background preloader

Comment réduire le taux d’absentéisme au travail ?

Comment réduire le taux d’absentéisme au travail ?
L’absentéisme est un cas de plus en plus fréquent dans les entreprises. Ayant atteint des proportions énormes cette année (18 %), le temps d’absentéisme est équivalent à 16,6 jours d’absence pour un salarié. Les causes de l’absentéisme sont diverses. Pour pouvoir les réduire au minimum, il faut effectuer un diagnostic et revenir aux sources du problème. Trouver la source Avant de résoudre un problème, il est indispensable de savoir d’où il provient. Un facteur externe ou un facteur interne ? Suivant une étude effectuée au sein de quelques entreprises, les responsables des ressources humaines ont affirmé qu’il existe généralement quatre raisons qui sont à l’origine de l’absentéisme des employés. Les solutions envisageables Certaines entreprises utilisent la contre-visite médicale pour réduire les absentéismes, mais nous savons tous que cette méthode ne résout qu’une infime partie du problème. Un problème des RH ou des managers ? Donnez une note à cet article À propos de l'auteur Related:  MAN 36 - Management des hommes au travail dans l'entreprise

Le management collaboratif, gage de performance pour l’entreprise De nouvelles pratiques managériales sont à l’honneur depuis quelques années : après le management agile ou humain, la tendance est aujourd’hui au management collaboratif. Il place l’homme au centre de l’organisation, bouleversant ainsi les modes organisationnels traditionnels reposant sur un système hiérarchique et pyramidal. Les précisions de Pascal Christin, consultant CSP Formation en management et leadership. Le management collaboratif est l’envie de faire ensemble, d’aimer faire ce que l’on fait avec les autres et de grandir ensemble chacun à son rythme. Poursuivre un objectif communCette pratique favorise la coopération au sein des équipes et avec les managers. Favoriser la prise d’initiative et la créativitéAujourd’hui, les modèles hiérarchiques et pyramidaux de nos sociétés ne fonctionnent plus ! Comment introduire le management collaboratif ? Vers une entreprise sans boss ?

Scénario : Le Relais Les options stratégiques des entreprises Comment la mise en place d’une nouvelle stratégie peut-elle impacter les ressources humaines d’une organisation ? Constatant l’effectif croissant de personnes en situation précaire dans la région Nord-Pas-de-Calais, une équipe de volontaires décide de créer en 1984 une société coopérative baptisée « le Relais » à Bruay-la-Buissière. Le but de l’entreprise nouvellement créée sera de lutter contre l’exclusion en créant des emplois durables pour des personnes en difficulté, en développant l’activité textile et en prenant en charge toute la filière – la collecte, le tri, la valorisation. Le Relais tente de mettre en pratique le principe d’ « économie solidaire » notamment en collectant des vêtements usagés. Le Relais a ainsi pour ambition de réconcilier logique sociale et logique économique en refusant l’assistanat et la course à l’argent.

La motivation. D'où vient-elle ? Comment motiver autrui ? Pourquoi l’élève s’investit-il à l’école ? Qu’est-ce qui fait courir le sportif ? Pourquoi s’engage-t-on dans un travail fastidieux ? La motivation représente l’une des plus grandes énigmes du comportement humain. La recherche en sciences humaines a multiplié les théories et expériences depuis un demi-siècle, dans le sillon du béhaviorisme. Recourant aussi bien à la psychologie qu’aux sciences de l’éducation ou à l’addictologie, ce dossier dresse un état des lieux des savoirs actuels et dégage des pistes concrètes pour motiver les autres, et mieux se motiver soi-même, qu’il s’agisse d’arrêter de fumer, de lever des blocages professionnels ou de réussir un concours.

Ce qui va changer dans l'entreprise avec la réforme du dialogue social Photo : Le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez et son prédécesseur Bernard Thibault lors d'une manifestation pour défendre le droit de grève, à Paris le 18 février 2015 ©afp.com / Kenzo Tribouillard Le Premier ministre a présenté à trois organisations patronales et cinq syndicats le projet réforme du dialogue social, censée lever les verrous à la création d'emploi par les entreprises. "Un projet de loi sera présenté en Conseil des ministres fin mars-début avril. Il sera débattu au Parlement pour être définitivement adopté cet été", a annoncé Manuel Valls. L'accueil des partenaires sociaux a été plutôt favorable. Voici ce qui pourrait changé après promulgation de la loi : Pour les entreprises de moins de 11 salariés, qui n'ont aujourd'hui aucune représentation efficace pour dialoguer avec le patron, une commission régionale composée de 10 salariés et de 10 employeurs de TPE fera office de représentation et de négociation ; Auteur : Pierre Anquetin avec l'AFP

