Garonne. Aéronautique & Aéropostale. Enseignement & Recherche. TLT : Télé Toulouse. Toulouse wisigothique. Bataille de Toulouse : 10 avril 1814. Première guerre mondiale. Exil républicain espagnol. Seconde guerre mondiale. Mai 68. AZF : 21 septembre 2001. Les Grandes batailles de l’Occitanie (1/6) : l’or du temple de Delphes a porté malheur à Toulouse. L'essentiel Trois siècles avant notre ère, des Gaulois venus de Toulouse pillent le trésor de Delphes.
Apollon s’est-il vengé ? Toujours est-il que cet or maudit hante encore la légende toulousaine… Connaissez-vous les Thermopyles ? Non, il ne s’agit pas d’un baume indien pour les lèvres, mais d’un défilé au bord de la Mer Egée, en Grèce. Drôle d’endroit : en 480 avant J-c., le grand roi Xerxès, qui avec ses 200 000 hommes, était persuadé de mettre une raclée aux Grecs, s’y est cassé les dents. Pourquoi Toulouse s'appelle Toulouse ? IDENTITÉ – Tholose, Tolosa, Toulouse… D’où vient le nom de la Ville rose ?
D’après les historiens, la cité aurait été appelée ainsi avant même l’arrivée des Gaulois. Son étymologie est enveloppée de nombreux mystères. Ô Toulouse, pourquoi es-tu Toulouse ? Personne ne le sait vraiment. « C’est un nom qui se perd dans la nuit des temps », explique Jérôme Kerambloch. L’assistant de conservation a beau chercher dans les archives du musée du vieux Toulouse, il n’y trouve rien. Les Grecs connaissaient déjà Tolosa Si Paris s’est d’abord appelée Lutèce, la Ville rose a toujours porté le même nom, bien que sa prononciation ait évolué avec le temps.
IIIe siècle avant Jésus-Christ, les géographes grecs en visite dans la région ont ainsi découvert « Tolosa, la cité des Volques Tectosages ». Comment Toulouse est devenue la « Ville rose » ? Le terme de Ville rose apparaît au début du XXe siècle.
Certains ont préféré parler de ville rouge. Rouge et blanche, noire et rouge, cité des violettes, Toulouse est multicolore, comme ses habitants. La Ville rose, cliché bien pratique pour parler de Toulouse. Pourquoi Toulouse est-elle la Ville rose ? Attention, la réponse n'est pas celle que vous croyez. La Ville rose porte bien son nom !
Le soir, au coucher du soleil, la brique de Toulouse donne un teinte éminemment rose à la ville. Cela n’a pas toujours été le cas. Au XVIIIe siècle, un arrêté capitulaire oblige les habitants à blanchir leur façade pour des raisons de salubrité publique. Pauline Jung, historienne de l’art et spécialiste de l’architecture toulousaine au XIXe siècle, raconte : Les Toulousains devaient utiliser du blanc céruse. Découvrez Toulouse vue de l'espace : c'est bel et bien la Ville rose. On s'en rend bien entendu compte quand on arpente les rues de Toulouse : la brique est partout.
Cette brique foraine, ou brique toulousaine, donne une couleur aux maisons, aux immeubles et aux divers bâtiments sans équivalent en France. Ce mélange d'ocre, de rouge, d’orange, de brun, et même d'or sur les bords de Garonne quand le soleil se couche, a valu le surnom de "Ville rose" à Toulouse au début du 20e siècle. Et ce qui est vrai au sol l'est aussi depuis l'espace.
On s'en aperçoit bien sur une photo prise par le satellite Sentinelle 2A du programme Copernicus que l'Agence spatiale européenne (ESA) a tweeté ce samedi 16 août. Sur ce cliché qui date de juillet 2017, on aperçoit nettement que le surnom de Ville rose est largement mérité, même si ce rose tend plutôt faire l'oranger. De l'espace, c'est plus la teinte rosée des tuiles en terre cuite - de type tuile canal - qui est visible, que celle des briques toulousaines.
La violette, fleur emblématique de Toulouse. Comment Toulouse est devenue la Cité des violettes. « Violette/Petite/Toujours odorante/Honneur de Toulouse/Viens m’embaumer/Zéphyr te caresse/Et ma seule maîtresse/Ne peut davantage me charmer/Fraîche/Douce ».
