Les propositions de l'APHG sur les programmes de collège. Quelques observations sur les projets de programmes d’Histoire-Géographie en Collège : Il ne s’agit pas ici de réécrire ces projets de programmes, publiés au mois d’avril, ni de statuer sur la réforme des collèges, passée par décret depuis, mais d’en commenter la supposée bienveillance, dans la mesure où un très vif débat s’est engagé dans l’opinion publique et la profession.
Quelques coquilles dans le document du CSP [2] (notamment dans les repères annuels de programmation en Géographie page 41), la cacophonie autour de la question obligatoire / optionnel, sa similitude manifeste avec ce qui est actuellement programmé notamment en Géographie, laissent à penser qu’il a pu être publié dans la précipitation, chose surprenante après deux ans de travail... Nos inquiétudes sont fortes. Réformer pour réduire les inégalités entre les élèves ?
La volonté du ministère de tout changer en une seule fois, la même année, nous paraît dangereuse. Le Conseil Supérieur des Programmes. Enseigner une histoire globale indisciplinée. Le globe est devenu notre horizon.
Des historiens et géographes défendent un enseignement qui intégrerait pleinement la profondeur historique et la complexité de cette dimension planétaire. Le ministère sert Lavisse avec Pierre Nora. Rédactrices/Rédacteurs : Hayat Elkaaouachi, Eric Fournier, Fanny Layani, Véronique Servat.
Annoncée par le Ministère de l’Education Nationale, ici plus que jamais porte-parole de l’Elysée, la nomination d’un comité d’historiens pour superviser la rédaction finale des programmes d’histoire-géographie proposés par le Conseil Supérieur des Programmes (CSP) est un procédé antidémocratique. Cette démarche confisque autant qu’elle précipite le dénouement d’une procédure qui s’était déroulée jusqu’ici d’une façon enfin plus transparente que l’opacité qui avait régné sur la rédaction des programmes précédents[1]. En effet, le CSP est un organe indépendant, et les programmes qu’il propose aujourd’hui sont le résultat d’un long travail de concertation mené au sein de groupes mixtes, après une longue période d’auditions. Ces projets de programmes doivent, en principe, être soumis à la consultation des enseignants à compter du lundi 11 mai. Pierre Nora, « instituteur national »[3]. [2]
La Croix Mobile. Certains s’interrogent aussi sur la marge d’interprétation inédite accordée aux enseignants, peu propice à l’émergence d’un « récit historique fédérateur ».
L’histoire est l’histoire. Une matière sensible. Une part de passé qui façonne notre présent. Inventaire non exhaustif des âneries du Métronome « Strathistorique. Soyons brefs et efficace (non je déconne, ça sera long, rude, et j’espère détaillé).
Les historiens de garde - Laïcité : 300.000 enseignants formés d'ici à fin 2015 - Les Echos. Politique Procès du Carlton : DSK maintient ne jamais avoir su Appelé à la barre ce mardi, l’ex-président du FMI a redit qu’il ne savait pas que les femmes qui participaient aux soirées « libertines » étaient des...
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Plutôt que de se remettre eux-mêmes en cause, les politiques quasi unanimes, complaisamment relayés par les sondages et les médias, ont trouvé leur bouc émissaire. Les historiens, Vichy, Gramsci et Zemmour : l’erreur de perspective. [En guise d'introduction, par Émilien Ruiz - Difficile d'échapper, depuis quelques semaines, au battage médiatique autour du livre publié par Éric Zemmour...
Plusieurs historiens ont été amenés à réagir aux outrances de l'éditorialiste, que ce soit sous forme d'entretiens ou de tribunes Le succès présumé de l'ouvrage invite toutefois à s'interroger : fallait-il répondre ? Si oui pourquoi et surtout comment ? Il en va ainsi du rôle social de l'historien-ne : en acceptant de se déployer sur le terrain des faussaires de l'histoire, ses interventions ne leur donnent-ils pas une certaine légitimité ? La question est d'autant plus importante qu'il n'est pas interdit de penser que l'entretien du "buzz" autour du livre - auquel, paradoxalement, ce billet participe - n'est pas pour rien dans son succès.
Quelques-uns de mes amis historiens parmi les plus renommés, dont Robert Paxton et Serge Klarsfeld, se trouvent à répondre à Zemmour en pleine page du Monde sur Vichy et les Juifs. Robert Paxton : « L’argument de Zemmour sur Vichy est vide » Des difficultés d’enseigner le conflit israélo-arabe en France. Rédacteurs : Sebastien Ledoux et Samuel Ghiles Meilhac (article paru initialement sur le site de Rue 89)
Des difficultés d’enseigner le conflit israélo-arabe en France.