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VIDEO. Attaque à «Charlie Hebdo»: Les fausses informations envahissent le web

VIDEO. Attaque à «Charlie Hebdo»: Les fausses informations envahissent le web
DÉSINTOX Médias informés trop rapidement... Journalistes vêtus de gilets pare-balles... Selfie de François Hollande... Houellebecq visionnaire... Cédric Garrofé Publié le Mis à jour le Plus c'est gros, plus ça passe. 1. Peu avant 11h39, deux journalistes de 20 Minutes repèrent sur Twitter des messages faisant état de «coups de feu» dans le XIe arrondissement de Paris sur Twitter. Rapidement, plusieurs tweets évoquant la proximité du siège de Charlie Hebdo des lieux a poussé 20 Minutes à contacter le journal par téléphone. Sous le choc, un salarié nous a confirmé qu'une attaque venait d'être perpertré contre des membres du journal satirique avant d'ajouter, précisemment en ces termes: «C'est un véritable massacre. 2. François Hollande n'a pas réalisé de selfie à son arrivée sur les lieux de la fusillade. La pose du chef de l'état est, en réalité, extraite d'une photo réalisée lors des dernières journées de célébration du 11 Novembre à Paris. 3. 4. 5. 6. Mots-clés : Charlie Hebdo Related:  Fake news, hoaxs, rumeurs, intox: détecter, comprendre, prévenir

Faux commentaires : dans la nébuleuse des faussaires du Web Qui est à l'origine des commentaires truqués qui pullulent sur la toile ? Des commanditaires aux petites mains, des agences d'e-réputation au marché noir des forums : tour d'horizon. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual On les trouve partout. Sur Tripadvisor, Amazon, Facebook, YouTube et dans les blogs. Qui sont les personnes qui rédigent ces faux commentaires ? Les commanditaires : de petites structures La pratique est vieille comme le Web, et très artisanale : le faux commentaire est, au départ, une affaire de famille. A l'heure où les clients s'informent de plus en plus sur Internet avant une décision d'achat, l'image que renvoie un commerce ou un produit en ligne apparaît plus que jamais primordiale. Sur un site permettant d'embaucher des rédacteurs de faux commentaires, nous avons par exemple repéré une petite boutique en quête d'un « avis honnête » sur Google+. « Assurez-vous d'avoir une photo sur votre profil Google+. Les commerciaux : des agences d'e-réputation

Faux, rumeurs et desinformation dans le cyberespace - IRIS - janvier 2013_Mise en page 1 CrossCheck : 17 rédactions se mobilisent contre les fake news The following two tabs change content below. Journaliste indépendante, formatrice à Samsa.fr et l'ESJ Pro, chef de projets interactifs. Je jongle entre les piges, les formations et les webdocumentaires. J’ai co-fondé l'événement Diapéro pour promouvoir le diaporama sonore. Le réseau First draft a lancé le 27 février une vaste riposte contre la prolifération des fake news. L'initiative est soutenue par le Google news lab, Facebook et 17 médias français. Dans cet article, First draft détaille le projet CrossCheck, qui repose sur la collaboration des rédactions et la participation du public, le tout avec le soutien de Facebook. Les médias investis dans CrossCheck Liens Sur le même thème

Ces photos trompeuses qui circulent après les attaques de Paris Certains internautes profitent de l’émotion collective pour manipuler des images sur les réseaux sociaux. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Les Décodeurs Entretenir la psychose, faire le buzz, diffuser de fausses informations pour attiser la haine… Les photos détournées qui ont commencé à circuler après les attentats de Paris montrent une nouvelle fois combien certains internautes profitent de l’émotion collective pour manipuler les images à des fins peu avouables, sans que ceux qui les partagent ne s’aperçoivent de la tromperie. Lire Situations de crise : 7 conseils pour déjouer les rumeurs Des scènes de joie à Gaza… qui datent de 2012 Les attentats de Paris ont-ils provoqué des réjouissances dans les territoires palestiniens, comme l’affirmait cet internaute sur Twitter (l’auteur a supprimé son tweet depuis) ? Liesse de joie à Gaza au cris de Allah akbar mort à la France (Al jazeera) abrahambenisaac (@abraham ben isaac ) Des faux messages de la mairie de Paris

Un nouveau cas de fausse menace d’attentat relayée par SMS Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Les Décodeurs Revoici les SMS anxiogènes. Fréquents après les attaques du 13 novembre, ces messages d’« un(e) ami(e) qui connaît un(e) ami(e) » ont toujours la même structure : relayés de proche en proche, ils disent émaner d’une source floue (journaliste, policier, etc.) et alertent sur une menace d’attentat imminente à tel ou tel endroit. Vendredi 11 mars, un nouvel exemple nous a été signalé par plusieurs lecteurs, et semble se propager fortement via SMS et Facebook. Ce message est évidemment un canular. Il est possible, selon nos informations, que ce SMS trouve son origine dans l’interpellation cette semaine de quatre jeunes femmes, dont deux mineures de 14 et 15 ans, qui ont évoqué un projet d’attentat inspiré de ceux du 13 novembre sur Facebook. Ces informations ayant circulé sous forme de télégramme au sein de plusieurs administrations policières, notamment à Paris, il est possible qu’elles se soient répercutées, très déformées, via ces SMS.