Insultes et menaces au travail : à quoi s'expose-t-on Sur son lieu de travail, tact et délicatesse doivent être l'attitude à adopter. Du côté des employeurs, mais aussi des employés. La liberté d’expression et le droit de critique ne sont pas sans limites. La liberté d’expression est un droit fondamental, consacré par la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen et la Convention européenne des droits de l’homme. Dans le cadre du travail, cette liberté peut comporter des limitations, mais elles doivent être justifiées. Écarts de langage répétés ou non La liberté d’expression ne justifie pas certains écarts de langage au sein de l’entreprise. Privé d’indemnités de préavis et de licenciement, il porte l’affaire en justice. Dans ce genre d’affaires, les juges tiennent aussi compte du comportement du supérieur hiérarchique, qui ne doit pas jouer la provocation ni exprimer des « exigences illégitimes », poussant le salarié à des injures sous le coup de la colère (Cour de cassation, chambre sociale, 8 décembre 2010, pourvoi n° 09-66.770).

Jusqu'où va la surveillance des salariés sur leur lieu de travail L'employeur a t-il le droit de vérifier le contenu des sacs des salariés ou des casiers où ils déposent leurs effets personnels ? Le droit n'empêche pas mais restreint cette surveillance. Selon le 6e baromètre de l'Ifop sur la perception des discriminations dans le travail (janvier 2013), trois actifs sur dix déclarent avoir été victimes d’au moins une discrimination dans le cadre professionnel. Inspection des sacs Sauf circonstances exceptionnelles (en relation avec la sécurité de l’entreprise, par exemple), l'employeur n’a la possibilité d’ouvrir les sacs de ses salariés pour en vérifier le contenu qu’avec leur accord et après les avoir dûment avertis de leur droit de s’y opposer et d’exiger la présence d’un témoin. Ainsi, Mohamed a été licencié pour faute grave après une fouille de son sac. Visite des casiers Un autre salarié, pour étancher sa soif, avait entreposé dans son armoire personnelle trois canettes de bière. Fouille corporelle encadrée L'employeur contrôleur… contrôlé

Bientôt la fin du Comité d'entreprise, des Délégués du personnel et du CHSCT Les partenaires sociaux négocient depuis plusieurs mois une réforme du dialogue social, qui pourrait déboucher sur une "révolution" : une instance unique de représentation du personnel. Une instance unique de représentation du personnel, le conseil d'entreprise Appelé "Conseil d'entreprise", il fusionnerait les mandats des instances suivantes : Les délégués syndicaux resteraient une instance à part, mais devant être désignés parmi les élus du conseil d'entreprise. Cette instance unique serait mise en place dans les entreprises qui comptent plus de 10 salariés. Deux points font toujours l'objet de négociations : le seuil d'effectifs requis pour la mise en place de cette instance : 10 salariés ? La représentation dans les petites entreprises, point de discorde Le texte du Medef propose que le "conseil d'entreprise" se mette en place à partir du 11e salarié. La CGPME s'y oppose, craignant qu'une représentation "formalisée" dans les TPE ne nuise au dialogue social. Le rôle du CHSCT amoindri

Comment mieux vivre au travail La musique ne fait pas qu'adoucir les moeurs, elle remonte aussi le moral des masses laborieuses. La preuve avec la Sonate en ré majeur KV 448 de Mozart -tout est dans la référence- aux vertus relaxantes démontrées par la science, et diffusée dans certaines entreprises soucieuses de dorloter leurs employés. La zénitude, camarades ! Ces dernières années, l'idée du bien-être au travail s'impose peu à peu comme l'envers constructif des risques psychosociaux. >> Gros plan sur le bonheur au travail avec L'Express et Arte >> Heureux au travail? >> Découvrez dans quels pays vous seriez le plus heureux au travail Depuis les années 2000, la qualité de vie au travail, résumée par les pros sous l'acronyme QVT, est un sujet majeur de discussions entre DRH, syndicats, comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail, et direction des grandes entreprises. Mais il est désormais sérieusement pris en compte par les pouvoirs publics. Le fil à la patte des nouvelles technologies

L’indulgence : une vertu à valoriser dans le management Nous manquons souvent d’indulgence et en premier envers nous-mêmes ! Nos ratés ou nos échecs nous marquent plus que nos réussites et avec cette impression que nous sommes coupables. « Que nous aurions pu mieux faire ». « J’aurais pu mieux faire ». Nous avons tous eu cette impression, un jour, dans nos propres jugements face à nos actes. SI elle implique cette connaissance d’une possibilité de faire mieux, elle vous pose aussi en responsable de l’échec que vous avez rencontré. Quel lien entre l’indulgence et l’exigence ? L’un ne va pas sans l’autre. Qu’est-ce que l’indulgence ? Être indulgent, c’est une approche de la situation qui passe par une compréhension de l’erreur, des variables extérieures et intérieures afin de ne pas s’accabler au mauvais endroit et de repérer où l’on peut effectivement faire mieux. Les variables extérieures et intérieures Schématiquement parlant, nous avons tendance à nous référer à des variables extérieures ou intérieures pour expliquer une situation.