Dans cet extrait du recueil occitan du Ramelet moundi (1617-1648) que l’on peut traduire comme « Le Bouquet toulousain », Pierre Goudouli rend hommage à sa façon à la fleur des poètes. Des stances libertines qui tranchent avec celles des poètes du Consistoire du Gai Savoir (qui ne prend le nom d’Académie des Jeux floraux qu’à la fin du XVIIe siècle) trois siècles plus tôt. Le 3 mai 1324, le premier lauréat d’entre eux, Arnaud Vidal, est récompensé d’une violette d’or pour ses vers consacrés à la Vierge Marie, au cours d’une cérémonie tenue au verger des Augustines (dans l’actuel quartier Saint-Aubin).
Folie Bonbons : Violette de Toulouse. Les archives de la ville de Toulouse témoignent de son arrivée de Parme en Italie, dans la musette d’un grognard de l’armée napoléonienne.
Ce symbole de l’amour entre Joséphine et Napoléon est mis en culture à partir de 1854, d’abord comme fleur d’ornement puis comme composante pour les parfums. Elle fait florès jusqu’au début du 20ème siècle. Les galants offrent aux élégantes leur petit bouquet raffiné noué par un fil de coton rouge. Connaissez-vous le Fénétra, le gâteau de Toulouse ? Composé de pâte d’amandes, de meringue et d’écorces de citron confites, le Fénétra est la spécialité gastronomique de Toulouse.
Méconnu, ce gâteau aux origines gallo-romaines était consommé « lors de la fête des morts » : la Férétralia. Souvent comparé aux cannelés de Bordeaux, au nougat de Montélimar ou encore au parlementin de Rennes par les pâtissiers, le Fénétra est la pâtisserie typique toulousaine. Composée de pâte d’amandes, de meringue et d’écorces de citron confites, cette gourmandise « est très recherchée par les touristes qui le découvrent dans le Guide du Routard », explique la responsable de la boutique Regals, qui fait partie des trois adresses à vendre du « vrai Fénétra ». Ce gâteau, aux origines gallo-romaines, était consommé « une fois par an, au mois de mars lors de la Férétralia, la fête des morts, où les Toulousains se rendaient en procession à la grande nécropole du sud de la ville », raconte Jérôme Kerambloch, assistant du conservateur du Musée du Vieux Toulouse.
Le cassoulet : indétrônable symbole de la gastronomie. L'essentiel À chaque saison le cassoulet trouve son public.
Plus d'une centaine de restaurants toulousains le proposent à leur menu, hiver comme été. Avec pour chaque enseigne, une vision particulière. à Toulouse, le cassoulet fait figure d'emblème. Les vertus du pastel : Toulouse ville bleue. Le pastel des teinturiers de Toulouse. Nougaro parlait de l’eau verte du canal du Midi et de la brique rouge des Minimes.
L’emblème de la ville est la violette mais Toulouse voit la vie en rose, comme vous le savez… et en bleu. Comme pour faire écho au bleu du ciel, c’est avec le pastel que la ville élargit sa palette. Toulouse doit son surnom de ville rose, enfin "rauze", à l’utilisation de la brique dans son architecture. Vous n’aurez aucun mal à admirer les façades dont les couleurs peuvent même se décliner dans des teintes orangées. Derrière Le Pastel des teinturiers ou Isatis tinctoria, il y a une plante qui trouve ses origines en Asie, mais aussi en Europe du sud-est. C’est dans toute l’Occitanie, dans le légendaire pays de Cocagne, que va se développer le commerce du bleu. À Toulouse, la seconde vie de la plante qui donne le bleu pastel.
C'est l'un des trésors du patrimoine de Toulouse qui a fait la fortune de ses marchands au Moyen-Âge. Après avoir presque totalement disparu à la fin du XIXe siècle avec le développement des teintures chimiques bleues, le pastel connaît une véritable renaissance dans la Ville rose. La petite fleur bizarrement jaune le doit à plusieurs entreprises qui se remettent à en extraire la fameuse couleur bleu pastel.
Créé en 2013, le groupe toulousain Terre de Pastel a su profiter de l'essor du bio et des produits naturels pour asseoir l'exploitation de cette plante typique de l'Occitanie, trop longtemps oubliée. Une fleur parmi les bureaux. Quels sont les noms de rues les plus courants autour de Toulouse ? Les noms de rues révèlent bien des choses sur l’histoire et la géographie d’un pays. Une étude des odonymes parue dans Slate nous apprend qu’il existe des particularités régionales dans le choix des personnalités honorées par les municipalités. 1,5 million de noms de rues Les auteurs de l’article ont compulsé l’énorme Fichier annuaire topographique initialisé réduit (Fantoir) qui recense 1,5 million de voies et plus de 5,6 millions de lieux-dits, pour en tirer quelques enseignement statistiques édifiants.