Décodex : notre kit pour dénicher les fausses informations Quelle histoire Cyrus ! - Fake news - Francetv Éducation Avec l’élection récente aux Etats-Unis de Donald Trump, vous avez peut-être entendu parler de fake news sans forcément comprendre ce que ça veut dire… Les fake news qu’est-ce-que c’est ? Si on traduit mot à mot, ce sont les fausses informations. C’est très facile de trouver des informations fausses sur internet, tout le monde peut se tromper et un article plein d’erreurs non voulues, même s’il est partagé des milliers de fois sur les réseaux sociaux, n’est pas une fake news. La vrai fake news, elle est différente. C’est une information qui a été écrite pour tromper la personne qui la lit. Retrouvez le deuxième épisode sur la séparation des pouvoirs. Réalisateur : Tom Aguilar Producteur : FRANCE TELEVISIONS - GOLDENIA STUDIOS Auteur : Thibault Chuffart, Cyrus North Production : 2017

Comment meurent les faits : autopsie de la propagation d’une intox C’est une histoire banale, qui n’intéressera sans doute pas grand monde au-delà d’un petit cercle. Et c’est dommage, car elle est pourtant très significative d’une époque où le fait s’efface devant la conviction, et où les pratiques journalistiques les plus basiques semblent oubliées. C’est l’histoire d’une intox comme il en circule tant chaque jour, et surtout l’histoire de la manière dont elle est relayée, amplifiée et crédibilisée par quelques journalistes censément au-dessus de tout soupçon. C’est l’histoire d’un métier qui meurt peu à peu de ces pratiques. Si vous n’avez pas envie de relire toute la polémique, sautez directement au point 5. 1. Tout commence mercredi 7 décembre. Un “expert” va se lancer sur ce chemin. Le 7 décembre, il publie ce message sur Twitter : Le succès est immédiat. 2. Dès publication de cette carte, nombreux sont ceux qui affichent leurs doutes, dans les réponses au tweet de M. 3. M. 4. Tout d’abord il y a Stéphane Soumier. Oui, “culottes courtes”. M. 5.

Guide détecter et éviter de propager rumeurs ? Comment ne pas se laisser piéger par une intox sur le web ? RSLN vous propose trois étapes indispensables pour éviter de participer à la propagation d’une rumeur. Les tragiques événements de novembre l’ont montré une fois de plus : il en faut peu pour que les rumeurs, même les plus insensées, se propagent en temps réel sur le web. Si ce n’est la question de la temporalité, la diffusion d’une rumeur n’a rien de bien nouveau en soi. Pour autant, ni les Etats, ni les médias, ni bien sûr des millions d’internautes n’échappent au phénomène. 1. Cela peut sembler anodin, mais ce qui semble un pré-requis avant le partage est souvent oublié. Site de la publication : est-ce un site institutionnel (ministère, préfecture, etc.) ? Une minutie consciencieuse difficile à tenir dans l’empressement de l’actualité, mais qui évite d’attribuer à Donald Trump des propos tenus dans un autre contexte… et à l’ambassadeur de France aux Etats-Unis de le souffler en place publique. 2. 3.

Attentats du 13 novembre : quelques conseils pour ne pas se faire avoir par les rumeurs Les intox et les fausses informations se multiplient rapidement sur Internet ou par SMS après des événements angoissants. Comment s’en prémunir. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Les Décodeurs Abonnez vous à partir de 1 € Réagir Ajouter Partager Tweeter fermer A chaque événement angoissant (attentat, explosion), les informations arrivent au compte-gouttes et sont parfois contradictoires selon les sources. Partez du principe qu’une information donnée sur le web par un inconnu est par défaut plus fausse que vraie.Fiez-vous plutôt aux médias reconnus, aux journalistes identifiés.

Attaques à Paris : les rumeurs et les intox qui circulent Dans le sillage des fusillades à Paris et en région parisienne, de nombreuses réactions de soutien ont émergé sur les réseaux sociaux, mais aussi des rumeurs et de fausses informations. Le gouvernement a mis en garde contre la propagation de ces rumeurs et édité un guide de bonne conduite, les #MSGU, ou pratique des Médias sociaux en gestion d’urgence. Voici les principales, ainsi que l’explication de leur caractère erroné. 1. Non, quatre policiers n’ont pas été tués Des chaînes d’information et quelques sites ont diffusé durant la nuit une information erronée évoquant quatre policiers tués en neutralisant les assaillants au Bataclan, qui s’est répandue très rapidement. En revanche, un policier en civil, qui n’était pas en service, a été tué rue de Charonne. 2. D’autres médias ont pu donner des informations non avérées, comme dans ce tweet, très relayé. En réalité, il n’y a eu aucune confirmation sur des fusillades ou des victimes aux Halles, à Belleville, au Trocadéro ou à République. 3.

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