Contrat de travail : Les solutions pour l'assouplir Remplacer les CDI et les CDD par un contrat unique, à la fois souple et sécurisé ? Ce ne sera sans doute jamais possible. Mais d'autres pistes sont dans les tuyaux. Inventaire. Je suis prêt à payer de ma poche une statue à l'effigie de celui qui nous proposera un contrat unique, clair et simple. Faut-il en rappeler les contours ? D'où l'idée de l'envoyer promener une bonne fois pour toutes et d'instaurer à la place un seul et unique contrat, à la fois simple et progressif. Il y a cependant peu de chances qu'elle voie jamais le jour, car le contrat unique présente au moins deux défauts majeurs. A défaut de retenir cette idée, les partenaires sociaux pourraient donc se rabattre sur des réformes de moindre ampleur. 1 Allonger la période d'essai Ce projet, régulièrement discuté, a été récemment repris par le maire socialiste de Lyon, Gérard Collomb. Ces deux réformes risquent cependant de ne jamais être adoptées, pour la bonne raison qu'elles sont... illégales. On en est encore très loin.

Compte personnel de formation : ce qui change Le compte personnel de formation (CPF) remplace, depuis le 1er janvier 2015, le droit individuel à la formation (DIF). Avantages, inconvénients et mode d’emploi. Droit individuel à la formation (DIF) et compte personnel de formation (CPF) : quelles différences ? Le CPF finance des formations de 150 heures (ou plus avec des suppléments obtenus auprès de l’employeur ou de Pôle emploi), alors que le DIF ne pouvait être employé que pour des formations de 120 heures. Si vous changez d’employeur, vous pouvez utiliser vos droits sans limite de temps, alors qu’avec le DIF vous n’aviez que deux ans pour le faire. A noter. Qui bénéficie du CPF ? Tout salarié, dès son entrée sur le marché du travail (y compris l’apprenti), se voit ouvrir un compte personnel de formation (CPF) valable jusqu’à sa retraite. Les périodes de travail permettent d’acquérir des heures de formation, utilisables par les salariés en poste tout comme par les demandeurs d’emploi. Combien d’heures seront portées sur le compte ?

Infographie | Les collaborateurs restent impliqués, malgré un climat social dégradé 53% des salariés trouvent que le climat social s'est dégradé puis un an. Tel est l'enseignement du baromètre 2014 sur le climat, le stress et la qualité de vie au bureau, réalisé par Cegos. Même s'ils ne sont plus que 46% à être motivés, les collaborateurs restent très impliqués dans leur travail (71%). Reste que l'insatisfaction coûte cher aux entreprises. En effet, en cas d'insatisfaction, les salariés lèvent le pied (42%) et prennent du temps pour eux au travail (28%). Autre point alarmant mis en exergue par ce baromètre : le stress. 53% des salariés et 68% des managers déclarent subir un stress régulier. Enfin, si la qualité de vie au travail est devenue une préoccupation pour 59% des DRH et 94% des managers, les procédures en cas de risques psycho-sociaux ne sont pas claires, pour 47% des DRH, et seulement 30% ont été formés pour les détecter.

Recrutement 3.0 : ce qui va changer "Que ce soit du côté des entreprises ou de celui des établissements du supérieur, il existe aujourd'hui un réel décalage entre le discours proposé et ce que vivent les salariés et les étudiants au quotidien. Il est temps de s'adapter ; cela fait dix ans que nous sommes entrés dans l'ère numérique." Comme beaucoup d'observateurs du monde du travail, Sandra Enlart, directrice générale d'Entreprise & Personnel et auteure d'"À quoi ressemblera le travail de demain ?" Pourtant, les nouvelles technologies s'invitent dans la réflexion de part et d'autre et occupent de plus en plus souvent le devant de la scène avec la valorisation des nouveaux "outils" qu'elles produisent. Du côté des entreprises, les pratiques RH sont au cœur de ces changements apportés par l'invasion des nouvelles technologies. Autre évolution majeure, le recours aux réseaux sociaux numériques pour le recrutement. Ces nouvelles pratiques sont inséparables de la recherche de nouvelles compétences. UNE e-réputation cruciale

Related: