L'idée fondamentale du bouddhisme est la causalité (縁起), et si la cause (因果) est perdue, le phénomène (色) disparaît immédiatement." - Sūtra du Cœur. Principe holographique. En physique théorique, le principe holographique est une conjecture spéculative dans le cadre de la théorie de la gravité quantique, proposée par Gerard 't Hooft en 1993[1] puis améliorée par Leonard Susskind en 1995[2].
Son nom métaphorique vient de l'analogie avec l'holographie[3]. Susskind le résume ainsi : Énergie noire. L'énergie noire ne doit pas être confondue avec la matière noire qui, au contraire, ne remplit pas uniformément l'Univers et qui interagit normalement (forces attractives) avec la gravitation.
Naissance de la notion d'énergie sombre[modifier | modifier le code] L'expression dark energy (énergie sombre) a été citée pour la première fois dans un article de Huterer et Turner[1] en 1998, quelques mois après la découverte de l'accélération de l'expansion de l'Univers[DE 1]. En effet, à la fin des années 1990, les satellites et les télescopes ont permis des mesures très précises des supernovæ distantes et du rayonnement fossile micro-onde. Plusieurs caractéristiques observées, notamment l'accélération de l'expansion de l'Univers, conduisent à supposer qu'il existe effectivement une sorte d'énergie (baptisée sombre), dont une des caractéristiques principales serait d'avoir une pression négative, qui la fait se comporter comme une force gravitationnelle répulsive. .
Matière noire. La matière noire ou matière sombre, est une catégorie de matière hypothétique, invoquée pour rendre compte de certaines observations astrophysiques, notamment les estimations de la masse des galaxies ou des amas de galaxies et les propriétés des fluctuations du fond diffus cosmologique[n 1].
En ce qui concerne la composition de la matière noire, différentes hypothèses sont explorées[2] : gaz moléculaire, étoiles mortes, naines brunes en grand nombre, trous noirs, etc. Cependant, les estimations de la densité de l'Univers et du nombre d'atomes impliquent une nature non baryonique. Des astrophysiciens supposent l'existence d'autres particules, peut-être des superpartenaires (tels que le neutralino), regroupées sous le nom générique de « Weakly interacting massive particles » (WIMP).
Détection indirecte de la matière noire[modifier | modifier le code] Le mystère de la matière noire par Benoît Famaey. La Matière Noire. Sūtra du Cœur. Le Sūtra du Cœur (sanskrit : प्रज्ञापारमिताहृदय / Prajñāpāramitā Hṛdaya, chinois simplifié : 心经 ; chinois traditionnel : 心經 ; pinyin : Xīnjīng ; Wade : Hsin¹ching¹ ; cantonais Yale : Sam¹ging¹, japonais : 般若心経 Hannya Shingyô; vietnamien: Bát-nhã tâm kinh ou Tâm Kinh) , texte central du bouddhisme mahāyāna, est probablement le texte bouddhique le plus connu et l’un des plus importants[1] ; il est fréquemment récité par des moines et des bouddhistes laïcs.
Il s'appelle probablement Nirvana par l'hindouisme, du jaïnisme et du bouddhisme que'il est dans un état d'être libéré de tous les attachements. – varipon
Sagesse parfaite = ataraxie non? – jadotf
Il est appelé « Sūtra du Cœur » car il contient le cœur de l'enseignement de la Prajnaparamita.
C’est le plus court des soutras Prajñāpāramitā, un ensemble de textes de longueur très variable écrits entre le Ier siècle av. Ataraxie. Définition[modifier | modifier le code] L'état d'ataraxie est définissable par l'absence de trouble, mais n'est pas uniquement une affaire mentale.
L'étude rationnelle d'une éthique et d'une paix intérieure telle que firent ces trois mouvements philosophiques reste limitée par l'expression de ce sentiment de quiétude. Nirvana (monde indien) Dans son acception bouddhique, qui est la plus commune aujourd'hui, ce terme désigne la finalité de la pratique bouddhique, l'Éveil (bodhi). Il est au-delà de toute description et ne peut être défini que négativement comme la fin de l'ignorance, facteur essentiel de la coproduction conditionnée, et des trois soifs : désir des sens (kāma-taṇhā), désir d'existence ou vouloir-vivre (bhava-taṇhā) et désir d'annihilation (vibhava-taṇhā).
Le nirvāṇa est une forme d'achèvement qui peut être comparé, selon les textes, à l'extinction d'une flamme (individualité ou sens du soi) : de même qu'on ne peut définir un feu qui ne brûle pas, on ne peut définir une personne qui a « exsufflé » les agrégats d'existence (désirs, volitions, conceptions erronées) qui entraînent une personne non éveillée de renaissance en renaissance.
En acte, en puissance. Repère conceptuel. En acte / En puissance Définitions Dictionnaires de référence. Métaphysique d'Aristote. Image mentale. Le terme image mentale est utilisé en philosophie, dans le domaine de la communication et en psychologie cognitive pour décrire la représentation cérébrale mémorisée ou imaginée d’un objet physique, d'un concept, d’une idée, ou d'une situation.
La capacité particulièrement développée des êtres humains à former, mémoriser et utiliser des images mentales, pour appréhender l’environnement et communiquer avec les autres, est intimement liée à l’intelligence. Les biologistes et anthropologues sont partagés sur ce type de capacité chez les autres espèces[1]. Ce débat, présent en biologie, est généralement ignoré dans les autres domaines qui tendent à se concentrer sur la connaissance humaine. Pourtant, l’intelligence adaptative, qu’elle soit humaine ou animale, semble être fortement liée à la capacité à stocker, traiter et faire évoluer un capital d’images et de représentations mentales[2],[3] Naissance et évolution des images mentales[modifier | modifier le code]
Antoine de Saint-Exupéry-On ne voit bien qu’avec le coeur. L’ess. Vision avec le cœur: ceci n'est pas un chapeau (cf. Petit Prince) CLAUDE NOUGARO plume d'ange (live) Nouvel éclairage du monde en filmant à un trillion d'images par seconde. Stephen Axford: How fungi changed my view of the world.
Dans la décision, quelle place pour le corps ? - Isabelle Chaudieu. Can we create new senses for humans? The Reality of Reality: A Tale of Five Senses. Do we see reality as it is? Le Blob: l'intelligence sans neurone. Illusion de la réalité.