Ainsi, après avoir dressé le palmarès des « stars de nos rues françaises » (les personnalités dont le nom revient le plus fréquemment), et avoir évalué la tendance à la féminisation et à l’internationalisation des dénominations de voirie, ils se sont intéressé aux préférences régionales en la matière. Jaurès en tête. Que faire à Toulouse quand on aime l'histoire ? Saviez-vous que Toulouse fut jadis la capitale des rois Wisigoths ? Ces derniers y trouvèrent un cadre idéal pour s'implanter : pourvue d'une imposante enceinte et proche de la Méditerranée, la ville leur permettait de contrôler l'ensemble de la vallée de la Garonne. C'est une période de faste relativement méconnue parce qu'il n'en reste aujourd'hui pas de trace notable dans la ville.
En revanche, du Moyen-Âge à l'époque contemporaine, celle que l'on surnomme la « ville rose » en raison de ses bâtiments construits en brique de terre cuite a beaucoup à offrir à tous les passionnés d'histoire, de culture et de patrimoine. Visite guidée chronologique. On commence avec l'un des bâtiments les plus anciens et impressionnants de la ville, la basilique Saint-Sernin. On poursuit avec l'incontournable et majestueux Capitole, édifice emblématique de la ville qui abrite l'hôtel de ville, des salles d'apparat et un théâtre. Tourisme : Toulouse, entre le rose et le pastel. « Voici le Capitole, j’y arrête mes pas. » Les mots de Nougaro nous dansent dans la tête au pied du donjon qui abrite l’office de tourisme.
Nous y avons retrouvé Sarah pour une visite « Toulouse dans tous les sens », balade sensorielle, active, participative, créée pour les déficients visuels et qui a évolué pour s’adresser désormais aux familles. « Il suffit d’être curieux, d’avoir l’envie d’expérimenter. » On l’est, on l’a. L’invention de la croix occitane. L'accent "con", "la ville qui ne dort jamais" : il y a 20 ans, Toulouse était décrite comme ça à la télé. La télévision française regorge de pépites dont on ne se lasse pas et que l’on aime bien revisiter de temps à autre.
Des pépites que conserve précieusement l’Institut National de l’Audiovisuel (INA). Toulouse fait partie des trésors cachés comme en témoigne cette vidéo conservée dans les archives. Il s’agit ici d’un reportage de France 3 décrivant la Ville rose et diffusé il y a plus de 20 ans, le 17 octobre 1997. Un classement dévoile les noms de famille les plus courants et les plus typiques.
Alors, avez-vous un nom de famille populaire en Haute-Garonne ? Pourquoi les Toulousains parlent de rocade et non de périphérique ? Tout Parisien nouvellement installé à Toulouse se voit rapidement confronté à deux marqueurs lexicaux essentiels et discriminants. Il sera contraint d’apprendre à commander des “chocolatines” et à s’orienter sur la “rocade”. Cette autoroute périphérique qui n’en a pas toujours été une. Le livre qui donne des ailes à plus de 2000 ans d’histoire. L'essentiel Dirigée par Jean-Marc Olivier et Rémy Pech, une Histoire de Toulouse vient de paraître qui s’élargit désormais à la Métropole et à l’aéronautique. 800 pages qui débarrassent aussi la capitale d’Occitanie de quelques clichés. Une "Nouvelle histoire de Toulouse" Jean-Marc Olivier est maître de conférences d’histoire contemporaine à l’université de Toulouse-Le-Mirail et Rémy Pech, professeur d’histoire contemporaine et ancien président de l’université de Toulouse-Le-Mirail, est spécialiste d’histoire rurale.
Les 5 histoires méconnues de Toulouse. Pourquoi Toulouse s’appelle Tolosa. Le Capitole tout blanc, Jolimont en rase campagne : voici la plus ancienne photo de Toulouse. Un compte Instagram recense les anecdotes historiques de la Ville rose. Les amateurs d’Histoire, d’architecture, ou curieux en tout genre sont (encore un peu) coincés à la maison pendant le confinement. Cela peut parfois s’avérer frustrant, mais pour continuer d’épancher sa soif de découverte, un nouveau compte Instagram vient d’ouvrir : history.toulouse.
Pourquoi la langue occitane perd du terrain. Une visite guidée propose de raconter une histoire féministe de Toulouse et ses femmes marquantes. Par Andoni OspitalPublié le 27 Oct 20 à 15:21 C’est plus que jamais dans l’air du temps. « Sur les pas de l'actu » : blog de Mathieu Arnal. À l’aube de Tolosa, petit voyage chez nos ancêtres les Volques Tectosages. Mercredi 20 mai 2015, de 18 h à 19 h à la salle Clémence Isaure de l’Hôtel d’Assézat (place d’Assézat, à Toulouse) Pierre-Yves Milcent, maître de conférence à l’Université Jean-Jaurès, anime une conférence dans le cadre des Mercredis de l’Archéologie. Information et opinion publique à Toulouse à la fin du Moyen Âge.
