Youtube. L’entreprise libérée pervertie ? Suite à son billet controversé sur le blog Parlons RH, François Geuze s'explique.
Selon vous, l’entreprise libérée trouve ses limites dans la pression sociale qui se substitue au contrôle hiérarchique. Pouvez-vous nous expliquer en quoi vous distinguez l’entreprise libérée de l’entreprise «libérante» ? Les cas d’entreprise libérée ne sont pas nouveaux. Il rentre en résonnance de manière particulière en ce moment, après la prise de conscience concernant les risques psycho-sociaux et de profondes interrogations sur l’efficacité, la place et le rôle de la ligne managériale dans le fonctionnement de l’entreprise. Existe-t-il de grandes entreprises libérées. Par Pierre Nassif.
L’histoire que je voudrais raconter est celle de Michelin, entreprise qui se libère sous l’impulsion de Jean-Dominique Sénart, son président. C’est un homme qui s’exprime avec une certaine douceur, accompagnant son discours de gestes modérés et ondoyants, à l’extrémité desquels on aperçoit une main ferme. Son regard brillant est dirigé quelque part, dans la contemplation de son rêve sans doute, qu’il interrompt de temps en temps pour capter le regard de son interlocuteur, l’invitant ainsi à rejoindre ce rêve. Lorsque j’ai entendu parler pour la première fois de son effort de libération, les mots étaient : « Michelin engage sa libération ; c’est limité à quelques fonctions du siège, bien évidemment. » Aujourd’hui, ce sont 38 ilots de production disséminés dans 18 usines dans le monde représentant 1500 salariés qui expérimentent pendant un an le concept de « l’organisation responsabilisante ».
Quel est le sens du mot coach, dans une telle phrase ? AISECO, ENTREPRISE AUTO-MANAGEE PAR SES SALARIES. AISECO étonne à plus d’un titre.
Créée en 2007 par Laurent Guérin, la société conseille et accompagne les entreprises dans la diversification de leurs activités. Pour ce faire, la PME de L’Herbergement, en Vendée, a développé un moteur de recherche spécifique dont les algorithmes ont séduit le géant californien Google qui a signé un contrat pour les utiliser dans ses produits pour les entreprises (Google Search Appliance) et pour ses recherches Big Data (Big Query). Plus surprenant encore, le dirigeant d’AISECO qui déclare « détester le management », mais aime faire sauter les tabous, a confié le management de l’entreprise à ses salariés.
Bienvenue chez AISECO, entreprise inclassable et auto-managée. AISECO emploie 36 salariés : chercheurs, concepteurs-designers et chefs de projet industriels. . « J’ai abandonné le management de l’entreprise à mes salariés » « Je ne me suis jamais senti l’âme d’un manager. . « J’ai commis l’erreur de réfléchir à la place de mes collaborateurs. J'aime : Poult, la biscuiterie 3.0. La biscuiterie 3.0 ?
Une entreprise qui produit des biscuits connectés ? Tous les employés sont connectés aux réseaux sociaux et portent des Google Glass ? Le groupe EGIS en learning expedition chez IMATECH. Mardi 13 mai 2014, nous recevions 17 membres du Comité de Direction du Groupe EGIS France venus échanger avec nous sur la Libération.
Karin Céglarek et Marielle Thomas y étaient et vous livrent le rapport d’étonnement d’EGIS. La libération ? Ils en ont entendu parler, ont rencontré l’incontournable Jean-François Zobrist de Favi, ont lu Liberté et Cie d’Isaac Getz. Tels des explorateurs, nos visiteurs découvrent nos convictions et nos valeurs qui sont traduits en actes concrets chez IMATECH. Voici les différents points qui les ont interpellés : Poult, exemple d'entreprise libérée: manager par la confiance et la déhiérarchisation. Libérer l’entreprise : Comment faire ? Posté Par Julien BAZUS - PROCONSEIL Nombreux sont ceux qui ont souhaité se lancer sur la voie de l’organisation libérée, mais passer de l’intention à l’action et concrétiser cette transformation avec succès est beaucoup plus rare.
Il est vrai que traiter un tel sujet est difficile. Pour conduire la transformation, il n’y a pas de modèle, il n’y a que des principes puisque chaque entreprise, chaque site est différent. Tout d’abord, il est fondamental de replacer l’homme au cœur des préoccupations de l’entreprise et de faire évoluer sa posture. De simple spectateur, il devient un acteur, un salarié engagé qui prend des initiatives et agit. A mes yeux, plusieurs points sont essentiels pour réussir à libérer l’entreprise. Ces différents points sont interdépendants ; il est donc indispensable de les traiter ensemble pour assurer le succès de la transformation et positionner l’entreprise sur la voie de la pérennité. Le bonheur au travail.