second est le Japon. Il faut dire que pour les entreprises du pays du soleil, le BYOD ne rime qu’avec une seule chose : danger. Une étude réalisée par Kaspersky en 2013 indiquait ainsi que 93 % des compagnies nipponnes estimaient que le BYOD était un danger pour leurs affaires. Pourtant, nous pourrions croire que le Japon avait toutes les cartes en main pour être un précurseur du BYOD. Très technophiles, les Japonais avaient donc tout entre les mains pour faire du BYOD un succès. Les employés nippons se rebiffent Encore à l’heure actuelle, les tablettes tactiles ont dû mal à percer le marché des entreprises japonaises, ces dernières préférant donc les ordinateurs et les téléphones.

Le BYOD est-il trop compliqué ? Loin d’être une nouveauté à ce jour, le BYOD reste pourtant pour de nombreuses compagnies une forme de mystère. Les médias communicants sur le sujet sont pourtant légion, et tous les acteurs ou presque liés au télécom disposent de solution pour aider ces entreprises. Les EMM (Enterprise Mobility Management) et autre MDM (Mobile Device Management), servant à gérer les terminaux mobiles ainsi que les applications (et bien d’autres choses), sont ainsi accessibles parfois à des prix loin d’être abusifs, ceci afin de faciliter le travail des administrateurs et des DSI. Mais cela n’empêche pas le secteur de se complexifier chaque jour un peu plus. La faute tout d’abord à une multitude d’appareils mobiles : de nouvelles marques voient ainsi le jour tous les mois, notamment en Asie, et ces dernières ne restent pas confinées à leur continent et n’hésitent pas à envahir nos marché. La faute aussi à des systèmes d’exploitation toujours plus variés. Toutefois, ne soyons pas pessimistes pour autant.

BYOD : Bluebox s’attaque aux menaces liées aux applications mobiles Bien que de nombreux utilisateurs considèrent généralement que les applications mobiles qu’ils téléchargent sont sûres, plus de 50 % des développeurs avouent utiliser des « raccourcis ou des solutions temporaires » pour lancer leurs applications plus rapidement. En soumettant ces informations à LeMagIT.fr, vous acceptez de recevoir des emails de TechTarget et de ses partenaires. Vous consentez également à ce que vos données personnelles soient transférées et traitées aux Etats-Unis, et vous confirmez avoir lu et accepté nos Conditions d’utilisation et notre Politique de confidentialité. C’est du moins ce qui ressort d’un sondage réalité par Bluebox Security auprès de 400 développeurs d’applications mobiles et plus de 400 utilisateurs. Pour Pam Kostka, Pdg de Bluebox, la situation est telle que les entreprises et les utilisateurs pourraient faire comme si leurs terminaux avaient été piratés : « dans le développement des applications mobiles, la sécurité est au mieux pensée après coup ».

Moderniser l'école : L'exemple du BYOD | Externaute Apporter à l’école son propre dispositif mobile, que ce soit une tablette ou un smartphone, est devenu une pratique commune parmi les jeunes. Les professeurs au contraire ne voient pas toujours cela d’un bon œil: ils craignent de perdre l’attention de leurs élèves et considèrent ce phénomène comme un facteur de distraction. Toutefois, une bonne utilisation de ces dispositifs peut se révéler un outil précieux pour la vie scolaire. Elle peut permettre aux jeunes non seulement d’accéder aux contenus des cours ou à des manuels interactifs, mais aussi et surtout de développer la collaboration active entre élèves et même d’élève à professeur. Avantages à développer Que les écoles soient favorables au BYOD ou pas, une chose est certaine : les dispositifs mobiles sont de plus en plus présents dans l’environnement scolaire. Une approche qui sans aucun doute les prépare à développer leurs capacités à utiliser les instruments de collaboration, ce qui est aujourd’hui fondamental en entreprise.

Le BYOD : entre perspectives et réalités pédagogiques Par Aurélien Fiévez et Gabriel Dumouchel Un dossier conjoint de L’École branchée et de Carrefour éducation. Illustration par Mélanie Leroux Table des matières 1. Ces dernières années, nous voyons apparaître une nouvelle forme d’intégration des technologies en salle de classe : le « Bring Your Own Device (BYOD) » ou « Bring Your Own Technology » (BYOT) ou encore « Apportez Votre Appareil Numérique (AVAN) en français. Ce dossier vise à apporter un éclairage pratique et scientifique sur l’utilisation du « Bring Your Own Device » (BYOD). En parallèle, les établissements scolaires suivent cette tendance alors qu’ils sont de plus en plus nombreux à permettre à leurs élèves d’apporter leur appareil personnel à l’école (Burns-Sardone, 2014). Alors, quelles sont les réalités, quels sont les prérequis et les aboutissants d’une intégration BYOD dans une salle de classe? Que signifie BYOD? Par ailleurs, notons que la multiplicité des outils technologiques n’étonne plus personne. Why BYOD? Références

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