Toulouse fête la fin du siège de 1218. Au XIIIe siècle, la prostitution est très encadrée à Toulouse. 3 mai 1324 : institution des Jeux Floraux à Toulouse. Pendant trois siècles, la peste a terrifié Toulouse. Le grand incendie de mai 1463 qui a détruit plus de 7000 maisons.
30 octobre 1632 : Poussé par Richelieu, Louis XIII fait décapiter le duc de Montmorency accusé de trahison. Quand Toulouse hébergeait les tout derniers chevaliers Rose-Croix. Il y a plus de 200 ans, une épidémie de suette miliaire tuait au moins 230 personnes en 15 jours. Quand les Toulousains déformaient le crâne de leurs enfants. Caisse des écoles de Toulouse : gala de soutien. La Dépêche : 150 ans au service de l'actualité. Le récit de l’éphémère Commune de Toulouse de 1871. 1871, la Commune : deux jours de révolution. Il y a 150 ans, la Commune de Toulouse a été proclamée. Il y a 150 ans naissait l’éphémère commune de Toulouse. L’historien toulousain Rémy Pech raconte l'histoire de la Commune de Toulouse, instaurée il y a 150 ans. Les Hauts-Murats, l’autre prison historique de la ville où ont été enfermés des communards. 150 ans de La Dépêche : 1889, Jean Jaurès et la tour Eiffel.
Clemenceau plaide pour Alfred Dreyfus. Voici comment Toulouse a fêté "les forçats de la route" lors du premier Tour de France en 1903. Séparation des Eglises et de l’Etat : La Dépêche fait loi. Il y a 107 ans, le Stade Toulousain était champion de France pour la première fois face... au Racing. Il y a 108 ans, le Stade Toulousain était champion de France pour la première fois. Stade Toulousain, récit de plus de 100 ans d'épopées en Rouge et Noir. Le premier titre du Stade Toulousain. 1912 : le premier Brennus du Stade Toulousain, gagné aux Ponts-Jumeaux à Toulouse. Il y a 100 ans, les habitants redécouvraient la marche à pied lors d'une grève des tramways. Substance explosive à Toulouse : la municipalité interpellait déjà l’État il y a 95 ans… En janvier 1914, le Canal du Midi était entièrement gelé ! La Première Guerre mondiale aurait-elle débuté à Toulouse ? Il n’y a pas si longtemps, la campagne était (aussi) à Toulouse. Quand Toulouse se mettait massivement en grève en 1936.
Ces menus de réveillon gargantuesques des restaurants de Toulouse… en 1936. Il fut un temps où pour aller de Toulouse à Paris en train, il fallait plus… de 14 heures. Au temps des baloches toulousaines. Toulouse, l’espagnole. L'exposition « Ciao Italia » retrace l'immigration italienne dans le Sud-ouest. Radio-Toulouse, la pionnière des ondes dans la Ville rose. CGT : ces drapeaux centenaires qui racontent l’histoire des luttes sociales à Toulouse.
1937-2017 : le TFC fête ses 80 ans. Il y a 84 ans naissait le Toulouse Football Club... Il n’y a pas si longtemps, des trains circulaient dans le moindre village de Haute-Garonne. Il n’y a pas si longtemps, des trains circulaient dans le moindre village de Haute-Garonne. Retour à la vapeur avec une locomotive de 1947. Le tramway à Toulouse... dans les années 50. Plongée dans l'époque où la Ville rose vibrait au rythme des notes de jazz. Le TFC se qualifie en demi-finale de coupe de France au bout d'un match renversant. 1962, Toulouse accueille les Pieds-Noirs. Bouchons en ville. Voici la vidéo qui montre que circuler à Toulouse, ce n'était pas mieux avant. Rentrée scolaire 1965 à Toulouse, déjà un marronnier pour les journalistes de l'ORTF. Quand le premier Samu de France sillonnait les routes de Toulouse avec son "estafette" Quand Radio Saint-Lys aidait le créateur du Samu Louis Lareng à porter secours sur toutes les mers du monde.
Il raconte le « gauchisme flamboyant » de l’après mai 68, à Toulouse. Il y a 50 ans ouvrait le premier hypermarché de Toulouse et c'était le…Mammouth de Balma-Gramont. Il y a pile 50 ans, les Toulousains ont inauguré le premier hypermarché de la Ville rose.