Les personnages féminins forts : bagarre mais pas seulement. Genre, sexisme et homophobie : repères et outils dans l’éducation et la littérature jeunesse. Rencontre avec l'éditeur Thierry Magnier, la sociologue Christine Détrez et le professeur de lettres modernes Marc Jean Filaire-Ramos.
En partenariat avec l’association Rimbaud, à l’occasion de la Journée internationale de lutte contre l’homophobie (17 mai). Un temps enseignant en lycée professionnel, puis libraire et journaliste littéraire, Thierry Magnier fonde sa propre maison d’édition en 1998. La presse pour petites filles : ressources et compléments. Je vous parlais il y a quelques jours de la presse pour petites filles.
Je m’étais appuyée essentiellement sur les numéros que j’avais pu lire et l’analyse des sujets, des couvertures… J’ai depuis continué à faire quelques recherches (je vous prépare également un article sur la presse « mixte ») et je suis tombée sur quelques ressources supplémentaires intéressantes. Sophie Labelle: «Ce n’est pas parce qu’on est en 2015 que c’est réglé» Enseignante au primaire, chercheuse, animatrice de camp de jour pour jeunes trans, activiste, conférencière et auteure de bandes dessinées sur ces enjeux, Sophie Labelle est une femme accomplie.
Dans le cadre de la Journée de la femme, Métro a discuté de féminisme et d’avenir avec cette jeune femme trans engagée. Pourquoi pensez-vous que les médias sociaux ont connu une vague d’activisme féministe, dont #AgressionNonDénoncée, en 2014? C’est un sujet qu’on commence à mieux comprendre, tout ce qui se rapporte à la culture du viol. En tant que femmes, je pense que c’est quelque chose qu’on a théorisé. C’est un thème repris depuis les années 1970, avec la deuxième vague du féminisme. Je crois qu’il y a une compréhension plus globale, plus large du phénomène. Pourquoi, selon vous, a-t-on vu des mouvements réactionnaires, comme la campagne «je n’ai pas besoin du féminisme parce que…»? Ce sont des femmes qui comprennent mal le féminisme.
Quel type de différence avez-vous vécue? Enregistrements de la journée « Qui (dé)fait le genre en éducation? » Le 30 janvier a eu lieu à l’ENS de Lyon une journée consacrée à la manière dont les normes de genre investissent les sphères éducatives et, parfois, les poussent à se rencontrer ou s’affronter.
La journée devait précisément permettre le dialogue entre ces différentes sphères en proposant des interventions scientifiques et des interventions militantes grâce à la présence de chercheuses et de représentant.e.s d’associations luttant contre les inégalités dans le champ de l’éducation. LEGO Friends Comic Goes Viral: An Interview with Illustrator Maritsa Patrinos. A comic titled “LEGO Friends” recently went viral, striking a chord with people by humorously pointing out that girls don’t need a separate line of LEGO toys.
No, no—girls just need better female representation within existing LEGO sets: “LEGO Friends” by Maritsa Patrinos of Seasonal Depression. Used with permission. I was so taken by how well this cartoon encapsulates so many parents’ and advocates’ position on the unnecessary gendering of children’s toys—a topic I address in detail in my book, The Princess Problem—that I reached out to the cartoon’s creator, Maritsa Patrinos, to learn more about her work.
Maritsa is illustrator living in Brooklyn, NY who grew up just outside of Washington, DC and went to Pratt Institute to study illustration. MARITSA PATRINOS: Thank you! But I made this comic after I saw the short documentary Inside Lego. I’m sure LEGO’s heart was in the right place and I’m sure they’ve done tons of research to pick their content. Littérature non sexiste. Ressources pour une littérature jeunesse antisexiste. Faiscommemaman.tumblr.com. Avec Auchan, vivons mieux, vivons moins cher mais dans les années 50.
“Pour qui ? : Fille” "Ma Cuisine Expert de Rik & Rok, un côté four, un côté lave-vaisselle et tout le nécessaire pour faire de bons petits plats comme Maman ! …" Auchan est de retour “Pour cuisiner comme maman, le four Rik&Rok” "The Pink and Blue project" : immersion oppressante dans le marketing genré. Depuis 2005, l’artiste sud-coréenne JeongMee Yoon documente le phénomène du marketing genré en photographiant des enfants dans leur chambre, entourés d’objets roses ou bleus. Un sentiment à mi-chemin entre amusement, malaise et effroi nous envahit lorsque l’on observe pour la première fois les clichés de la photographe sud-coréenne JeongMee Yoon. On y voit de jeunes enfants, noyés dans un océan d’objets entièrement roses ou bleus.
Et vous l’aurez deviné, les petites filles baignent dans la vague rose, et les petits garçons dans la bleue. Victimes des jouets genrés dès leur plus jeune âge, ces enfants se retrouvent mis en scène par la photographe dans leur chambre, entourés de jouets estampillés “masculins” et “féminins”. © JeongMee Yoon L’artiste, diplômée en photographie et vidéo à l’université nationale de Séoul, a initié son projet après avoir observé les comportements exclusifs de sa jeune fille.